Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
L'Humanité
par Vincent Ostria
Une fiction inspirée du parcours du musicien palestinien de hip-hop Tamer Nafar, qui incarne une jeune génération en résistance.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Non loin de Tel Aviv, un rappeur palestinien et son amie luttent pour s’aimer et s’exprimer par leur musique. Sympathique plaidoyer pour la liberté.
Le Figaro
par La Rédaction
Une énergie formidable circule dans ces scènes quotidiennes, entre lyrisme amoureux, conflit de générations et violence politique.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Jean-François Rauger
Parti pour ressembler à une version palestinienne des Vitelloni (1953), de Federico Fellini, le film se met, avec peut-être un certain volontarisme mais une certaine habileté aussi, à accumuler des évènements qui renvoient, en effet, le personnage principal à sa condition de citoyen arabe en Israël tout autant que de jeune homme désireux d’une modernité que sa propre communauté rejette parfois.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Valentine Verhague
Sans prétention, “Jonction 48” est un film juste malgré sa narration plutôt conventionnelle.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
"Jonction 48" rappelle que le cinéma israélien est souvent israélo-palestinien et en première ligne de la contestation de l’ordre établi.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par François Rieux
"Jonction 48" est un film social fort, véhiculant un message ouvertement positif dans un contexte au Moyen-Orient toujours aussi trouble.
Télérama
par Nicolas Didier
Chez lui, les chansons rythment la narration, à la manière d'un choeur antique. Fervent militant, il raconte ici le quotidien d'un groupe de hip-hop issu d'une communauté minoritaire. A la fois israéliens et palestiniens, les personnages sont écrasés par les rivalités avec leurs compatriotes juifs, mais aussi par des traditions familiales aliénantes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par François Forestier
Tous les personnages palestiniens du film sont donc des exemples de tolérance et de pacifisme, tandis que, du côté israélien, il n’y a que des flics racistes, des rappeurs agressifs, des destructeurs. C’est simpliste, voire simplet. Reste la musique, du rap tendance Gaza.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Libération
par Luc Chessel
On ferait au film le reproche inverse, qui manque son propre but en devenant trop consistant pour s’autoriser à être émouvant.
La critique complète est disponible sur le site Libération
L'Humanité
Une fiction inspirée du parcours du musicien palestinien de hip-hop Tamer Nafar, qui incarne une jeune génération en résistance.
La Voix du Nord
Non loin de Tel Aviv, un rappeur palestinien et son amie luttent pour s’aimer et s’exprimer par leur musique. Sympathique plaidoyer pour la liberté.
Le Figaro
Une énergie formidable circule dans ces scènes quotidiennes, entre lyrisme amoureux, conflit de générations et violence politique.
Le Monde
Parti pour ressembler à une version palestinienne des Vitelloni (1953), de Federico Fellini, le film se met, avec peut-être un certain volontarisme mais une certaine habileté aussi, à accumuler des évènements qui renvoient, en effet, le personnage principal à sa condition de citoyen arabe en Israël tout autant que de jeune homme désireux d’une modernité que sa propre communauté rejette parfois.
Les Fiches du Cinéma
Sans prétention, “Jonction 48” est un film juste malgré sa narration plutôt conventionnelle.
Les Inrockuptibles
"Jonction 48" rappelle que le cinéma israélien est souvent israélo-palestinien et en première ligne de la contestation de l’ordre établi.
Première
"Jonction 48" est un film social fort, véhiculant un message ouvertement positif dans un contexte au Moyen-Orient toujours aussi trouble.
Télérama
Chez lui, les chansons rythment la narration, à la manière d'un choeur antique. Fervent militant, il raconte ici le quotidien d'un groupe de hip-hop issu d'une communauté minoritaire. A la fois israéliens et palestiniens, les personnages sont écrasés par les rivalités avec leurs compatriotes juifs, mais aussi par des traditions familiales aliénantes.
L'Obs
Tous les personnages palestiniens du film sont donc des exemples de tolérance et de pacifisme, tandis que, du côté israélien, il n’y a que des flics racistes, des rappeurs agressifs, des destructeurs. C’est simpliste, voire simplet. Reste la musique, du rap tendance Gaza.
Libération
On ferait au film le reproche inverse, qui manque son propre but en devenant trop consistant pour s’autoriser à être émouvant.