Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Le Parisien
par Catherine Balle
Pour imaginer cette comédie sociale, la réalisatrice Sophie Reine s'est inspirée de sa propre famille. Dans sa courette du XIe arrondissement de Paris, celle qui a perdu sa mère à 20 ans avait une chèvre... et un singe. Monteuse des films de Rémi Bezançon, elle signe un premier film absolument irrésistible.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Elle
par Emilie Rivenq
Sophie Reine dresse, avec ce premier long-métrage, un tendre portrait d'une famille forcée de rentrer dans les rangs, et qui fonctionne instantanément.
L'Express
par Christophe Carrière
On reproche souvent aux metteurs en scène qui débutent de vouloir en mettre trop. Pas là. On prend tout. Et on dit merci.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un film qui se signale par un ton en parfait accord avec ses personnages : décalé, saugrenu, coloré, pas vraiment correct et pleinement réjouissant, et qui traite des choses graves avec la grâce de la légèreté.
Le Figaro
par La Rédaction
Un premier long-métrage maîtrisé de Sophie Reine, qui fait chaud au cœur.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Nathalie Simon
Monteuse sur les films de Rémi Bezançon, Sophie Reine signe un premier long-métrage savoureux porté par de jeunes pousses prometteuses, Héloïse Dugas et Fanie Zanini. Et une Camille Cottin inattendue en assistante sociale, mais très convaincante.
Ouest France
par La Rédaction
Naïf, un peu... Rafraîchissant, beaucoup !
Paris Match
par Alain Spira
Cette comédie sensible est une euphorisante bouffée d'air pur familial.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Christophe Narbonne
Il y a bien quelques trous d’air dans le scénario, des maladresses (les affreux tics de l’ado) mais le caractère touchant et un brin iconoclaste du film l’emporte sur ses petits défauts.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 2 semaines
par Emilie Meunier
Une chronique familiale drôle, tendre et poétique, portée par une mise en scène ludique et la sincérité du jeu des acteurs.
Télérama
par Guillemette Odicino
Les couleurs pop, pimpantes juste ce qu'il faut, et l'éloge tendre de la marginalité en famille évoquent "Little Miss Sunchine". (...) Face aux deux jeunes comédiennes remarquables (...), Gustave Kervern confirme qu'il est le nounours triste le plus fondant du cinéma français.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
VSD
par Bernard Achour
Reste que, s'il en est un qui réunit toutes les qualités d'un spectacle de fête, c'est bien l'inattendu "Cigarettes et chocolat chaud", définition même du « feel good movie » avec sa famille pas comme les autres.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Un récit sincère, un rythme sans temps mort, une réalisation efficace et des dialogues à double niveau de lecture (...) font de ce film poétique, entre sourire et gravité, un spectacle familial par excellence.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CNews
par La Rédaction
Avec ce premier long-métrage qu'elle scénarise, la monteuse Sophie Reine propose un récit tendre qui emprunte tout de même des chemins balisés.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Avec drôlerie et tendresse, cette fable poétique et un peu foutraque rappelle à quel point l’éducation est une aventure aussi unique que déroutante où l’amour ne règle pas tout et dont le seul modèle valable est celui qu’on invente.
Les Fiches du Cinéma
par Chloé Rolland
Une comédie familiale sincère et honorable.
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
Le pitch de cette comédie est la promesse d'une réflexion burlesque sur la condition de père, rôle dans lequel Gustave Kerven se révèle touchant de maladresse. Mais l'ensemble manque de rythme (...).
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
La jolie surprise de Noël.
Voici
par La Rédaction
Un conte social plein de fantaisie.
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
La voix off adolescente, la famille supposée décalée, la maladie neurologique (Tourette) dont est affligée la fille aînée, les postures caricaturales d’acteurs paresseux, les grosses ficelles scénaristiques, le racolage émotionnel, l’humour facile… Trop c’est trop ! Gare à l’overdose de crème chantilly !
Le Monde
par Thomas Sotinel
Les pavillons de banlieue ont remplacé les grands espaces et les grands discours laissent la place à une chronique familiale intime et rêveuse qui perd de son attrait lorsqu’il faut dénouer les drames du premier acte.
