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    Mishima
    Note moyenne
    3,4
    215 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Mishima ?

    48 critiques spectateurs

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    15 critiques
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    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 26 novembre 2015
    Perso j'ai jamais aimé ce biopic, c'est trop pantouflard, il ne se passe absolument rien, c'est vieux et c'est joué par des vieux... c'est nul.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 26 novembre 2015
    spoiler: C'est par hasard que je tombe sur ce film 30 ans après sa sortie et là : gros mystère ! Mais comment a t il pu recevoir un prix au festival de cannes et qu'est ce qui a pris à la moitié de mes copains d'aimer ce film ??? (mes copines m'avaient déjà prévenue que c'était affligeant). Mais que suis-je en train de regarder mon dieu !? La musique est juste épouvantable : on se croirait dans une pub pour une assurance qui dure 2h ! C'est neuneu, c'est mou, dégoulinant de niaiseries en tout genre... Et ça se veut provocant : la blague ! Y a bien ça et là une [spoiler]paire de seins
    , la spoiler: kekete
    à Ken Ogata, un drap glissé dans une spoiler: raie de faiss
    , un chien qui fait un **** à la main du spoiler: kocu
    : génial, mais la prouesse cinématographique c'est que ce n'est meme pas érotique, t'es juste mort de rire. Ca a peut être electrisé la ménagère ou le jeune fils d'il y a 20 ans, mais bon là c'est vraiment pauvret les gars.[/spoiler]
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 26 novembre 2015
    Je devrais changer de méthode quant à ma façon de voir des films, ce n'est pas nouveau, je t'en reparle souvent, mais c'est parce que, outre le manque cruel de discipline, je n'ai pas trouvé de méthode simple à laquelle me tenir.

    Hier j'ai donc expérimenté pour ma première fois, je crois, noter un conseil tout frais, se procurer une copie du film, le regarder le lendemain.
    Pas de question à se poser du genre, mais pourquoi voulais-je voir ce film ?

    Pédaler dans la Choucroute.

    TheBadBreaker, lui-même, me faisait part du plaisir qu'il avait pris en regardant Mishima de Paul Schrader en me glissant discrètement un p'tit conseil parmi mes notifications.
    Je lui enverrais bien un peu de chou aigre.

    La légende raconte que cette façon de préparer le chou viendrait de Chine.
    Si c'est pas fou ça.

    Forcement de fil en aiguille tu découvres rapidement que Kôji a lui aussi réalisé un film sur le bonhomme… Ce qui te rappelle qu'il y a encore tellement de chose à voir.
    C'est là que se pointe de nouveau ton penchant à la procrastination.

    Étonnamment Paul Schrader ne m'est pas inconnu, mais il se retrouve de plus en plus à titiller mon intérêt. Ne serait que pour son actualité liée à "son" prochain film : Dying of the light.

    Pour ma part je ne saurais que trop vous conseiller de regarder ce film accompagné de pop-corn sucrés salés et d'un whisky Nikka, bien que je trouve le mien un peu agressif en bouche, il est pas mauvais pour autant.

    The Rite of Love and Death.

    Mais, me demandes-tu, pourquoi faut-il, comme toi Ô grand Kenshin, voir ce film ?

    Premièrement, Schrader a l'air fasciné par le sujet qu'il nous expose. Bien entendu, ceci n'est pas nécessairement un gage de qualité, encore moins d'objectivité quant au personnage auquel il décide de consacrer un film, mais cela va se traduire par un immense respect culturel.
    Naturellement, et bien que ça reste une agréable surprise à mes yeux, le film est tourné en Japonais.
    J'ai toujours en tête ce préjugé des américains hyper ethno-centrés, ne s'intéressant aux autres peuples que si un gentil américain vient se joindre à eux…
    Le tout tourné en anglais s'il vous plait.

    Je n'ai pas vu beaucoup de films présentant cette particularité.

    Deuxièmement, Schrader est soigneux. Pour s'en convaincre les premières minutes du film suffisent. Mishima s'est habillé avec minutie, il sort de chez lui, traverse son jardin et la camera se fixe sur un petit garçon qui le regarde partir.
    Et nous voilà plongé dans l'enfance de Mishima.
    C'est ce genre de petits artifices de mise en scène qui m'intéressent, et Guyness nous en faisait remarquer un autre alors que nous descendions un certain film, et bien qu'il ait parfaitement raison, cela ne pesa finalement pas si lourd dans la balance.

