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Si Barbara Albert a ici véritablement à cœur d’exhiber les turpitudes du jeu de masques social, elle est cependant loin de s’y complaire, et la reconstitution historique n’est bientôt plus qu’un arrière-plan de vraisemblance que la caméra oublie pour capter ce qui l’intéresse.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Autrichienne Barbara Albert ("State of the Union", "Banlieue nord") a réalisé "Mademoiselle Paradis" avec une simplicité qui contraste avec le baroque de ce siècle impérial. Disparue en 1824, à 65 ans, Maria n'a pas laissé une grande empreinte ; ce film passionnant et émouvant lui rend justice.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le film avait matière à explorer des problématiques figuratives et abstraites : la cécité stimulée par un magnétisme au pouvoirs obscurs. Au lieu de cela, Barbara Albert se contente de mettre en scène une plate reconstitution de mœurs.
Derrière la réussite esthétique de ce biopic historique, la réalisatrice pose surtout avec vigueur cette étonnante question : renoncer à la cécité et voir le monde tel qu’il est ne limite-t-il pas l’expérience de la liberté et n’empêche-t-il pas de percevoir l’existence avec intensité ?
La critique complète est disponible sur le site Première
Symptôme d’une mise en scène phagocytée par la reconstitution historique, le traitement caricatural des personnages secondaires met à distance. L’interprétation à fleur de peau de Maria-Victoria Dragus, dans le rôle principal, n’en suscite pas moins une forme d’émoi.
Une espèce de grand chelem de tristes épreuves - dosage de pathos abusivement déversé - qui nous fera sans grande surprise slalomer mollement, les mains épuisées de pianoter, dans la vie de Paradis téléfilmée.
La critique complète est disponible sur le site Libération
L’actrice, Maria Dragus, apporte une présence étrange, presque dérangeante, à son personnage de surdouée, victime de sa famille et de la société. Le film, en revanche, empile les reconstitutions académiques.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
CNews
Drame sensuel, le film se distingue aussi par la prestation de Maria-Victoria Dragus (...).
Critikat.com
Si Barbara Albert a ici véritablement à cœur d’exhiber les turpitudes du jeu de masques social, elle est cependant loin de s’y complaire, et la reconstitution historique n’est bientôt plus qu’un arrière-plan de vraisemblance que la caméra oublie pour capter ce qui l’intéresse.
L'Obs
L'Autrichienne Barbara Albert ("State of the Union", "Banlieue nord") a réalisé "Mademoiselle Paradis" avec une simplicité qui contraste avec le baroque de ce siècle impérial. Disparue en 1824, à 65 ans, Maria n'a pas laissé une grande empreinte ; ce film passionnant et émouvant lui rend justice.
Le Journal du Dimanche
Époustouflante, Maria Dragus apporte beaucoup à cette mise en scène classique mais accrocheuse avec son histoire étonnante et véridique.
Positif
Film de genre élégant et émouvant, avec la musique en prime.
Le Figaro
Un film au rythme lent qui traite des apparences trompeuses. Très bien interprété.
Les Fiches du Cinéma
Le film avait matière à explorer des problématiques figuratives et abstraites : la cécité stimulée par un magnétisme au pouvoirs obscurs. Au lieu de cela, Barbara Albert se contente de mettre en scène une plate reconstitution de mœurs.
Première
Derrière la réussite esthétique de ce biopic historique, la réalisatrice pose surtout avec vigueur cette étonnante question : renoncer à la cécité et voir le monde tel qu’il est ne limite-t-il pas l’expérience de la liberté et n’empêche-t-il pas de percevoir l’existence avec intensité ?
Le Monde
Symptôme d’une mise en scène phagocytée par la reconstitution historique, le traitement caricatural des personnages secondaires met à distance. L’interprétation à fleur de peau de Maria-Victoria Dragus, dans le rôle principal, n’en suscite pas moins une forme d’émoi.
Libération
Une espèce de grand chelem de tristes épreuves - dosage de pathos abusivement déversé - qui nous fera sans grande surprise slalomer mollement, les mains épuisées de pianoter, dans la vie de Paradis téléfilmée.
Télérama
L’actrice, Maria Dragus, apporte une présence étrange, presque dérangeante, à son personnage de surdouée, victime de sa famille et de la société. Le film, en revanche, empile les reconstitutions académiques.