Le Parisien
Pour imaginer cette comédie sociale, la réalisatrice Sophie Reine s'est inspirée de sa propre famille. Dans sa courette du XIe arrondissement de Paris, celle qui a perdu sa mère à 20 ans avait une chèvre... et un singe. Monteuse des films de Rémi Bezançon, elle signe un premier film absolument irrésistible.
Elle
Sophie Reine dresse, avec ce premier long-métrage, un tendre portrait d'une famille forcée de rentrer dans les rangs, et qui fonctionne instantanément.
L'Express
On reproche souvent aux metteurs en scène qui débutent de vouloir en mettre trop. Pas là. On prend tout. Et on dit merci.
Le Dauphiné Libéré
Un film qui se signale par un ton en parfait accord avec ses personnages : décalé, saugrenu, coloré, pas vraiment correct et pleinement réjouissant, et qui traite des choses graves avec la grâce de la légèreté.
Le Figaro
Un premier long-métrage maîtrisé de Sophie Reine, qui fait chaud au cœur.
Le Figaroscope
Monteuse sur les films de Rémi Bezançon, Sophie Reine signe un premier long-métrage savoureux porté par de jeunes pousses prometteuses, Héloïse Dugas et Fanie Zanini. Et une Camille Cottin inattendue en assistante sociale, mais très convaincante.
Ouest France
Naïf, un peu... Rafraîchissant, beaucoup !
Paris Match
Cette comédie sensible est une euphorisante bouffée d'air pur familial.
Première
Il y a bien quelques trous d’air dans le scénario, des maladresses (les affreux tics de l’ado) mais le caractère touchant et un brin iconoclaste du film l’emporte sur ses petits défauts.
Télé 2 semaines
Une chronique familiale drôle, tendre et poétique, portée par une mise en scène ludique et la sincérité du jeu des acteurs.
Télérama
Les couleurs pop, pimpantes juste ce qu'il faut, et l'éloge tendre de la marginalité en famille évoquent "Little Miss Sunchine". (...) Face aux deux jeunes comédiennes remarquables (...), Gustave Kervern confirme qu'il est le nounours triste le plus fondant du cinéma français.
VSD
Reste que, s'il en est un qui réunit toutes les qualités d'un spectacle de fête, c'est bien l'inattendu "Cigarettes et chocolat chaud", définition même du « feel good movie » avec sa famille pas comme les autres.
aVoir-aLire.com
Un récit sincère, un rythme sans temps mort, une réalisation efficace et des dialogues à double niveau de lecture (...) font de ce film poétique, entre sourire et gravité, un spectacle familial par excellence.
CNews
Avec ce premier long-métrage qu'elle scénarise, la monteuse Sophie Reine propose un récit tendre qui emprunte tout de même des chemins balisés.
Le Journal du Dimanche
Avec drôlerie et tendresse, cette fable poétique et un peu foutraque rappelle à quel point l’éducation est une aventure aussi unique que déroutante où l’amour ne règle pas tout et dont le seul modèle valable est celui qu’on invente.
Les Fiches du Cinéma
Une comédie familiale sincère et honorable.
Studio Ciné Live
Le pitch de cette comédie est la promesse d'une réflexion burlesque sur la condition de père, rôle dans lequel Gustave Kerven se révèle touchant de maladresse. Mais l'ensemble manque de rythme (...).
Télé 7 Jours
La jolie surprise de Noël.
Voici
Un conte social plein de fantaisie.
La Voix du Nord
La voix off adolescente, la famille supposée décalée, la maladie neurologique (Tourette) dont est affligée la fille aînée, les postures caricaturales d’acteurs paresseux, les grosses ficelles scénaristiques, le racolage émotionnel, l’humour facile… Trop c’est trop ! Gare à l’overdose de crème chantilly !
Le Monde
Les pavillons de banlieue ont remplacé les grands espaces et les grands discours laissent la place à une chronique familiale intime et rêveuse qui perd de son attrait lorsqu’il faut dénouer les drames du premier acte.