    On pourra ainsi compter à plusieurs reprises sur une mise en scène intelligente, sur des décors franchement beaux et bien utilisés comme dans le premier chapitre et son Pavillon d'or. Ou encore avec le décor de la prison : géométrie, minimalisme : brillant.
    On en place une pour Yann G. au passage.

    Bien entendu, certains points sont effleurés, comme s'il s'agissait de comédons.
    Ce n'est pas gracieux, alors Schrader ne va pas alourdir ce que l'on peut entrevoir clairement, comme cette recherche de pureté qui se vautre dans le passéisme et un patriotisme exacerbé.

    Sans avoir jamais lu une œuvre de Mishima, je livre alors ici un jugement hâtif, simplement basé sur mon ressentit après avoir vu l'œuvre de Schrader :
    Mishima, aux travers de ses écrits, faisait vivre à ses personnages ses propres quêtes, ses secrets difficilement avouables dans une société encore rigide, et ses vœux de pureté tant intellectuelle que physique. Même s'il s'est attelé à entretenir son corps, bien entendu.

    Et que dire justement de cette quête de pureté, de mort héroïque.
    Se faire recaler pour servir dans l'armée, et regretter toute sa vie de ne pas être mort de la sorte. Mourir dans la beauté de l'âge.
    Cette idée n'est pas seulement présente chez Mishima. On la retrouve par exemple dans Saint Seiya, je t'en ai déjà parlé, mais ça me turlupine…
    Qu'est ce qu'ils ont avec ce culte de la jeunesse ?

    Bon j'men va faire des pompes, j'ai un objectif à atteindre avant fin 2014 et il me reste 2 kilos à perdre et c'est dans la poche.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 26 novembre 2015
    Biopic hybride narrant les dernières heures de Yukio Mishima, en alternance avec la mise en scène ultra stylisée de quatre extraits majeurs, selon le réalisateur, de quatre œuvres de Mishima. Beauté, art, action puis synthèse de cette quête pathologique : harmonie de la plume et de la lame. Quarante ans après son suicide absurde et flamboyant, personne n'a percé le mystère Mishima, homme complexe, ultra narcissique, d'extrême droite autant par opportunisme (visibilité) que par conviction (militariste forcené prônant un retour à des valeurs morales fantasmées). La vision de Paul Schrader prend aux tripes comme rarement. La BO de Philip Glass est inoubliable.

    Le film n'a jamais été projeté au Japon, autant parce que la veuve de l'auteur s'y opposait de son vivant (déniant l'homosexualité attestée par tous les biographes de feu son mari) que parce que le Japon est encore aujourd'hui plutôt mal à l'aise face à cette figure littéraire extravagante.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 26 novembre 2015
    C’était un film que j’hésitais à voir. Je savais qu’il existait depuis longtemps mais je n’avais jamais tenté de me le procurer. Puis j’ai fini par tomber dessus en solde, je l’ai acheté, et il a commencé à prendre la poussière sur une étagère. Yukio Mishima est un auteur tellement important pour moi que voir son œuvre par les yeux d’un autre m’apparaissait comme un odieux sacrilège.

    Je me méfiais également du fait que le film reste surtout connu pour la musique de Philip Glass. J’y voyais un mauvais présage, comme si l’œuvre en elle-même n’était pas assez bonne pour vivre sans sa BO.

    J’ai lu facilement 90% de son œuvre traduite en français (romans, nouvelles, théâtre et essais compris) et au fond j’avais peur de découvrir un autre Mishima, peur de voir que j’aurais pu mal le comprendre, mal l’interpréter. J’ai été tellement touché par la lecture de cet auteur que parler de cette crainte me parait être une confidence des plus intimes.

    Alors que dire sinon que ma peur a été balayée par l’émerveillement à la vitesse d’un coup de katana? Ce mélange de biopic et d’extraits de son œuvre romanesque fonctionne à merveille si bien que je n’arrive plus à comprendre comment on pourrait traiter autrement d’un écrivain au cinéma. Les passages biographiques, fortement inspirés de Confessions d’un Masque et du Soleil et l’Acier, sont entrecoupés de scènes du Pavillon d’or, de la Maison de Kyoko (le seul de la liste que je n’ai pas encore lu) et de Chevaux Échappés.

