Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Bande à part
par Jo Fishley
Vincent Lindon sculpte un Rodin puissant, Izia Higelin trouble de fantaisie l’image névrosée de Camille Claudel, Jacques Doillon magnifie un portrait d’artistes à l’élégance sublime.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Jacques Doillon célèbre la precision du geste, la beauté et la sensualité de l'œuvre de Rodin dans ce film magnifique qui lui est consacre.
L'Humanité
par Dominique Widemann
La mise en scène de Jacques Doillon respire par sa rigueur. Costumes, décors et éclairages la servent en tonalités sourdes. Primauté à l’espace et aux déplacements. La forme sculptée semble jaillir de leur conjugaison.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Mathieu Macheret
Dans son film qui sort mercredi en salles, Jacques Doillon évite le piège du biopic officiel en suivant les élans intimes et créatifs d’Auguste Rodin, interprété par Vincent Lindon.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
Si le film de Doillon était une sculpture de Rodin, ce ne serait assurément pas le Monument à Balzac : il ne tend pas à la majesté ni ne veut faire de son modèle un personnage plus grand que nature. Si Rodin était une sculpture de Rodin, ce serait quelque chose de plus modeste, de plus discret et mineur en apparence : La Femme cambrée par exemple.
Closer
par La Rédaction
Un biopic passionnant.
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Son Rodin, Doillon le cherche comme un sculpteur travaillerait d’après un modèle vivant, ne l’affirme ni le sacralise mais le restitue au présent, aussi bien dans l’action que dans la réflexion.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Sur un sujet délicat - rendre la sculpture vivante à l’écran -, Doillon inverse le point de vue qu’avait adopté le Camille Claudel de Nuytten - Adjani, redonnant à Rodin le regard central, et l’incarnant de façon convaincante dans le corps et les gestes d’un Vincent Lindon habité.
Le Figaro
par La Rédaction
On trouve dans le film jusqu'au moindre geste créateur, jusqu'à la manière dont, par un regard appuyé, l'esprit capte la courbe d'un corps ou le trait caractéristique d'un visage. Cela est passionnant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Yves Jaeglé
On n'a jamais le sentiment de regarder un film historique, ni même un biopic - on ne suit le sculpteur que sur une dizaine d'années, de sa rencontre avec Camille Claudel à la réalisation douloureuse de son "Balzac" - mais de se faufiler dans sa vie, au plus près, au présent.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Portrait austère, mais plus vivant que bien des biopics hollywoodiens, “Rodin” creuse avec patience une vision juste, adulte (et en définitive non dénuée d’émotion) du sculpteur.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Le plus souvent filmé dans son atelier, son Rodin a la carrure dense, le regard intense et sévère, les mains robustes et l’intériorité puissante de Vincent Lindon. L’acteur et le cinéaste composent à deux un artiste habité, concentré, toujours en recherche, aux aguets, l’esprit et le corps tout entiers tournés vers l’oeuvre à accoucher, à peaufiner, à reprendre, dans une éternelle quête sisyphinenne.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Pierre Murat
Engueulades et jeux adolescents : osmose splendide entre la tendresse et l'hystérie, chères au réalisateur.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Alexandre Jourdain
Jacques Doillon libère toutes ses obsessions et hantises dans un drame sentimental faussement dépouillé. En filigrane, une superbe expérimentation sur la matière, la transcendance et l’amour impossible.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Mais le biopic délicat en demi-teinte est parfois presque évasif. Impression renforcée par la présence aléatoire des personnages, habités par leur art mais marmonnant leur credo. Notamment Vincent Lindon, dont la diction est souvent limite. Cette honorable évocation marque néanmoins par son refus du romanesque.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Grégoire Leménager
La première mi-temps du film est centrée sur les rapports douloureux de Rodin avec Camille Claudel (Izïa Higelin, dont la présence physique est souvent épatante) : elle est assez grandiloquente, on s'y ennuie poliment. La seconde partie, plus intéressante, enchaîne des scènes plus allusives sans prétendre tout dire (...).
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Transfiguré, presque mutique, parlant dans sa barbe, Vincent Lindon sculpte son personnage par petites touches, avec force et délicatesse. Rodin, c’est lui.
Paris Match
par Yannick Vely
Réflexion sur la création artistique et sur la place de chacun dans l’histoire d’Art – il est intéressant d’observer comment Auguste Rodin se confronte aux génies de son temps, (...) ce «Rodin» est trop austère et sur la même note d’intention pour séduire un large public.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Charlie Hebdo
par Sigolène Vinson
Le tout est plus bancal que "La Méditation sans bras" du sculpteur.
Critikat.com
par Fabien Reyre
La démarche est radicale, pour un résultat moins passionnant qu’il ne devrait l’être.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Ce film bancal, en permanent déséquilibre, qui baigne dans une lumière grise d’atelier et ne s’éclaire guère dans les extérieurs, est recouvert d’un voile terne. Un comble pour évoquer la vie de ce couple dont les œuvres dégagent une telle puissance d’émotions qu’à s’en approcher, on sent toujours le cœur battre et la vie palpiter sous la matière transfigurée.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Bande à part
Vincent Lindon sculpte un Rodin puissant, Izia Higelin trouble de fantaisie l’image névrosée de Camille Claudel, Jacques Doillon magnifie un portrait d’artistes à l’élégance sublime.
