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Un visiteur
0,5
Publiée le 30 octobre 2015
Pffff. Je me suis ennuyé à mourir en regardant ce film, j'ai somnolé même. Jamais un film que j'ai regardé n'a été aussi soporifique pourtant dieu sait que j'en ait vu des films, j'ai l'impression que la plupart des gens notent le réalisateur au lieu de noter uniquement le film. Je dis ça mais moi aussi je suis parti d'un apriori en regardant ce film, je vais dire une abomination pour certains mais moi je n'aime pas les films de Paul Schraider.
Vous avez du mal à trouvé le sommeil ? Stressé par le bureau? Mettez vous en pijama, installez vous confortablement dans votre canapé, lancez le film "Mishima" de Paul Schreder, attendez quelques minutes que le film fasse sont effet, et profitez d'une bonne nuit de sommeil. Un film soporifique que vous trouverez dans votre pharmacie Fnac la plus proche, pouvoir du fait qu'il ne se passe rien, que les dialogues ne soit pas recherchés pour un sou, ni d'ailleurs de véritable scénario ;).
La critique est unanime, alors je me suis laissée convaincre... quelle erreur !! Je ne comprends vraiment pas l'engouement pour ce pauvre film, trop long, ennuyeux, moche et mièvre. Ca en dit long a mon avis sur la sociologie voire la psychologie et l'esprit consensuel mou de la critique française. 2h30 de grisaille et de bons sentiments... bon courage !
Que dire ! Quand j'ai vu ce film, entre deux ronflements j'ai réalisé ce que c'était de perdre son temps. Ce film est sans âme, vide en tout point: pas de scénario, la musique : du Philip Glass. coool rien que d'écrire cette critique sur ce film médiocre je m'endore...... Ce film a contenté les masses dans un pseudo sentimentalisme...Pathétique. C'est vrai qu' il aurait ses chances d'être retransmis sur quelconque chaînes Ukrainienne entre deux pubs. en gros c'est le navet du millénaire....... A bon entendeur.
Des Japonais qui hurlent et qui se font masser, un écrivain autiste, une musique ne collant pas avec le sujet, pas d'action, rien d'intéressant, un jeu d'acteur complètement nul, une photographie moche, une histoire inexistante, tous les ingrédients du navet de l'année 86, voir même du siècle. Je n'écrirais rien de plus sur ce "film" c'est une "Mishimairde".
Oh Mon Dieu!! J'ai passé la journée hier à lire vos commentaires sur ce film "référence" (pour certains) en matière de films japonais... Je me suis donc dit qu'il serait bien de le visionner... Et vous ne pouvez pas... mais alors pas du tout imaginer mon soulagement quand le générique de fin fait son apparition. Mais quel navet!! Quelles bêtises! Ce film est l'un des pires que j'ai bien pu regarder de toute ma vie et LE film le plus ennuyeux de tous les temps... Un acteur principal incroyablement nul... une femme hystérique et pas crédible du tout. Les autres acteurs font les bouffons pour rien. Je ne compte pas vraiment m'attarder sur ce navet ni sur les dialogues mais surtout le fait qu'il ne se passe R.I.E.N. !! Mon Dieu mais c'est quoi cette... cette chose ? On ne sent rien du tout face à cet enchaînements de séquences molles tout aussi débiles les unes que les autres... Non pour dire vrai j'ai ressenti quelque chose... Un ennui TOTAL!!! Je tire décidément un trait sur les films japonais... Après L'été de Kikujiro (qui d'ailleurs me semble ennuyant à mon âge) je n'ai trouvé aucun film japonais qui aurait pu être pire...
Oh Mon Dieu!! J'ai passé la journée hier à lire vos commentaires sur ce film "référence" (pour certains) en matière de films japonais... Je me suis donc dit qu'il serait bien de le visionner... Et vous ne pouvez pas... mais alors pas du tout imaginer mon soulagement quand le générique de fin fait son apparition. Mais quel navet!! Quelles bêtises! Ce film est l'un des pires que j'ai bien pu regarder de toute ma vie et LE film le plus ennuyeux de tous les temps... Un acteur principal incroyablement nul... une femme hystérique et pas crédible du tout. Les autres acteurs font les bouffons pour rien. Je ne compte pas vraiment m'attarder sur ce navet ni sur les dialogues mais surtout le fait qu'il ne se passe R.I.E.N. !! Mon Dieu mais c'est quoi cette... cette chose ? On ne sent rien du tout face à cet enchaînements de séquences molles tout aussi débiles les unes que les autres... Non pour dire vrai j'ai ressenti quelque chose... Un ennui TOTAL!!! Je tire décidément un trait sur les films japonais... Après L'été de Kikujiro (qui d'ailleurs me semble ennuyant à mon âge) je n'ai trouvé aucun film japonais qui aurait pu être pire...
