Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
35 critiques presse
Bande à part
par Olivier Bombarda
Haneke joueur, brillant, cinglant : le maître autrichien est de retour avec un film noir, aux accents de comédie grinçante.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Critikat.com
par Maël Mubalegh
Mais à travers ce point aveugle du film, il nous renvoie sans doute à l’illusion de toute fiction bourgeoise : attribuer à chacun la place qu’il mérite dans la hiérarchie du monde.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par La Rédaction
La vie et la mort sont encore les ressorts dramatiques de ce subtil Happy end, qui apparaît comme la suite d’ Amour, cet amour à mort. Le vieil homme brisé – un grand Jean-Louis Trintignant saisissant, d’autant plus bouleversant qu’on le sait aujourd’hui atteint d’un cancer – à son tour veut mourir.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Ecran Large
par Chris Huby
"Happy End" continue l'oeuvre d'Haneke sans pour autant proposer ici une accroche facile. Il s'agît d'un film exigeant, qu'il faudrait idéalement regarder plusieurs fois pour en comprendre les interstices. D'apparence austère, le film se veut accrocheur dans ce qu'il propose à une époque où les jeunes spectateurs sont isssus d'une génération qui a beaucoup de facilités dans les mains. Entre moyens de communication intenses et fin des échanges directs, il est évident qu'Haneke tente de montrer que notre monde ne cesse de s'écrouler via une autodestruction programmée.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Humanité
par Dominique Widemann
À la manière d’un maître peintre revenant à ses motifs, Michael Haneke délivre l’essentiel. Pas de caricature, un diagnostic.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
LCI
par Jérôme Vermelin
Ce jeu de massacre, Michael Haneke l’orchestre avec un plaisir non dissimulé, la beauté de la lumière et des cadres du chef opérateur Christian Berger contrastant avec les noirs desseins de ses protagonistes.
La critique complète est disponible sur le site LCI
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
POUR : Chaque cadrage pose en soi une question profonde et stimulante du point de vue du spectateur. Un grand Haneke.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Cyrille Latour
Une œuvre ironique d’une grande actualité.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Transfuge
par Damien Aubel
Haneke est de retour avec ce "Happy End". Où il confirme sa veine de grand tragique.
Télérama
par Frédéric Strauss
POUR : Un film d’une lucidité tranquille, jamais sentencieuse, sur une perte généralisée des repères.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Un drame bourgeois glaçant avec un Jean-Louis Trintignant magistral.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Jamais ce père Fouettard de Haneke ne s'est montré aussi goguenard que dans ce film au goût d'inachevé. Mais la mise en scène au cordeau et la relation entre la gamine et le vieux restent d'une intelligence et d'une cruauté tout hanékiennes.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Paris Match
par Yannick Vely
Michael Haneke [désoriente] même les fans les plus transis avec ce film-somme qui revisite les grands thèmes de sa filmographie sans trouver le point d’équilibre entre l’autocitation et une nouvelle fiction.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Eithne O'Neill
Même s'il n'est pas nécessaire de le savoir pour apprécier cette satire aux allures de thriller glaçant, "Happy End" représente un retour aux sources thématiques, viscérales et radicales.
Première
par Gael Golhen
Il y a aussi des moments de cinéma très impressionnants où l’Autrichien met son art de la mise en scène géométrique et glaçante au service de sa fable destroy. La vérité, c’est qu’on ne voit rien de tout ça. Parce qu’il n’y a que Trintignant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
On a connu Haneke plus cruel, plus tendre, plus philosophe. Mais sous le glacis de ce récit éclaté, il manifeste une acuité toute particulière à saisir l’impossible empathie des êtres, l’enfermement sur soi et l’obscénité de situations qui ne nous font même plus réagir.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Voici
par La Rédaction
Un drôle de film "mal aimable", comme un best of subliminal de l'oeuvre du cinéaste autrichien.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
On reconnait les obsessions du cinéaste autrichien : l’enfance sadique, la passion dans la douleur, l’oppression familiale, l’approche du trépas… On a l’impression d’avoir déjà donné.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Arnaud Schwartz
L’auteur oscarisé d’Amour livre un film peu convaincant sur une famille pleine de névrose.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Sa bonne conscience en bandoulière, Haneke retrouve la forme glaciale de ses débuts, mais donne l’impression de tourner en rond.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Fidèle à sa manière et à ses thématiques, Haneke passe au scalpel l’hypocrisie et la perversion sociales, et il a la dent dure, même si, dans le plaisir qu’il prend manifestement à faire saigner là où ça fait mal, sa main apparaît ici un peu lourde et répétitive.
