Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Positif
par Alain Masson
Cela va trop vite pour notre attention. Quel vertige ! Et puis nous reprenons pied, avant de succomber de nouveau à un ravissement intellectuel.
Cahiers du Cinéma
par Camille Bui
C’est l’indépendance des objets du désir, leur consistance subjective qui fait de la mise en scène chez Guerin une véritable dynamique désirante.
Critikat.com
par Arnaud Hée
La beauté des mots, des paroles, des êtres est ce qui relie toutes les coordonnées de ce film labyrinthique.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Mathieu Macheret
Là où le film se révèle vite passionnant, c'est qu'il ne se contente pas de capter cette parole (...), mais lui oppose une autre force, celle du visage.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Cette « comédie des muses » joliment peuplée charme par son exploration piquante des origines de l’amour dans la littérature du XIVe siècle. Elle captive ensuite en tentant d’appliquer cet idéal poétique au monde réel et actuel. Guérin nous rappelle l’immense pouvoir de l’illusion (amoureuse).
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Nous sommes devant vous et les illusions sont à nu, semblent-ils nous dire, à la façon de comédiens dans une pièce de Shakespeare. Nous sommes l’étoffe dont on fait les songes. Vous y avez cru ? Eh bien c’est la preuve que le subterfuge fonctionne encore.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
Tourné avec une équipe réduite et une vraie économie d'effets, "L'Académie des muses" séduit par la simplicité de son dispositif et le charme qui s'en dégage.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
La Septième Obsession
par Morgan Pokée
L’on pourrait craindre avec "L’Académie des muses" un film autiste. Or Guerin confronte perpétuellement, dans un geste cinématographique particulièrement audacieux, son dispositif au monde qui l’entoure.
Télérama
par Mathilde Blottière
Si élèves et professeurs jouent leurs propres rôles, il s'agit bien de tirer cette réflexion théorique vers la pratique et vers la fiction. Le film devient savoureux quand il sort des amphis, montrant le pauvre prof dépassé par ses préceptes (« enseigner, c'est séduire ») et ses disciples.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Première
par Julia Beyer-Agostini
Il faut s’accrocher pour suivre le fil de cet essai cinématographique.
La critique complète est disponible sur le site Première
Positif
Cela va trop vite pour notre attention. Quel vertige ! Et puis nous reprenons pied, avant de succomber de nouveau à un ravissement intellectuel.
Cahiers du Cinéma
C’est l’indépendance des objets du désir, leur consistance subjective qui fait de la mise en scène chez Guerin une véritable dynamique désirante.
Critikat.com
La beauté des mots, des paroles, des êtres est ce qui relie toutes les coordonnées de ce film labyrinthique.
Le Monde
Là où le film se révèle vite passionnant, c'est qu'il ne se contente pas de capter cette parole (...), mais lui oppose une autre force, celle du visage.
Les Inrockuptibles
Cette « comédie des muses » joliment peuplée charme par son exploration piquante des origines de l’amour dans la littérature du XIVe siècle. Elle captive ensuite en tentant d’appliquer cet idéal poétique au monde réel et actuel. Guérin nous rappelle l’immense pouvoir de l’illusion (amoureuse).
Libération
Nous sommes devant vous et les illusions sont à nu, semblent-ils nous dire, à la façon de comédiens dans une pièce de Shakespeare. Nous sommes l’étoffe dont on fait les songes. Vous y avez cru ? Eh bien c’est la preuve que le subterfuge fonctionne encore.
Paris Match
Tourné avec une équipe réduite et une vraie économie d'effets, "L'Académie des muses" séduit par la simplicité de son dispositif et le charme qui s'en dégage.
La Septième Obsession
L’on pourrait craindre avec "L’Académie des muses" un film autiste. Or Guerin confronte perpétuellement, dans un geste cinématographique particulièrement audacieux, son dispositif au monde qui l’entoure.
Télérama
Si élèves et professeurs jouent leurs propres rôles, il s'agit bien de tirer cette réflexion théorique vers la pratique et vers la fiction. Le film devient savoureux quand il sort des amphis, montrant le pauvre prof dépassé par ses préceptes (« enseigner, c'est séduire ») et ses disciples.
Première
Il faut s’accrocher pour suivre le fil de cet essai cinématographique.