    La mise en scène et les décors audacieux de ces extraits soulignent à merveille les interrogations de Mishima sur la beauté et sa soif conjointe d’artifice et de pureté. Quand les caméras reviennent sur Yukio Mishima, on découvre un Ken Ogata extrêmement convaincant et à même de porter tout le poids de son personnage. Mishima a toujours su sublimer ses propres contradictions au point qu’il en devient presque impossible d’en faire une synthèse. Pourtant Paul Schrader parvient à lui rendre un hommage sublime et à unifier à l’écran ses nombreuses facettes. Une merveille.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 21 novembre 2015
    Nul n'est besoin d'avoir vu le reste de la filmographie de Paul Schrader pour deviner que Mishima est son plus beau film, il s'attaque ici à la vie de Mishima un écrivain Japonais dont la vie est aussi passionnante (et peut-être plus riche) qu'un roman bien écrit. Schrader n'aborde pas de manière classique son biopic mais en mêlant habilement dans différentes tableaux la vie réelle de Mishima mais aussi son œuvre littéraire ce qui donne une touche originale et surtout une grande beauté. Un film troublant, intelligent et captivant sublimé par la belle musique de Philip Glass et qui finit sur un coup d'éclat qui semble avoir été inventé pour l'occasion mais qui a bel et bien eu lieu, à croire que Mishima a voulu terminer sa vie comme se termine une tragédie.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 20 novembre 2015
    Je devrais changer de méthode quant à ma façon de voir des films, ce n'est pas nouveau, je t'en reparle souvent, mais c'est parce que, outre le manque cruel de discipline, je n'ai pas trouvé de méthode simple à laquelle me tenir.

    Hier j'ai donc expérimenté pour ma première fois, je crois, noter un conseil tout frais, se procurer une copie du film, le regarder le lendemain.
    Pas de question à se poser du genre, mais pourquoi voulais-je voir ce film ?

    Pédaler dans la Choucroute.

    TheBadBreaker, lui-même, me faisait part du plaisir qu'il avait pris en regardant Mishima de Paul Schrader en me glissant discrètement un p'tit conseil parmi mes notifications.
    Je lui enverrais bien un peu de chou aigre.

    La légende raconte que cette façon de préparer le chou viendrait de Chine.
    Si c'est pas fou ça.

    Forcement de fil en aiguille tu découvres rapidement que Kôji a lui aussi réalisé un film sur le bonhomme… Ce qui te rappelle qu'il y a encore tellement de chose à voir.
    C'est là que se pointe de nouveau ton penchant à la procrastination.

    Étonnamment Paul Schrader ne m'est pas inconnu, mais il se retrouve de plus en plus à titiller mon intérêt. Ne serait que pour son actualité liée à "son" prochain film : Dying of the light.

    Pour ma part je ne saurais que trop vous conseiller de regarder ce film accompagné de pop-corn sucrés salés et d'un whisky Nikka, bien que je trouve le mien un peu agressif en bouche, il est pas mauvais pour autant.

    The Rite of Love and Death.

    Mais, me demandes-tu, pourquoi faut-il, comme toi Ô grand Kenshin, voir ce film ?

    Premièrement, Schrader a l'air fasciné par le sujet qu'il nous expose. Bien entendu, ceci n'est pas nécessairement un gage de qualité, encore moins d'objectivité quant au personnage auquel il décide de consacrer un film, mais cela va se traduire par un immense respect culturel.
    Naturellement, et bien que ça reste une agréable surprise à mes yeux, le film est tourné en Japonais.
    J'ai toujours en tête ce préjugé des américains hyper ethno-centrés, ne s'intéressant aux autres peuples que si un gentil américain vient se joindre à eux…
    Le tout tourné en anglais s'il vous plait.

    Je n'ai pas vu beaucoup de films présentant cette particularité.

    Deuxièmement, Schrader est soigneux. Pour s'en convaincre les premières minutes du film suffisent. Mishima s'est habillé avec minutie, il sort de chez lui, traverse son jardin et la camera se fixe sur un petit garçon qui le regarde partir.
    Et nous voilà plongé dans l'enfance de Mishima.
    C'est ce genre de petits artifices de mise en scène qui m'intéressent, et Guyness nous en faisait remarquer un autre alors que nous descendions un certain film, et bien qu'il ait parfaitement raison, cela ne pesa finalement pas si lourd dans la balance.

    On pourra ainsi compter à plusieurs reprises sur une mise en scène intelligente, sur des décors franchement beaux et bien utilisés comme dans le premier chapitre et son Pavillon d'or. Ou encore avec le décor de la prison : géométrie, minimalisme : brillant.
    On en place une pour Yann G. au passage.

