Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
CNews
par La rédaction
[...] splendide et féministe [...].
La Septième Obsession
par Thomas Aïdan
Ocelot n’est pas seulement un artiste, il est aussi un fabuleux astrophysicien des sentiments humains.
20 Minutes
par Caroline Vié
Michel Ocelot reste fidèle à ses convictions: défendre avec malice les opprimés dans des films d'animation qui s'adressent au plus grand nombre, et en aucun cas uniquement aux enfants.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Culturopoing.com
par Thomas Roland
Œuvre ouvertement féministe, engagée avec ferveur contre toute forme d’oppression masculine, "Dilili à Paris" met en avant de grandes figures féminines de l’époque.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Elle
par Héléna Villovitch
Un shot d'émotion.
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Un jeu de piste captivant à travers le Paris de la Belle Epoque.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
"Dilili à Paris" tend une corde de plus à l’arc de ce magicien du film pour enfants où les parents trouvent aussi leur compte.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Dominique Widemann
Tapis dans les soubassements de la cité, les Mâles-Maîtres asservissent leurs jeunes captives réduites à des formes rampantes englobées de voiles noirs. On voit que l’heure est grave. Mais Dilili et consorts visent les étoiles humanistes.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Michel Ocelot, le créateur de "Kirikou", repousse une fois de plus les limites de l'enchantement et du merveilleux grâce à une époustouflante créativité picturale et chromatique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Stéphane Joby
Avec peut-être moins de finesse mais plus d’actualité que dans ses précédentes fables, il offre un généreux manifeste à destination d’un public familial.
Le Parisien
par La Rédaction
On aime beaucoup ce nouvel opus de Michel Ocelot tant pour sa forme -des photos repeintes de Paris qui servent de décors aux personnages animés qui s’y animent- que son fond.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Philippe Guedj
L'auteur des Kirikou revient avec ce somptueux conte humaniste célébrant le vivre-ensemble.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Isabelle Boudet
Le nouvel opus de Michel Ocelot séduit par son animation et son ton inimitables, plus que par son récit un peu répétitif et compliqué.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Michel Roudevitch
En persévérant dans l’art de raconter des histoires actuelles sur le ton des contes d’autrefois, tel ce nouvel éloge de la mixité (Dilili, la Kanake métissée, revendique sa double culture) qui s’élève énergiquement contre les injustices faites aux femmes, en parfaite adéquation avec les engagements du cinéaste qui concluait ainsi sa déclaration d’intentions : "Beaucoup de graines de civilisation et d’ouverture auront été semées. Une partie finira par germer."
Télérama
par Guillemette Odicino
Enquête mystérieuse, couleurs féeriques, propos féministe… Un régal.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Arthur Champilou
Toujours en quête d’innovations visuelles et esthétiques, Michel Ocelot suit les aventures mouvementées d’une fillette Noire à la Belle Époque avec un travail pictural en hommage aux tableaux de maîtres.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par Olivier Pélisson
Michel Ocelot n’a rien perdu de son inventivité. En mettant en scène cette fois l’Hexagone, il remonte le temps et réinvente un moment de l’histoire commune. Un combat aussi, celui de la culture et de la femme.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Thierry Méranger
Le dernier long métrage de Michel Ocelot surprend mais divise.
L'Express
par Christophe Carrière
Ce défilé de guest stars soigneusement choisies, s'il n'est pas finement amené, a le mérite d'offrir aux plus jeunes une visite guidée de ce qui se faisait de mieux en ce temps-là aux rayons culture et science. Et l'animation dans tout cela ? Le parti pris des photos en guise de décors est discutable, mais le graphisme d'Ocelot est toujours aussi somptueux.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Même s’il prend ses distances vis-à-vis d’une interprétation trop spécifique, le cinéaste mène son plaidoyer pour les droits communs avec virulence, quitte à sacrifier la subtilité qui fut propre à ses précédentes œuvres.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Marius Chapuis
L’exercice de funambule visuel accapare tellement - sans qu’on parvienne à trancher si la collision est splendide ou atroce, ce qui, d’expérience, plaide plutôt pour un sublime auquel notre œil n’est pas fait - qu’il éloigne du film et de son intrigue.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
"Dilili à Paris" est bien sûr sublime visuellement - Michel Ocelot est l'un des derniers grands maîtres de l'animation française. Il ose la couleur et les contrastes en retouchant avec minutie ses propres photographies. Il faut néanmoins adhérer au rythme particulier de son érudit récit qui convoque les grandes figures artistiques de l'époque sans parfois bien les intégrer à l'histoire principale.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Christophe Narbonne
L’envie louable d’élever le petit spectateur est toujours là mais elle se double cette fois d’un discours antipatriarcal sérieusement didactique, et même anxiogène : les filles y sont traitées comme des êtres asservis, “niqabisés”. Cette noirceur inédite, motivée par un élan sincère, crée un léger malaise, adouci in extremis par un éblouissant final féérique.
La critique complète est disponible sur le site Première
Voici
par Lola Sciamma
Un rendez-vous idéal pour les scolaires par le papa de Kirikou.
Critikat.com
par Thomas Choury
"Dilili à Paris" pâtit considérablement d'une contradiction dans son ambition même : derrière l'apparence légère et candide du conte, le film assène au contraire un discours lourdement symbolique qui plombe tout le potentiel poétique qu'il semblait promettre.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Figaro
par La Rédaction
Vingt ans après les aventures de l'espiègle et vaillant Kirikou, Michel Ocelot nous assomme avec une petite fille kanake sentencieuse et gnangnan dans le Paris de la Belle Époque.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
CNews
[...] splendide et féministe [...].
