Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
7 critiques presse
aVoir-aLire.com
par Nadia Meflah
Leïla Kilani, par cette œuvre magistrale, nous raconte autant qu’elle nous console, dans une double dynamique de terreur et de libération. À nous de l’accueillir avec joie.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Elle
par M.B.
Un concentré impétueux et poétique, traversé par le silence des oiseaux.
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Malgré la beauté de ses scènes nocturnes, feux de forêt et images de surveillance, il souffre d’un léger excès d’intention et de multiplication d’effets d’annonces.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marie Samocki
Au meilleur d’Indivision, les images jaillissent comme des éclats d’énergie, polarisées par des événements lumineux (incendies, phosphorescences, irisations) qui donnent à une forme abstraite des points d’appui.
Le Monde
par Mathieu Macheret
L’agitation stérile d’une caméra qui glisse sur tout sans regarder ce qu’elle filme, tout comme la présence envahissante des commentaires en ligne, crée un tournis artificiel en lieu et place d’une forme vraiment solide.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Trop long, très didactique quant à son propos, le film doit sa singularité à son étonnante protagoniste centrale.
Télérama
par Augustin Pietron-Locatelli
Résultat : un affreux banquet à la Festen sans la limpidité ravageuse de ce dernier, étrangement répétitif, donnant l’impression de rejouer à l’infini le même cycle confus de disputes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
Leïla Kilani, par cette œuvre magistrale, nous raconte autant qu’elle nous console, dans une double dynamique de terreur et de libération. À nous de l’accueillir avec joie.
Elle
Un concentré impétueux et poétique, traversé par le silence des oiseaux.
Libération
Malgré la beauté de ses scènes nocturnes, feux de forêt et images de surveillance, il souffre d’un léger excès d’intention et de multiplication d’effets d’annonces.
Cahiers du Cinéma
Au meilleur d’Indivision, les images jaillissent comme des éclats d’énergie, polarisées par des événements lumineux (incendies, phosphorescences, irisations) qui donnent à une forme abstraite des points d’appui.
Le Monde
L’agitation stérile d’une caméra qui glisse sur tout sans regarder ce qu’elle filme, tout comme la présence envahissante des commentaires en ligne, crée un tournis artificiel en lieu et place d’une forme vraiment solide.
Les Fiches du Cinéma
Trop long, très didactique quant à son propos, le film doit sa singularité à son étonnante protagoniste centrale.
Télérama
Résultat : un affreux banquet à la Festen sans la limpidité ravageuse de ce dernier, étrangement répétitif, donnant l’impression de rejouer à l’infini le même cycle confus de disputes.