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Traversé par le regard vert de désespoir de l’acteur principal, ce très beau film brosse le portrait d’un homme emprisonné dans une vie dont il essaie de s’échapper.
Porté par une esthétique séduisante et des acteurs au charme indéniable, ce premier film souffre d’un scénario trop décousu pour intéresser très longtemps. La première partie laisse néanmoins entrevoir une belle énergie, qui s’épuise trop rapidement.
Parfois le film s'égare, hoquette, ne sait plus trop ce qu'il doit raconter en priorité, mais il est toujours sauvé par ses acteurs, Gael Garcia Bernal en tête, dont les années qui passent n'ont pas enlevé la douce mélancolie de son regard.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Doux rêve violent, "Si tu voyais son cœur" est à la fois tout ce que l'on peut attendre et craindre d'un premier film. Sensible, il flirte avec l'intelligence mais demeure trop réfléchi pour séduire pleinement.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
L’esthétique à la fois glauque et sophistiquée rappelle, un peu trop hélas, le Jean-Jacques Beineix tous néons dehors de La Lune dans le caniveau. Mais, entre la contribution sensible du romancier Santiago Amigorena et la musique élégante de Gabriel Yared, ce film noir offre quelques beaux éclats.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Un film peut exister sans intrigue, mais pas sans tenir le spectateur. D’autant que la trame a été vue mille fois. García Bernal est un fantôme. Même si cela correspond à son personnage, on ne s’accroche pas à lui.
Exit le sentiment de véracité, l’attrait du romanesque, place à de l’auteurisme creux, à une noirceur forcée de Jacques Audiard au petit pied. C’est d’autant plus regrettable que, pour un premier essai, le film a de la gueule.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La cinéaste semble s’être quelque peu perdue entre le naturalisme maussade de son sujet et l’espoir qu’à l’arrivée, l’hôtel constitue un univers en soi, plus mental que véridique.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le premier film de Joan Chemla use et abuse d’un maniérisme criard qui ne peut masquer un instant le vide stylistique et narratif de l’ensemble du projet.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Un casting pas vilain (Gael Garcia Bernal, Nahuel Perez Biscayart, Marine Vacth), une première scène pleine de promesses (un mariage gitan espagnol) et puis plus rien dans ce premier film français. Ou si, la chronique pénible d'un hôtel miteux, décor d'un drame existentiel prétentieux.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
[...]rien ne fonctionne, ni l’exil solitaire du personnage, ni ses rencontres qui restent théoriques, artificielles. Rien à reprocher aux acteurs qui font ce qu’ils peuvent, ni à l’équipe technique qui sait fabriquer des plans, mais cela ne suffit pas à faire un film, faute de situations dramaturgiques excitantes et de construction préalable de l’empathie avec son personnage. Dès lors, tout s’effondre. Voir ce film équivaut à accompagner le deuil d’une personne que l’on ne connaît pas pleurant une autre personne qu’on ne connaît pas plus.
Au prix d’un montage assez artificiel, alternant flash-back et présent, ce portrait d’un homme blessé sombre dans le tableau caricatural d’une communauté de marginaux réunis dans un hôtel miteux, grotesque lieu de perdition et de rédemption.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Parisien
Traversé par le regard vert de désespoir de l’acteur principal, ce très beau film brosse le portrait d’un homme emprisonné dans une vie dont il essaie de s’échapper.
CNews
(...) ce polar brut et poisseux aborde la thématique de la rédemption par l'amour.
L'Express
Il est même assez réjouissant de voir autant de personnalité dans un premier long-métrage.
Les Fiches du Cinéma
Porté par une esthétique séduisante et des acteurs au charme indéniable, ce premier film souffre d’un scénario trop décousu pour intéresser très longtemps. La première partie laisse néanmoins entrevoir une belle énergie, qui s’épuise trop rapidement.
Paris Match
Parfois le film s'égare, hoquette, ne sait plus trop ce qu'il doit raconter en priorité, mais il est toujours sauvé par ses acteurs, Gael Garcia Bernal en tête, dont les années qui passent n'ont pas enlevé la douce mélancolie de son regard.
Rolling Stone
Doux rêve violent, "Si tu voyais son cœur" est à la fois tout ce que l'on peut attendre et craindre d'un premier film. Sensible, il flirte avec l'intelligence mais demeure trop réfléchi pour séduire pleinement.
Télérama
L’esthétique à la fois glauque et sophistiquée rappelle, un peu trop hélas, le Jean-Jacques Beineix tous néons dehors de La Lune dans le caniveau. Mais, entre la contribution sensible du romancier Santiago Amigorena et la musique élégante de Gabriel Yared, ce film noir offre quelques beaux éclats.
Voici
Un drame onirique et social à l'atmosphère méphistophélique, dont on ressort groggy.
Franceinfo Culture
Un film peut exister sans intrigue, mais pas sans tenir le spectateur. D’autant que la trame a été vue mille fois. García Bernal est un fantôme. Même si cela correspond à son personnage, on ne s’accroche pas à lui.
L'Obs
Exit le sentiment de véracité, l’attrait du romanesque, place à de l’auteurisme creux, à une noirceur forcée de Jacques Audiard au petit pied. C’est d’autant plus regrettable que, pour un premier essai, le film a de la gueule.
Le Journal du Dimanche
(...) le film bascule dans une quête de rédemption sans queue ni tête, et on ne comprend plus bien où la réalisatrice veut nous emmener.
Le Monde
Projet a priori séduisant, "Si tu voyais son coeur" ne dépasse pourtant pas l’étape du scénario filmé.
Libération
La cinéaste semble s’être quelque peu perdue entre le naturalisme maussade de son sujet et l’espoir qu’à l’arrivée, l’hôtel constitue un univers en soi, plus mental que véridique.
Studio Ciné Live
Hélas, malgré ses ambitions, ce mélo romantico-déglingué n'engendre pas le vertige escompté. Tellement abstrait qu'il finit par s'autodissoudre.
aVoir-aLire.com
Un drame d’une extrême noirceur que la présence de Gael García Bernal ne parvient pas à illuminer.
Critikat.com
Le premier film de Joan Chemla use et abuse d’un maniérisme criard qui ne peut masquer un instant le vide stylistique et narratif de l’ensemble du projet.
Le Figaro
Un casting pas vilain (Gael Garcia Bernal, Nahuel Perez Biscayart, Marine Vacth), une première scène pleine de promesses (un mariage gitan espagnol) et puis plus rien dans ce premier film français. Ou si, la chronique pénible d'un hôtel miteux, décor d'un drame existentiel prétentieux.
Les Inrockuptibles
[...]rien ne fonctionne, ni l’exil solitaire du personnage, ni ses rencontres qui restent théoriques, artificielles. Rien à reprocher aux acteurs qui font ce qu’ils peuvent, ni à l’équipe technique qui sait fabriquer des plans, mais cela ne suffit pas à faire un film, faute de situations dramaturgiques excitantes et de construction préalable de l’empathie avec son personnage. Dès lors, tout s’effondre. Voir ce film équivaut à accompagner le deuil d’une personne que l’on ne connaît pas pleurant une autre personne qu’on ne connaît pas plus.
Première
Au prix d’un montage assez artificiel, alternant flash-back et présent, ce portrait d’un homme blessé sombre dans le tableau caricatural d’une communauté de marginaux réunis dans un hôtel miteux, grotesque lieu de perdition et de rédemption.