La Septième Obsession
Ocelot n’est pas seulement un artiste, il est aussi un fabuleux astrophysicien des sentiments humains.
20 Minutes
Michel Ocelot reste fidèle à ses convictions: défendre avec malice les opprimés dans des films d'animation qui s'adressent au plus grand nombre, et en aucun cas uniquement aux enfants.
Culturopoing.com
Œuvre ouvertement féministe, engagée avec ferveur contre toute forme d’oppression masculine, "Dilili à Paris" met en avant de grandes figures féminines de l’époque.
Elle
Un shot d'émotion.
Femme Actuelle
Un jeu de piste captivant à travers le Paris de la Belle Epoque.
Franceinfo Culture
"Dilili à Paris" tend une corde de plus à l’arc de ce magicien du film pour enfants où les parents trouvent aussi leur compte.
L'Humanité
Tapis dans les soubassements de la cité, les Mâles-Maîtres asservissent leurs jeunes captives réduites à des formes rampantes englobées de voiles noirs. On voit que l’heure est grave. Mais Dilili et consorts visent les étoiles humanistes.
L'Obs
Michel Ocelot, le créateur de "Kirikou", repousse une fois de plus les limites de l'enchantement et du merveilleux grâce à une époustouflante créativité picturale et chromatique.
Le Journal du Dimanche
Avec peut-être moins de finesse mais plus d’actualité que dans ses précédentes fables, il offre un généreux manifeste à destination d’un public familial.
Le Parisien
On aime beaucoup ce nouvel opus de Michel Ocelot tant pour sa forme -des photos repeintes de Paris qui servent de décors aux personnages animés qui s’y animent- que son fond.
Le Point
L'auteur des Kirikou revient avec ce somptueux conte humaniste célébrant le vivre-ensemble.
Les Fiches du Cinéma
Le nouvel opus de Michel Ocelot séduit par son animation et son ton inimitables, plus que par son récit un peu répétitif et compliqué.
Positif
En persévérant dans l’art de raconter des histoires actuelles sur le ton des contes d’autrefois, tel ce nouvel éloge de la mixité (Dilili, la Kanake métissée, revendique sa double culture) qui s’élève énergiquement contre les injustices faites aux femmes, en parfaite adéquation avec les engagements du cinéaste qui concluait ainsi sa déclaration d’intentions : "Beaucoup de graines de civilisation et d’ouverture auront été semées. Une partie finira par germer."
Télérama
Enquête mystérieuse, couleurs féeriques, propos féministe… Un régal.
aVoir-aLire.com
Toujours en quête d’innovations visuelles et esthétiques, Michel Ocelot suit les aventures mouvementées d’une fillette Noire à la Belle Époque avec un travail pictural en hommage aux tableaux de maîtres.
Bande à part
Michel Ocelot n’a rien perdu de son inventivité. En mettant en scène cette fois l’Hexagone, il remonte le temps et réinvente un moment de l’histoire commune. Un combat aussi, celui de la culture et de la femme.
Cahiers du Cinéma
Le dernier long métrage de Michel Ocelot surprend mais divise.
L'Express
Ce défilé de guest stars soigneusement choisies, s'il n'est pas finement amené, a le mérite d'offrir aux plus jeunes une visite guidée de ce qui se faisait de mieux en ce temps-là aux rayons culture et science. Et l'animation dans tout cela ? Le parti pris des photos en guise de décors est discutable, mais le graphisme d'Ocelot est toujours aussi somptueux.
Le Monde
Même s’il prend ses distances vis-à-vis d’une interprétation trop spécifique, le cinéaste mène son plaidoyer pour les droits communs avec virulence, quitte à sacrifier la subtilité qui fut propre à ses précédentes œuvres.
Libération
L’exercice de funambule visuel accapare tellement - sans qu’on parvienne à trancher si la collision est splendide ou atroce, ce qui, d’expérience, plaide plutôt pour un sublime auquel notre œil n’est pas fait - qu’il éloigne du film et de son intrigue.
Paris Match
"Dilili à Paris" est bien sûr sublime visuellement - Michel Ocelot est l'un des derniers grands maîtres de l'animation française. Il ose la couleur et les contrastes en retouchant avec minutie ses propres photographies. Il faut néanmoins adhérer au rythme particulier de son érudit récit qui convoque les grandes figures artistiques de l'époque sans parfois bien les intégrer à l'histoire principale.
Première
L’envie louable d’élever le petit spectateur est toujours là mais elle se double cette fois d’un discours antipatriarcal sérieusement didactique, et même anxiogène : les filles y sont traitées comme des êtres asservis, “niqabisés”. Cette noirceur inédite, motivée par un élan sincère, crée un léger malaise, adouci in extremis par un éblouissant final féérique.
Voici
Un rendez-vous idéal pour les scolaires par le papa de Kirikou.
Critikat.com
"Dilili à Paris" pâtit considérablement d'une contradiction dans son ambition même : derrière l'apparence légère et candide du conte, le film assène au contraire un discours lourdement symbolique qui plombe tout le potentiel poétique qu'il semblait promettre.
Le Figaro
Vingt ans après les aventures de l'espiègle et vaillant Kirikou, Michel Ocelot nous assomme avec une petite fille kanake sentencieuse et gnangnan dans le Paris de la Belle Époque.