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    Fantastic birthday
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    3,2
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    31 critiques spectateurs

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    Ti Nou
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    496 abonnés 3 495 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 novembre 2022
    Audacieux et tendre, le premier long-métrage de la réalisatrice australienne Rosemary Myers ménage de très beaux moments de cinéma. Coloré et pétillant, il n’hésite pas à se muer en cauchemar lorsque l’adolescente est en plein doute devant la nécessité de grandir.
    moket
    moket

    528 abonnés 4 333 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 avril 2022
    Le film est incroyablement bref et c'est bien dommage car on tenait là un petit ovni dont l'univers barré lorgne un peu du côté de Wes Anderson. Finalement il se termine un peu comme si de rien n'était en nous laissant avec la sensation qu'il n'est pas allé assez loin.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    689 abonnés 3 012 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 28 octobre 2020
    Girl Asleep entend singer l’esthétique élaborée par Wes Anderson tout au long de sa filmographie : sens aigu du cadre et de la symétrie, contrastes de couleurs importants, personnages unilatéraux qui évoluent dans un environnement étrange, regard sur l’enfance et initiation amoureuse. On pense beaucoup à Moonrise Kingdom et à son protagoniste principal qui aurait quitté le camp scout pour retourner à l’école. Le souci, c’est que le long métrage australien n’a strictement rien à raconter et se contente d’appliquer servilement, sous couvert d’originalité et de personnalité, une recette qu’il ne s’approprie à aucun moment et qui, dans son cas, ne fonctionne pas du tout : le burlesque s’avère des plus pauvres, les dissonances de ton sont artificielles, la réalisation et le montage n’ont aucun sens du rythme, les acteurs ne disposent d’aucune épaisseur. Tout cela est boursouflé, gonflé aux ralentis pompeux d’inspiration Xavier Dolan, la virtuosité du geste en moins. Les situations se mettent en place de telle sorte que nous percevons d’entrée de jeu les intentions comiques ou dramatiques recherchées : la lisibilité est totale, la qualité de ce que nous lisons, nulle. Voilà une œuvre indéfendable qui a pour seul mérite de convier son spectateur à se replonger dans le cinéma originel de Wes Anderson.
    Gustave Aurèle
    Gustave Aurèle

    139 abonnés 2 418 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 août 2020
    Le début du film est très prometteur, l'ambiance est vintage et décalée. Et puis le film s'enlise dans une partie onirique pas très réussie.
    VOSTTL
    VOSTTL

    96 abonnés 1 937 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 juin 2018
    La première partie de « Fantastic Birthday » est très agréable et suscite la curiosité pour la séquence suivante. Non seulement c’est assez inattendu, décalé, coloré mais c’est géométrique. Chaque plan est soigné, bien tracé, les éléments, acteurs, décors, équilibrés. La forêt elle-même a des arbres longilignes et ordonnés. Justement, dans la forêt qui correspond à une deuxième partie, le film faiblit et moi avec. Plus de curiosité, juste une attente que Greta finisse son épreuve. On a compris où veut en venir la réalisatrice. Cependant c’est une bonne surprise à découvrir en V.O pour l’accent australien. Une mention pour l’acteur Harrison Feldman pour son personnage Elliott, d’une expressivité réjouissante.
    Apanage
    Apanage

    2 abonnés 38 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 mai 2018
    Fantastic Birthday est un film décalé, kitch, rétro, coloré, fou et poétique. Les personnages sont dépeint de façon volontairement caricaturale. Le scénario nous raconte les habituels tourments de l'adolescence : les difficultés à s'insérer dans la vie sociale, les rapports fille/garçon et principalement l'évolution de la personnalité. Le ton choisi est un peu outrancier, est-ce une parodie du genre? La chorégraphie disco des danses est conforme à l'époque choisie.
    L'histoire contient une parenthèse fantastique. A nouveau, la réalisatrice fait le choix de l'originalité en nous exposant des êtres fantastiques d'une apparence particulière, des acteur qui revêtent une tenue qui rappelle les déguisements de fête d'école. Si ce parti-pris est motivé par des raisons artistiques, j'ai l'impression de regarder du fantastique produit pour pas cher. En tout état de cause, ce long-métrage devrait ravir les détracteurs de la CGI.
    Le film est éloigné de mes goûts mais constitue un délire distrayant. De plus la fin m'a procuré quelques surprises.
    Audrey L
    Audrey L

