Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
La Voix du Nord
par Lucie Vidal
Fanny Ardant a adapté le roman éponyme de Jean-Daniel Baltassat dans une mise en scène qui rappelle l’univers théâtral à coup de plans fixes esthétiques où le moindre détail compte. Elle a mis sa sensibilité et sa passion au service d’une œuvre qui montre l’art, le pouvoir, la peur.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Après Danton, Napoléon, Raspoutine, un nouveau rôle énorme – Staline et ses démons intérieurs – à la mesure de l’énorme Depardieu. Troublant.
Transfuge
par Nathalie Dassa
Dans cette fable sur les rapports entre le pouvoir et l'art, Ardant distille une atmosphère de terreur et d'angoisse sourdes, renforcée par la musique, les décors et cette lumière brumeuse qui lui confère une touche surréaliste.
Télérama
par Pierre Murat
Ce que filme la réalisatrice, avec une sorte de panache, une audace inattendue, ce sont trois égarés qui, du plus puissant au plus lâche, cherchent en eux les traces d'un souffle depuis longtemps perdu, qu'ils ne retrouveront jamais.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Bande à part
par Isabelle Danel
Quelque chose de l’âme russe, de la grande littérature, souffle. Ce film ambitieux joue habilement du réel et de l’imaginaire, de l’Histoire avec un grand H et du fantasme recréé avec élégance.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Bonne idée que celle de porter à l'écran "Le Divan de Staline" de Jean-Daniel Baltassat avec un beau casting. Mais l’adaptation trouverait plus sa place au théâtre qu’au cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Parisien
par Catherine Balle
Ce "Divan..." nous plonge dans l'atmosphère perverse de la dictature. Au côté d'une Emmanuelle Seigner impeccable de justesse, Gérard Depardieu campe avec intensité un Staline violent et tourmenté.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Critikat.com
par Maël Mubalegh
Ce "Divan", ce n’était donc pas celui de Staline, mais celui de Gérard : au-delà de la mascarade, il se livre comme rarement dans ce film singulier, qui peut in fine être vu comme un portrait sans fard de l’acteur.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Arnaud Schwartz
Fanny Ardant adapte, de manière hélas peu convaincante, un roman de Jean-Daniel Baltassat dans lequel le dictateur soviétique se penche vers son subconscient.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Il ne faut pas chercher un discours construit qui chercherait à être plausible ; le film est plutôt fait de thèmes qui s'ébauchent, d'obsessions informulées. Il crée un paysage où l'extérieur et l'intérieur se confondent, à travers des reflets et des échos fugitifs. On peut y être sensible - ou pas. La réponse ne relève que de l'irrationnel.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
L’idée de confier le rôle de Staline à Gérard Depardieu pourrait faire croire à un sketch façon Groland. Tel n’est pourtant pas le projet de la réalisatrice dans ce film qui met aux prises l’autocrate avec sa maîtresse et son peintre officiel dans un palais bucolique. La chronique intime du totalitarisme qui en ressort, incontestablement étrange, ne semble pas en revanche décisive.
Les Fiches du Cinéma
par Christian Berger
Une réalisation maniérée, un Depardieu envahissant et une Emmanuelle Seigner atone, gâchent la reconstitution du rituel délétère et pervers imposé par le tyran.
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
Si le propos est captivant, l'ensemble reste trop mélancolique et trop bavard pour tenir la distance. Dommage.
aVoir-aLire.com
par Arthur Champilou
Fanny Ardant réduit les possibilités cinématographiques de son sujet à une suite de dialogues métaphysiques, à une mise en scène trop propre sur elle pour être originale ou surprenante, et s’enferme dans un ésotérisme qui ne permet pas au spectateur de rentrer dans l’histoire qu’elle raconte.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Voix du Nord
Fanny Ardant a adapté le roman éponyme de Jean-Daniel Baltassat dans une mise en scène qui rappelle l’univers théâtral à coup de plans fixes esthétiques où le moindre détail compte. Elle a mis sa sensibilité et sa passion au service d’une œuvre qui montre l’art, le pouvoir, la peur.
Le Dauphiné Libéré
Après Danton, Napoléon, Raspoutine, un nouveau rôle énorme – Staline et ses démons intérieurs – à la mesure de l’énorme Depardieu. Troublant.
Transfuge
Dans cette fable sur les rapports entre le pouvoir et l'art, Ardant distille une atmosphère de terreur et d'angoisse sourdes, renforcée par la musique, les décors et cette lumière brumeuse qui lui confère une touche surréaliste.
Télérama
Ce que filme la réalisatrice, avec une sorte de panache, une audace inattendue, ce sont trois égarés qui, du plus puissant au plus lâche, cherchent en eux les traces d'un souffle depuis longtemps perdu, qu'ils ne retrouveront jamais.
Bande à part
Quelque chose de l’âme russe, de la grande littérature, souffle. Ce film ambitieux joue habilement du réel et de l’imaginaire, de l’Histoire avec un grand H et du fantasme recréé avec élégance.
Franceinfo Culture
Bonne idée que celle de porter à l'écran "Le Divan de Staline" de Jean-Daniel Baltassat avec un beau casting. Mais l’adaptation trouverait plus sa place au théâtre qu’au cinéma.
Le Parisien
Ce "Divan..." nous plonge dans l'atmosphère perverse de la dictature. Au côté d'une Emmanuelle Seigner impeccable de justesse, Gérard Depardieu campe avec intensité un Staline violent et tourmenté.
Critikat.com
Ce "Divan", ce n’était donc pas celui de Staline, mais celui de Gérard : au-delà de la mascarade, il se livre comme rarement dans ce film singulier, qui peut in fine être vu comme un portrait sans fard de l’acteur.
La Croix
Fanny Ardant adapte, de manière hélas peu convaincante, un roman de Jean-Daniel Baltassat dans lequel le dictateur soviétique se penche vers son subconscient.
Le Figaro
Il ne faut pas chercher un discours construit qui chercherait à être plausible ; le film est plutôt fait de thèmes qui s'ébauchent, d'obsessions informulées. Il crée un paysage où l'extérieur et l'intérieur se confondent, à travers des reflets et des échos fugitifs. On peut y être sensible - ou pas. La réponse ne relève que de l'irrationnel.
Le Monde
L’idée de confier le rôle de Staline à Gérard Depardieu pourrait faire croire à un sketch façon Groland. Tel n’est pourtant pas le projet de la réalisatrice dans ce film qui met aux prises l’autocrate avec sa maîtresse et son peintre officiel dans un palais bucolique. La chronique intime du totalitarisme qui en ressort, incontestablement étrange, ne semble pas en revanche décisive.
Les Fiches du Cinéma
Une réalisation maniérée, un Depardieu envahissant et une Emmanuelle Seigner atone, gâchent la reconstitution du rituel délétère et pervers imposé par le tyran.
Studio Ciné Live
Si le propos est captivant, l'ensemble reste trop mélancolique et trop bavard pour tenir la distance. Dommage.
aVoir-aLire.com
Fanny Ardant réduit les possibilités cinématographiques de son sujet à une suite de dialogues métaphysiques, à une mise en scène trop propre sur elle pour être originale ou surprenante, et s’enferme dans un ésotérisme qui ne permet pas au spectateur de rentrer dans l’histoire qu’elle raconte.