Oh Mon Dieu!! J'ai passé la journée hier à lire vos commentaires sur ce film "référence" (pour certains) en matière de films japonais... Je me suis donc dit qu'il serait bien de le visionner... Et vous ne pouvez pas... mais alors pas du tout imaginer mon soulagement quand le générique de fin fait son apparition. Mais quel navet!! Quelles bêtises! Ce film est l'un des pires que j'ai bien pu regarder de toute ma vie et LE film le plus ennuyeux de tous les temps... Un acteur principal incroyablement nul... une femme hystérique et pas crédible du tout. Les autres acteurs font les bouffons pour rien. Je ne compte pas vraiment m'attarder sur ce navet ni sur les dialogues mais surtout le fait qu'il ne se passe R.I.E.N. !! Mon Dieu mais c'est quoi cette... cette chose ? On ne sent rien du tout face à cet enchaînements de séquences molles tout aussi débiles les unes que les autres... Non pour dire vrai j'ai ressenti quelque chose... Un ennui TOTAL!!! Je tire décidément un trait sur les films japonais... Après L'été de Kikujiro (qui d'ailleurs me semble ennuyant à mon âge) je n'ai trouvé aucun film japonais qui aurait pu être pire...
Oh Mon Dieu!! J'ai passé la journée hier à lire vos commentaires sur ce film "référence" (pour certains) en matière de films japonais... Je me suis donc dit qu'il serait bien de le visionner... Et vous ne pouvez pas... mais alors pas du tout imaginer mon soulagement quand le générique de fin fait son apparition. Mais quel navet!! Quelles bêtises! Ce film est l'un des pires que j'ai bien pu regarder de toute ma vie et LE film le plus ennuyeux de tous les temps... Un acteur principal incroyablement nul... une femme hystérique et pas crédible du tout. Les autres acteurs font les bouffons pour rien. Je ne compte pas vraiment m'attarder sur ce navet ni sur les dialogues mais surtout le fait qu'il ne se passe R.I.E.N. !! Mon Dieu mais c'est quoi cette... cette chose ? On ne sent rien du tout face à cet enchaînements de séquences molles tout aussi débiles les unes que les autres... Non pour dire vrai j'ai ressenti quelque chose... Un ennui TOTAL!!! Je tire décidément un trait sur les films japonais... Après L'été de Kikujiro (qui d'ailleurs me semble ennuyant à mon âge) je n'ai trouvé aucun film japonais qui aurait pu être pire...
Signer un biopic conventionnel aurait été un vrai gâchis dès lors qu'on s'attaque à la vie de Yukio Mishima, écrivain de génie, culturiste, véritable star au Japon, qui finira par se donner la mort par Harakiri en 1970 après avoir séquestré le général . C'est ce qu'a su remarquablement éviter le grand Paul Schrader. Produit par George Lucas et Francis Ford Coppola, "Mishima" édifie le mythe à partir de trois ses romans (Le Pavillon d'Or, La Maison de Kyoko, Chevaux Echapées). Ce choix artistique fait ressortir à la fois le talent mais aussi les contradictions incroyables du personnage, brillamment interprété par Ken Ogata. Schrader signe une mise en scène de haut vol, alternant noir et blanc, et scènes psychédéliques mémorables. Le film ne serait enfin pas le même sans la musique éternelle de Philip Glass, sûrement sa plus belle partition cinématographique avec "The Hours". Un des plus beaux biopics de l'histoire du cinéma.