    639 abonnés 2 580 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 mars 2018
    Un premier film déroutant de justesse, de poésie et de finesse sur son message de l'adolescence intravertie. Fantastic Birthday (A Girl Asleep) est un petit bijou très bizarre à regarder, qui s'inspire ouvertement du travail de Wes Anderson (tant mieux, j'adore) sur las qualité esthétique (mise en image impeccable, qui joue sur les couleurs, sur la symétrie, la dualité des formes...) rendant un tout ancré visuellement dans l'époque des 70's, sans être ringard mais plutôt nostalgique. Les significations du rêve éveillé sont multiples, et la réalisatrice elle-même avoue que chacun aura raison d'avancer ses propres théories. Les doubles de la famille et connaissances de la jeune fille dans le monde fantastique sont soit maléfiques (le trio de pimbêches en chiens enragés, ou le tombeur qui est vu comme un homme à milles facettes toutes aussi vaines les unes que les autres) soit bénéfiques (l'amie guerrière qui est le pendant positif de la grande sœur qui semble dans la réalité se désintéresser de la jeune fille mais cache une attention pour elle), soit maladroits (le père qui est un monstre abject et tente de protéger son enfant en lui faisant des blagues puériles pour l'infantiliser et empêcher qu'elle ne grandisse, d'où le rôle de "kidnappeur" que la guerrière lui prête... Et sans oublier la mère qui est vue comme une reine glaciale qui fait mourir sa fille dès qu'elle veut s'en approcher). Et le retour sur soi que la jeune fille fait tant littéralement que symboliquement à la fin est d'une rare intelligence scénaristique. Entre le Wes Anderson pour l'esthétique et le Hayao Miyazaki pour les créatures fantastiques aussi magnifiques que dangereuses. Une réalisation, interprétation, création des décors et costumes impeccables, de bons choix musicaux et l'exploit d'être un premier film onirique et intrigant ! Quelle réussite !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 30 décembre 2017
    Une comédie australienne intelligente et originale que l’on savoure comme un bonbon acidulé avec une histoire sympathique au ton décalé et à l'esthétique recherché, un casting magnifiquement dirigé et une mise en scène convaincante.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 363 abonnés 4 180 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 octobre 2017
    Le titre, les costumes, les plans symétriques, la photographie, tout donne à croire que nous sommes dans un Wes Anderson. Pourtant le premier long-métrage de Rosemary Myers a bien son identité. Greta va avoir quinze ans. Elle va devoir commencer à apprendre à quitter le cocon très douillet de sa famille protectrice et affronter seule la dure période de l’adolescence. Il est donc temps de franchir ce cap avec une fête d’anniversaire. Sur le papier, Fantastic Birthday semble être un teen-movie sans véritable sang nouveau. Détrompez-vous ! Dans une mise en scène acidulée et des couleurs seventies, la comédie australienne est un conte joyeusement loufoque. Les acteurs sont tous, sans exception, drôlement abracadabrants. Fantastic Birthday est fantastiquement ensorcelant.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 10 septembre 2017
    Une comédie australienne intelligente et originale que l’on savoure comme un bonbon acidulé avec une histoire sympathique au ton décalé et à l'esthétique recherché, un casting magnifiquement dirigé et une mise en scène convaincante.
    BigDino
    BigDino

    8 abonnés 473 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 mai 2017
    Un petit film fort sympathique pour un premier, qui tente de sortir des sentiers battus pour illustrer le passage à l'adolescence. On appréciera surtout les petites touches personnelles qui émaillent le film, en regrettant néanmoins que le film s'avère finalement aussi sage et timide que son héroïne. Bilan assez positif néanmoins, avec une touche finale dans le générique de fin (la musique), qui fonctionne vraiment très bien.
    MaxLaMenace89
    MaxLaMenace89

    61 abonnés 282 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 avril 2017
    Premier film de Rosemary Myers, cinéaste australienne issue du théâtre, Fantastic Birthday - aussi venu des planches - est un peu comme un bonbon acidulé qui pétille en bouche, agréable et frais... Malheureusement, après consommation, on oublie très vite le goût que ça a.