Le Figaro
par Etienne Sorin
Refus de la psychologie, art de l'ellipse, variété des régimes d'images (smartphone, caméra de vidéosurveillance), Haneke ressort sa panoplie pour poser un regard morne sur une humanité médiocre et névrosée. Mais le pessimisme n'est pas une vertu.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Bref, tout va pour le mieux dans le pire des mondes hanekiens, dont on a relativement peu de peine à se persuader qu’il ne saurait être le nôtre (mais peut-être avons-nous tort ?), en quoi le film manque son but.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
A Cannes cette fois-ci, la majorité de la critique a fait une overdose. Comme si elle feuilletait avec "Happy End", du cinéaste autrichien Michael Haneke, l'agaçant manuel du parfait petit Haneke illustré. C'est un peu exagéré et pourtant ce n'est pas faux non plus.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Récit choral sur une famille de bourgeois flirtant tous avec la pulsion morbide (matricide aux médocs par la petite dernière, tendances suicidaires du papi, vertiges autodestructeurs du fils mal-aimé, etc.), le film a tout pour dérouler l’ordinaire hanekien dans toute sa froide horreur.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
VSD
par Bernard Achour
Après un cinglant prologue, les mésaventures intimes de sa famille bourgeoise confrontée à une crise majeure ne dépassent guère le stade du catalogue de petites névroses platement moralisatrices.
aVoir-aLire.com
par Alexandre Jourdain
Petit jeu de massacre en territoire bourgeois aussi réflexif que stérile.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Michael Haneke se serait-il pris pour un super-héros ? On est en droit de se le demander tant Happy End tient de la visite du « Haneke cinematic universe ».
Culturopoing.com
par Enrique Seknadje
Haneke est pesant et davantage qu’auparavant. Il est obtus et il ressasse.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Express
par Christophe Carrière
(...) Haneke fait son malin, plus que du cinéma. C'est ennuyeux et embarrassant.
La Septième Obsession
par Claire Micallef
On n’attendait rien d’autre, malgré son titre aux résonances heureuses, donc ironiques, que de prendre une douche froide devant le dernier film de Michael Haneke.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
CONTRE : On s’ennuie ferme devant cette chronique qui parle beaucoup pour ne pas dire grand-chose.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Libération
par Marcos Uzal
En s’essayant à la satire sociale sur un ton plus léger mais toujours sinistre, Haneke se caricature sans rencontrer son sujet.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Pas subtil du tout et - cynisme oblige - ne cherchant jamais à l'être. A vouloir bien faire, Haneke dévitalise son film.
Télérama
par Samuel Douhaire
CONTRE : En matière de satire de la bourgeoisie, Buñuel et Chabrol étaient plus percutants et, surtout, moins sinistres. Les scènes qui se voudraient provocantes, à l’instar des échanges Facebook salaces entre Matthieu Kassovitz et sa maîtresse, sont grotesques.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Bande à part
Haneke joueur, brillant, cinglant : le maître autrichien est de retour avec un film noir, aux accents de comédie grinçante.
Critikat.com
Mais à travers ce point aveugle du film, il nous renvoie sans doute à l’illusion de toute fiction bourgeoise : attribuer à chacun la place qu’il mérite dans la hiérarchie du monde.
Dernières Nouvelles d'Alsace
La vie et la mort sont encore les ressorts dramatiques de ce subtil Happy end, qui apparaît comme la suite d’ Amour, cet amour à mort. Le vieil homme brisé – un grand Jean-Louis Trintignant saisissant, d’autant plus bouleversant qu’on le sait aujourd’hui atteint d’un cancer – à son tour veut mourir.
Ecran Large
"Happy End" continue l'oeuvre d'Haneke sans pour autant proposer ici une accroche facile. Il s'agît d'un film exigeant, qu'il faudrait idéalement regarder plusieurs fois pour en comprendre les interstices. D'apparence austère, le film se veut accrocheur dans ce qu'il propose à une époque où les jeunes spectateurs sont isssus d'une génération qui a beaucoup de facilités dans les mains. Entre moyens de communication intenses et fin des échanges directs, il est évident qu'Haneke tente de montrer que notre monde ne cesse de s'écrouler via une autodestruction programmée.
L'Humanité
À la manière d’un maître peintre revenant à ses motifs, Michael Haneke délivre l’essentiel. Pas de caricature, un diagnostic.
LCI
Ce jeu de massacre, Michael Haneke l’orchestre avec un plaisir non dissimulé, la beauté de la lumière et des cadres du chef opérateur Christian Berger contrastant avec les noirs desseins de ses protagonistes.
Le Journal du Dimanche
POUR : Chaque cadrage pose en soi une question profonde et stimulante du point de vue du spectateur. Un grand Haneke.
Les Fiches du Cinéma
Une œuvre ironique d’une grande actualité.
Transfuge
Haneke est de retour avec ce "Happy End". Où il confirme sa veine de grand tragique.
Télérama
POUR : Un film d’une lucidité tranquille, jamais sentencieuse, sur une perte généralisée des repères.
Femme Actuelle
Un drame bourgeois glaçant avec un Jean-Louis Trintignant magistral.