Femme Actuelle
Jacques Doillon célèbre la precision du geste, la beauté et la sensualité de l'œuvre de Rodin dans ce film magnifique qui lui est consacre.
L'Humanité
La mise en scène de Jacques Doillon respire par sa rigueur. Costumes, décors et éclairages la servent en tonalités sourdes. Primauté à l’espace et aux déplacements. La forme sculptée semble jaillir de leur conjugaison.
Le Monde
Dans son film qui sort mercredi en salles, Jacques Doillon évite le piège du biopic officiel en suivant les élans intimes et créatifs d’Auguste Rodin, interprété par Vincent Lindon.
Cahiers du Cinéma
Si le film de Doillon était une sculpture de Rodin, ce ne serait assurément pas le Monument à Balzac : il ne tend pas à la majesté ni ne veut faire de son modèle un personnage plus grand que nature. Si Rodin était une sculpture de Rodin, ce serait quelque chose de plus modeste, de plus discret et mineur en apparence : La Femme cambrée par exemple.
Closer
Un biopic passionnant.
La Septième Obsession
Son Rodin, Doillon le cherche comme un sculpteur travaillerait d’après un modèle vivant, ne l’affirme ni le sacralise mais le restitue au présent, aussi bien dans l’action que dans la réflexion.
Le Dauphiné Libéré
Sur un sujet délicat - rendre la sculpture vivante à l’écran -, Doillon inverse le point de vue qu’avait adopté le Camille Claudel de Nuytten - Adjani, redonnant à Rodin le regard central, et l’incarnant de façon convaincante dans le corps et les gestes d’un Vincent Lindon habité.
Le Figaro
On trouve dans le film jusqu'au moindre geste créateur, jusqu'à la manière dont, par un regard appuyé, l'esprit capte la courbe d'un corps ou le trait caractéristique d'un visage. Cela est passionnant.
Le Parisien
On n'a jamais le sentiment de regarder un film historique, ni même un biopic - on ne suit le sculpteur que sur une dizaine d'années, de sa rencontre avec Camille Claudel à la réalisation douloureuse de son "Balzac" - mais de se faufiler dans sa vie, au plus près, au présent.
Les Fiches du Cinéma
Portrait austère, mais plus vivant que bien des biopics hollywoodiens, “Rodin” creuse avec patience une vision juste, adulte (et en définitive non dénuée d’émotion) du sculpteur.
Les Inrockuptibles
Le plus souvent filmé dans son atelier, son Rodin a la carrure dense, le regard intense et sévère, les mains robustes et l’intériorité puissante de Vincent Lindon. L’acteur et le cinéaste composent à deux un artiste habité, concentré, toujours en recherche, aux aguets, l’esprit et le corps tout entiers tournés vers l’oeuvre à accoucher, à peaufiner, à reprendre, dans une éternelle quête sisyphinenne.
Télérama
Engueulades et jeux adolescents : osmose splendide entre la tendresse et l'hystérie, chères au réalisateur.
aVoir-aLire.com
Jacques Doillon libère toutes ses obsessions et hantises dans un drame sentimental faussement dépouillé. En filigrane, une superbe expérimentation sur la matière, la transcendance et l’amour impossible.
L'Humanité
Mais le biopic délicat en demi-teinte est parfois presque évasif. Impression renforcée par la présence aléatoire des personnages, habités par leur art mais marmonnant leur credo. Notamment Vincent Lindon, dont la diction est souvent limite. Cette honorable évocation marque néanmoins par son refus du romanesque.
L'Obs
La première mi-temps du film est centrée sur les rapports douloureux de Rodin avec Camille Claudel (Izïa Higelin, dont la présence physique est souvent épatante) : elle est assez grandiloquente, on s'y ennuie poliment. La seconde partie, plus intéressante, enchaîne des scènes plus allusives sans prétendre tout dire (...).
Le Journal du Dimanche
Transfiguré, presque mutique, parlant dans sa barbe, Vincent Lindon sculpte son personnage par petites touches, avec force et délicatesse. Rodin, c’est lui.
Paris Match
Réflexion sur la création artistique et sur la place de chacun dans l’histoire d’Art – il est intéressant d’observer comment Auguste Rodin se confronte aux génies de son temps, (...) ce «Rodin» est trop austère et sur la même note d’intention pour séduire un large public.
Charlie Hebdo
Le tout est plus bancal que "La Méditation sans bras" du sculpteur.
Critikat.com
La démarche est radicale, pour un résultat moins passionnant qu’il ne devrait l’être.
La Croix
Ce film bancal, en permanent déséquilibre, qui baigne dans une lumière grise d’atelier et ne s’éclaire guère dans les extérieurs, est recouvert d’un voile terne. Un comble pour évoquer la vie de ce couple dont les œuvres dégagent une telle puissance d’émotions qu’à s’en approcher, on sent toujours le cœur battre et la vie palpiter sous la matière transfigurée.