    Bien entendu, certains points sont effleurés, comme s'il s'agissait de comédons.
    Ce n'est pas gracieux, alors Schrader ne va pas alourdir ce que l'on peut entrevoir clairement, comme cette recherche de pureté qui se vautre dans le passéisme et un patriotisme exacerbé.

    Sans avoir jamais lu une œuvre de Mishima, je livre alors ici un jugement hâtif, simplement basé sur mon ressentit après avoir vu l'œuvre de Schrader :
    Mishima, aux travers de ses écrits, faisait vivre à ses personnages ses propres quêtes, ses secrets difficilement avouables dans une société encore rigide, et ses vœux de pureté tant intellectuelle que physique. Même s'il s'est attelé à entretenir son corps, bien entendu.

    Et que dire justement de cette quête de pureté, de mort héroïque.
    Se faire recaler pour servir dans l'armée, et regretter toute sa vie de ne pas être mort de la sorte. Mourir dans la beauté de l'âge.
    Cette idée n'est pas seulement présente chez Mishima. On la retrouve par exemple dans Saint Seiya, je t'en ai déjà parlé, mais ça me turlupine…
    Qu'est ce qu'ils ont avec ce culte de la jeunesse ?

    Bon j'men va faire des pompes, j'ai un objectif à atteindre avant fin 2014 et il me reste 2 kilos à perdre et c'est dans la poche.

    xoxo
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 21 novembre 2015
    Immense scénariste mais cinéaste inégal, passionné par la culture japonaise, Paul Schrader s'attarde ici sur la vie de l'écrivain Yukio Mishima à travers son oeuvre et des moments cruciaux de son existence afin de mieux saisir sa personnalité complexe tout autant que brillante, en même temps que l'évolution de tout un pays. Lent, souvent ennuyeux, soporifique, portée par une interprétation remarquable et par la musique un peu faiblarde de Phillip Glass, "Mishima" est une œuvre perplexe qui a du faire rager les plus durs des spectateurs du site (voir les critiques négatives des spectateurs contenant une quinzaine de "0 étoiles").
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 20 novembre 2015
    C’était un film que j’hésitais à voir. Je savais qu’il existait depuis longtemps mais je n’avais jamais tenté de me le procurer. Puis j’ai fini par tomber dessus en solde, je l’ai acheté, et il a commencé à prendre la poussière sur une étagère. Yukio Mishima est un auteur tellement important pour moi que voir son œuvre par les yeux d’un autre m’apparaissait comme un odieux sacrilège.

    Je me méfiais également du fait que le film reste surtout connu pour la musique de Philip Glass. J’y voyais un mauvais présage, comme si l’œuvre en elle-même n’était pas assez bonne pour vivre sans sa BO.

    J’ai lu facilement 90% de son œuvre traduite en français (romans, nouvelles, théâtre et essais compris) et au fond j’avais peur de découvrir un autre Mishima, peur de voir que j’aurais pu mal le comprendre, mal l’interpréter. J’ai été tellement touché par la lecture de cet auteur que parler de cette crainte me parait être une confidence des plus intimes.

    Alors que dire sinon que ma peur a été balayée par l’émerveillement à la vitesse d’un coup de katana? Ce mélange de biopic et d’extraits de son œuvre romanesque fonctionne à merveille si bien que je n’arrive plus à comprendre comment on pourrait traiter autrement d’un écrivain au cinéma. Les passages biographiques, fortement inspirés de Confessions d’un Masque et du Soleil et l’Acier, sont entrecoupés de scènes du Pavillon d’or, de la Maison de Kyoko (le seul de la liste que je n’ai pas encore lu) et de Chevaux Échappés.