L'Obs
Jamais ce père Fouettard de Haneke ne s'est montré aussi goguenard que dans ce film au goût d'inachevé. Mais la mise en scène au cordeau et la relation entre la gamine et le vieux restent d'une intelligence et d'une cruauté tout hanékiennes.
Paris Match
Michael Haneke [désoriente] même les fans les plus transis avec ce film-somme qui revisite les grands thèmes de sa filmographie sans trouver le point d’équilibre entre l’autocitation et une nouvelle fiction.
Positif
Même s'il n'est pas nécessaire de le savoir pour apprécier cette satire aux allures de thriller glaçant, "Happy End" représente un retour aux sources thématiques, viscérales et radicales.
Première
Il y a aussi des moments de cinéma très impressionnants où l’Autrichien met son art de la mise en scène géométrique et glaçante au service de sa fable destroy. La vérité, c’est qu’on ne voit rien de tout ça. Parce qu’il n’y a que Trintignant.
Sud Ouest
On a connu Haneke plus cruel, plus tendre, plus philosophe. Mais sous le glacis de ce récit éclaté, il manifeste une acuité toute particulière à saisir l’impossible empathie des êtres, l’enfermement sur soi et l’obscénité de situations qui ne nous font même plus réagir.
Voici
Un drôle de film "mal aimable", comme un best of subliminal de l'oeuvre du cinéaste autrichien.
Franceinfo Culture
On reconnait les obsessions du cinéaste autrichien : l’enfance sadique, la passion dans la douleur, l’oppression familiale, l’approche du trépas… On a l’impression d’avoir déjà donné.
La Croix
L’auteur oscarisé d’Amour livre un film peu convaincant sur une famille pleine de névrose.
La Voix du Nord
Sa bonne conscience en bandoulière, Haneke retrouve la forme glaciale de ses débuts, mais donne l’impression de tourner en rond.
Le Dauphiné Libéré
Fidèle à sa manière et à ses thématiques, Haneke passe au scalpel l’hypocrisie et la perversion sociales, et il a la dent dure, même si, dans le plaisir qu’il prend manifestement à faire saigner là où ça fait mal, sa main apparaît ici un peu lourde et répétitive.
Le Figaro
Refus de la psychologie, art de l'ellipse, variété des régimes d'images (smartphone, caméra de vidéosurveillance), Haneke ressort sa panoplie pour poser un regard morne sur une humanité médiocre et névrosée. Mais le pessimisme n'est pas une vertu.
Le Monde
Bref, tout va pour le mieux dans le pire des mondes hanekiens, dont on a relativement peu de peine à se persuader qu’il ne saurait être le nôtre (mais peut-être avons-nous tort ?), en quoi le film manque son but.
Le Parisien
A Cannes cette fois-ci, la majorité de la critique a fait une overdose. Comme si elle feuilletait avec "Happy End", du cinéaste autrichien Michael Haneke, l'agaçant manuel du parfait petit Haneke illustré. C'est un peu exagéré et pourtant ce n'est pas faux non plus.
Les Inrockuptibles
Récit choral sur une famille de bourgeois flirtant tous avec la pulsion morbide (matricide aux médocs par la petite dernière, tendances suicidaires du papi, vertiges autodestructeurs du fils mal-aimé, etc.), le film a tout pour dérouler l’ordinaire hanekien dans toute sa froide horreur.
VSD
Après un cinglant prologue, les mésaventures intimes de sa famille bourgeoise confrontée à une crise majeure ne dépassent guère le stade du catalogue de petites névroses platement moralisatrices.
aVoir-aLire.com
Petit jeu de massacre en territoire bourgeois aussi réflexif que stérile.
Cahiers du Cinéma
Michael Haneke se serait-il pris pour un super-héros ? On est en droit de se le demander tant Happy End tient de la visite du « Haneke cinematic universe ».
Culturopoing.com
Haneke est pesant et davantage qu’auparavant. Il est obtus et il ressasse.
L'Express
(...) Haneke fait son malin, plus que du cinéma. C'est ennuyeux et embarrassant.
La Septième Obsession
On n’attendait rien d’autre, malgré son titre aux résonances heureuses, donc ironiques, que de prendre une douche froide devant le dernier film de Michael Haneke.
Le Journal du Dimanche
CONTRE : On s’ennuie ferme devant cette chronique qui parle beaucoup pour ne pas dire grand-chose.
Libération
En s’essayant à la satire sociale sur un ton plus léger mais toujours sinistre, Haneke se caricature sans rencontrer son sujet.
Studio Ciné Live
Pas subtil du tout et - cynisme oblige - ne cherchant jamais à l'être. A vouloir bien faire, Haneke dévitalise son film.
Télérama
CONTRE : En matière de satire de la bourgeoisie, Buñuel et Chabrol étaient plus percutants et, surtout, moins sinistres. Les scènes qui se voudraient provocantes, à l’instar des échanges Facebook salaces entre Matthieu Kassovitz et sa maîtresse, sont grotesques.