    Dans le cadre promotionnel du film, Myers affirme l'influence indéniable de Michel Gondry et de Spike Jonze - on retrouve en effet cette verve de l'astuce visuelle, du bricolage des effets techniques, une insouciance revigorante. Mais la réalisatrice omet d'évoquer (pas mauvaise foi ?) l'influence la plus évidente, celle que toute la promotion a mis en avant : le cinéma de Wes Anderson, son sens de la symétrie du cadre, l'absurdité de certaines situations et dialogues, la direction artistique kitch de Royal Tenenbaum et Moonrise Kingdom... L'objet, aussi grisant soit-il, manque quand même cruellement d'identité, faisant de ce rite initiatique et ses petits moments de folie un exercice qui tourne à vide.

    Fantastic Birthday demeure un film touchant sur l'émancipation, le passage à l'âge adulte, la perte de l'innocence, la jeune protagoniste principale déchaînant sa catharsis en pénétrant à mi-chemin un monde fantaisiste complètement barré, bourré de symboles. Le métrage a beaucoup à dire en très peu de temps (il ne dure que 77 minutes), et le sous-texte se retrouve bâclé, si ce n'est complètement grossier. Que ça soit les personnages et situations de la vie réelle très archétypaux, ou tout le travail métaphorique dans le pays des songes (l'emprise parentale à travers des créatures surnaturelles, les grands méchants loups, le modèle héroïne bad-ass, les vicieuses camarades de classe décapées à coup de karaté, etc...) : le film n'est vraiment pas subtil, le minimum est pourtant demandé quand une oeuvre comme celle-ci se veut psychanalytique. Il y perd de sa fantasmagorie, mais ce côté too-much, incontrôlé, fait aussi quelque part son charme.

    Fantastic Birthday reste un premier film, inconsciemment ses failles font battre son petit cœur et finit par nous séduire. Progéniture un peu butor de grands auteurs atypiques, cette petite folie précoce toute en absurdité et bricolages est aussi attachante qu'aérée, bien que complètement innocente.
    Yves G.
    Yves G.

    1 464 abonnés 3 489 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 8 avril 2017
    Greta va fêter ses quinze ans. Adolescente mal dans sa peau, elle a l’impression que personne ne la comprend : ni ses parents, ni sa grande sœur, ni ses amis du lycée. Pour lutter contre la solitude, elle se réfugie dans un univers parallèle peuplé de créatures inquiétantes.

    "Fantastic Birthday" est le titre français (sic) de "Girl Asleep". J’imagine volontiers le brainstorming des distributeurs français qui ont probablement trouvé que Girl Asleep n’était pas un titre qui attirerait les foules. Ils se creusent la tête. "Quinze ans" ? "L’anniversaire" ? "Greta et ses amis imaginaires ? Jusqu’à ce que le stagiaire de troisième propose "Fantastic Birthday" qui a le double mérite de coller au contenu du film et d’avoir ce côté un peu arty.

    Pendant son premier tiers, "Fantastic Birthday" fonctionne. Rosemary Myers stylise l’univers d’une adolescente. Son film ressemble terriblement à ceux de Wes Anderson : des plans millimétrés, des couleurs primaires, des familles gentiment foutraques.

    Mais tout se déglingue quand "Fantastic Birthday" bascule dans le fantastique. Aussi réussis que soient les délires visuels de Greta, ils sont trop sursignifiants pour faire vraiment rêver. Peur de son corps ? peur de sa sexualité ? peur de l’autre ? Autant de peurs à assumer pour que l’adolescente franchisse avec succès l’épreuve initiatique de cet anniversaire festif qu’elle n’avait pas voulu.