    La mise en scène et les décors audacieux de ces extraits soulignent à merveille les interrogations de Mishima sur la beauté et sa soif conjointe d’artifice et de pureté. Quand les caméras reviennent sur Yukio Mishima, on découvre un Ken Ogata extrêmement convaincant et à même de porter tout le poids de son personnage. Mishima a toujours su sublimer ses propres contradictions au point qu’il en devient presque impossible d’en faire une synthèse. Pourtant Paul Schrader parvient à lui rendre un hommage sublime et à unifier à l’écran ses nombreuses facettes. Une merveille.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 20 novembre 2015
    Si vous n'avez pas vu ce film vous n'avez rien vu. Un film coup de poing par sa bêtise, très bien qu'au bout d'un moment on se demande si le realisateur et l'équipe du film, n'ont pas une haine profonde envers le cinema. Les dialogues sont extraordinaire et le doublage sont digne d'un film porno, sans parler des acteurs recrutés, il semblerait dans un enterrement tellement qu'il n'ont aucune expression sur le visage. Vraiment j'ai jamais autant rigolé devant un film et pourtant j'en ai vu des nanars, mais celui la et bien il remporte toute les palmes (d'ailleurs au cas ou vous ne l'aurez pas remarqués toutes les autres critiques "positives" qui apparaissent sont de mauvaises blagues). Que ce soit au niveau du scenario, des dialogues , des acteurs, des musiques , du maquillage etc... Tout est pourri à un point que sa en devient hilarant!! Je le conseille pour une soirée entre pote ou avec sa copine vous allez pas regretter une seconde , j'ai même pleurer de rire à plusieurs reprise (surtout quand on voit une actrice lors de l'enterrement de l'écrivain qui se marre en arrière plan et qui a du mal a être sérieuse). Le registre Nanar a trouver son maitre messieurs et il se nomme : Mishima...
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 12 novembre 2015
    Ce film est à éviter absolument. C'est un piège. J'étais au bord du suicide à la moitié du film. Ken Ogata est d'une nullité intergalactique, l'histoire est banale et pleine d'incrédibilités, les personnages ont l'air travaillés mais on ne s'y attache pas, les scènes traînent indéfiniment devant nos yeux sans qu'on ne ressente la moindre petite chose ! Tout ça pendant 2h15 alors que le scénario pourrait très bien tenir en 1h30 ! Je ne me suis jamais autant ennuyé devant un film. Même la musique de Philip Glass qui est si géniale d'habitude, est terriblement fade ici. Il n'y a absolument rien à quoi se raccrocher pour sortir un peu de cet abyssal ennui, aucune image marquante, aucun paysage, aucun acteur fascinant. Ce film est le néant absolu.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 4 novembre 2015
    Moi qui me faisait une joie d'aller voir un des chef-d'oeuvre de Schreider, encensé par une critique unanime quand à son statut de monument, la chute n'en a été que plus dure. Long, niais, manichéen au possible, et sans la moindre subtilité quand au thèmes abordés, je me suis ennuyé durant tout le temps qu'à duré le film. Les musiques ont éxtrèmement mal vieilli, faisant penser à des partitions en MIDI tirées d'un jeu-vidéo, le thème principal est horripilant au possible... Bref, le film accuse vraiment son âge, et si l'on a vu "Affliction" ou bien encore "Dominion", le sujet récurrent des films de Schraider, le suicide, vous semblera ici traité sans la moindre subtilité. A éviter.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 21 novembre 2015
    Le scénario ne tient pas debout ! Il ne se passe pas grand chose, voire quasiment rien pendant 2 heures ! Les 5 dernières minutes - soit les seules ou il y a de l'action - sont minables... Enfin bref, ça doit être le pire film que j'ai vu. Très soporifique. Je n'ai rien retenu du tout à part l'ennui.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 29 octobre 2015
    Si vous n'avez pas vu ce film vous n'avez rien vu. Un film coup de poing par sa bêtise, très bien qu'au bout d'un moment on se demande si le réalisateur et l'équipe du film, n'ont pas une haine profonde envers le cinéma. Les dialogues sont extraordinaire et le doublage sont digne d'un film porno, sans parler des acteurs recruté il semblerait dans un enterrement tellement qu'il n'ont aucune expression sur le visage. J'ai jamais autant rigolé devant un film et pourtant j'en ai vu des nanars, mais celui la et bien il remporte toute les palmes. Que ce soit au niveau du scenario, des dialogues, des acteurs, des musiques, du maquillage etc... Tout est pourri à un point que sa en devient hilarant!! Je le conseille pour une soirée entre pote ou avec sa copine vous allez pas regretter une seconde , j'ai meme pleurer de rire à plusieurs reprise (surtout quand on voit une actrice lors de l'enterrement qui se marre en arriere plan et qui a du mal a etre serieuse). Le registre Nanar a trouver son maitre messieurs et il se nomme : MiShImA!!
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 31 octobre 2015
    Enfin un film complètement NUL. Les personnages ne jouent extrêmement pas bien leurs rôle. J'ai regardé ce film quand j'avais 13 ans et cela m'a traumatiser tellement c'est NUL. On voit bien que les personnages sont la en train de réciter un texte apris par coeur pendant 10 ans.
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