Paul Schrader rend ici un bel hommage à l'écrivain nippon Yukio Mishima à travers ce biopic original et magnifique. Les deux principaux points forts de ce long métrage sont indubitablement la géniale mise en scène et la structure narrative. Celle-ci se divise en trois lignes directrices: une première qui relate la dernière journée de l'écrivain, une autre raconte les grandes étapes de sa vie et enfin la troisième expose et met à l'image quelques uns de ses romans. Ces trois histoires sont elles-mêmes réparties en quatre chapitres. Malgré cette trame décomposée, l'intrigue reste facile à suivre. La réalisation de Schrader subjugue en plus l'histoire de cet écrivain pourtant déjà passionnante à la base en la rendant originale, atypique et techniquement irréprochable. Le seul bémol que je soulèverai viendrai de l'absence d'émotions et un rendu souvent plus froid qu'il n'aurait dû l'être. Si l'on passe pas loin du chef d'oeuvre, cette biographie cinématographique demeurera dans les mémoires.
Immense scénariste mais cinéaste inégal, passionné par la culture japonaise, Paul Schrader s'attarde ici sur la vie de l'écrivain Yukio Mishima à travers son oeuvre et des moments cruciaux de son existence afin de mieux saisir sa personnalité complexe tout autant que brillante, en même temps que l'évolution de tout un pays. Baroque, grandiose, parfois froide et absconse, portée par une interprétation remarquable et par la musique electrisante de Phillip Glass, "Mishima" est une oeuvre conceptuelle à nulle autre pareille, plastiquement phénoménale, déclaration d'amour d'un metteur en scène en état de grâce envers un artiste insaisissable.
La vie familiale de Paul Schrader est intimement liée au Japon, il n’est donc guère étonnant qu’il ait réalisé un film sur un des écrivains modernes les plus célèbres de ce pays (sinon le plus connu à l’étranger). « Mishima » est beaucoup plus ambitieux qu’un banal biopic, il s’agit de l’évocation de tout un imaginaire artistique, dont la biographie de l’écrivain n’est qu’un élément, puisque que celui-ci avait conçu son existence même comme un élément de son œuvre. Le mélange de la fiction et du documentaire n’a donc rien de gratuit, ni de facile ou de conventionnel, c’est une construction élaborée et cohérente qui fait du film de Paul Schrader un modèle d’évocation cinématographique littéraire, admirable même si on ne connaît pas grand chose de l’écrivain.
Avant celui de Wakamatsu (à Cannes cette année) je me suis plongé dans le biopic que Paul Schrader consacrait à Mishima en 1985. Produit par Coppola mais aussi par George Lucas se qui es plus étonnant quant on connaît l’aspect sulfureux de la vie de l’écrivain. « Mishima » n’est pas un biopic à proprement parlé, même si la vie de l’auteur sert de fil conducteur au récit, le film est construit en chapitres, chacun de ces chapitres illustrant une œuvre du romancier, mettant ainsi en avant ses obsessions et ses contradictions. Poète, homosexuel, libertaire et conservateur, obsédé par la pureté et la beauté, fétichiste de l’uniforme, adorateur de l’empereur… dire que le personnage est complexe tient de l’euphémisme. Schrader réussis dans l’ensemble a restituer toute cette complexité, plutôt de belle manière.
Mishima, ce film impressionnant de Paul Schrader, a été produit par Francis Ford Coppola. Il a en effet tout ce que le réalisateur du Parrain aime : drame shakespearien il exploite la forte dualité dans le personnage de l'écrivain-soldat, une dimension tragique éblouissante : de nombreux aspects que l'on retrouve aussi dans Kagemusha de Kurosawa, lui aussi produit par Coppola. Mais le héros du film est surtout Paul Schrader. On reconnaît la mise en scène d'un scénariste comme dans Johnny s'en va-t-en guerre de Dalton Trumbo (avec la même opposition des scènes couleurs/noir et blanc) : importance massive exclusive sur le traitement de l'action plus que sur l'action elle-même, c'est pourquoi le film peut paraître trainer en longueur, alors qu'il s'agit d'aborder chacun des aspects du personnage avant l'issue, avant la mort inévitable. Mishima veut concilier art et pratique, art et action : bègue au début de sa vie, il va essayer la poésie au-delà des mots : narcissisme, culte du corps qui le conduit plus ou moins à développer son homosexualité, et aussi narcissisme morbide. Homme d'action privé d'action, Mishima est un personnage tragique par essence. De magnifiques tableaux surréalistes illustrent l'esprit de Mishima : le pavillon d'or qui s'embrase au milieu d'une forêt d'arbres en plastiques, le serment dans le temple au grand air, tous ces tableaux magnifiés par la musique vibrante de Philip Glass.