    Tant mieux pour elle. Tant pis pour le spectateur oublié au bord du chemin.
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 335 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 mars 2017
    Raaah des fois je râle contre moi-même quand je mets des notes si basses à des films qui, comme celui-ci, semblent tenter plein de choses ! Des choses jolies en plus ! Mais bon… D’un autre côté, je ne peux m’empêcher de penser que les apparences sont aussi parfois bien trompeuses. J’entendais et je lisais à droite à gauche qu’on comparait ce film à ceux de Wes Anderson ; comparaison à laquelle je souscris d’ailleurs sans trop sourciller (en même temps : difficile de s’y opposer tant la référence est manifeste !) Alors certes, cela peut être flatteur pour un film qu’on opère ainsi une telle comparaison. Pourtant, je trouve que c’est pourtant dans cette comparaison que se trouve tout le problème de ce « Fantastic Birthday ». Parce que oui, le film a beau avoir un style marqué, il n’empêche que ce n’est pas SON style… Là, pour le coup, c’est vraiment le style de Wes Anderson sans discussion possible ! A se demander même où se trouve le style de Rosemary Myers là-dedans ! Alors on pourrait se dire : qu’importe si ça marche ! Après tout du Wes Anderson c’est si bon ! » Bah ouais moi je voudrais bien dire ça, sauf que là, le problème, c’est que ça ne marche pas. Parce que pour le coup, il y a un vrai décalage entre le style qu’arbore le film et son contenu. Si l’esthétique se veut décalée et un peu fofolle, l’intrigue quant à elle détonne du simple fait qu’elle soit bien sage et conventionnelle. Il en va de même pour les personnages qu’on semble vouloir nous présenter comme singuliers et marginaux alors qu’au fond, franchement, ils ne se limitent chacun d’eux qu’à un seul trait de caractère – souvent caricatural qui plus est – pour les définir. Et puis s’ajoute à ce problème un vrai souci d’équilibre au niveau de l’écriture. Parce que oui – Ô surprise ! – voilà qu’au bout d’une heure, le film vire vers le conte fantastique ! Bah ouais ! Carrément ! Et cela presque sans sommation ! Il y avait certes bien eu quelques effets d’annonce, mais c’était tellement peu de choses et tellement externe à l’atmosphère globale du film que – franchement – quand le truc est tombé là, comme ça, je suis un peu resté comme deux ronds de flan. Pour le coup, j’ai vraiment vécu le truc comme une intrigue random qui était tombée là, comme ça, comme un cheveu sur la soupe. Non mais là vraiment : non. Quand on prévoit un segment de ce genre là qui, en plus, est aussi long, tu fais en sorte de l’amener progressivement dans ton film. Tu ne peux pas l’amener comme ça comme un segment que tu raccroches comme ça parce que dans ta tête ça parait logique. Et si encore c’était le seul problème de ce passage là... mais comme un syndrome qui revient de manière lancinante, ce moment du film qui est clairement pensé comme un temps fort est là aussi totalement vicié par la manque d’originalité et de créativité de l’auteur. Et voilà que les figures du conte auxquelles l’héroïne se retrouve confronté se révèlent être des projections symboliques de chacun des personnages qui l’entourent ! Alors déjà que chaque personnage souffrait d’un affreux problème de stéréotype, là l’auteur nous déroule carrément la notice d’interprétation de la manière la plus balourde qui soit ! Le pire, c’est que j’ai vraiment l’impression que ce film a été fait avec la meilleure des intentions ! C’est soigné, ça cherche à s’inspirer des plus grands ; ça suit le modèle de manière scrupuleuse. Soit. Et franchement des fois j’avais envie d’y croire. Il y a clairement quelques moments que j’ai trouvé réussi ( spoiler: l’entrée des participants de fête sous forme de danse disco ou bien encore la courte discussion de Greta adolescente avec Greta petite-fille.
    ) Ce n’était pas forcément original et fin, mais j’ai trouvé que ça avait au moins le mérite de marcher. Quel dommage d’ailleurs qu’au fond ce film ne sache pas faire plus basique au profit de la cohérence. Au lieu d’aller se chercher une identité de film fou-fou, indé, en roue libre, il aurait dû assumé son côté scolaire et mièvre. Rosemary Myers n’a selon moi pas réalisé un film qui lui ressemble et je trouve que ça se sent terriblement. Ce style, ça ne lui correspond pas et ça se sent. Du coup, moi j’ai vu dans ce « Fantastic Birthday » un film bancal – plein de bonnes intentions il est vrai – mais qui au final m’est plus apparu comme un pastiche sans saveur plutôt que comme une véritable œuvre qui avait son identité propre. Dommage, vraiment… Peut-être pour une prochaine fois…
    dominique P.
    dominique P.

    837 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 mars 2017
    Voilà un film tout à fait charmant.
    Cela se passe dans les années 70 et une jeune fille de 15 ans a du mal à accepter de grandir.
    C'est frais, léger, amusant, bien vu, agréable.
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