Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
L'Obs
par François Forestier
Le film est puissant, précis, tendu. Il renoue avec le grand cinéma tchèque des années 1960, avec des films comme "Trains étroitement surveillés" de Jiri Menzel. Olga Hepnarová a été la dernière femme exécutée par pendaison courte, et, avec elle, c’est toute une société qui a été condamnée.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Culturopoing.com
par Vincent Nicolet
"Moi, Olga" nous laisse avec ses mots, d’une violence déchirante, nous enserrant dans une souffrance intérieure qu'on finit par éprouver, tout en incitant graduellement à la distance (...) « Je suis folle mais ma folie est clairvoyante ». Cette seule assertion contient le tourbillon d’Olga, à jamais insaisissable.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Enlisée dans une solitude à la fois choisie et subie, la meurtrière, aussi émouvante que méprisable, est incarnée par l’épatante Michalina Olszanska, qui restitue sa fascinante complexité.
Première
par Christophe Narbonne
Avec ses lèvres pulpeuses et boudeuses à la fois, qui lui donnent des airs de Natalie Portman slave, Michalina Olszanska incarne parfaitement la modernité contrainte du personnage.
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Un film fort, troublant, qui se refuse à juger les actes de son héroïne.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Beau film sur l'incommunicabilité, non pas homme-femme, à la Antonioni, mais entre un individu et la société. Un sujet universel. Difficile, fort, voire perturbant.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
À travers l'histoire vraie d'Olga Hepnarova, ce film éclaire de façon intéressante la construction psychologique des meurtriers de masse.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Un joli portrait atmosphérique de la vie en Tchécoslovaquie dans les seventies, dont le charme contredit un peu les états d'âme de l'héroine.
Libération
par Gilles Renault
Omniprésente de la première à l’avant-dernière image, Michalina Olszanska saisit avec fermeté un esprit aliéné, sevré «de tristesse et d’amertume», qu’elle ne s’emploie pas à valoriser.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
La première partie est la plus réussie, plongée en noir et blanc dans un pays, la Tchécoslovaquie communiste des années 70, dans lequel il est difficile de se sentir libre. Si la suite est plus «classique», du procès à l'exécution, l'actrice Michalina Olszanska est une vraie révélation dans le rôle d'Olga (...).
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Aurélien Ferenczi
Dans un noir et blanc à la Ida, raccord avec l'époque, porté par la beauté irrésistible de son interprète (Michalina Olszanska), le film a le bon goût de n'imposer aucune interprétation. Il fait souvent mouche par son alliance paradoxale de pudeur et de brutalité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Axel Scoffier
Derrière des atours visuels, "Moi, Olga" peine à évoluer au-delà du didactisme de son script et ploie sous le poids de son sujet.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Au lieu de traduire clairement l’intensité de la souffrance qu’elle exprime en voix off, cette biographie d’une jeune lesbienne borderline — dont les mœurs libres lui mirent la société à dos — opte pour une neutralité hédoniste. Belle reconstitution en noir et blanc, mais cela manque de mordant.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
De ce fait divers, les réalisateurs tirent un film froid comme la mort, qui fait de l’opacité et de l’antipathie du personnage le diapason de notre indifférence à son sort.
L'Obs
Le film est puissant, précis, tendu. Il renoue avec le grand cinéma tchèque des années 1960, avec des films comme "Trains étroitement surveillés" de Jiri Menzel. Olga Hepnarová a été la dernière femme exécutée par pendaison courte, et, avec elle, c’est toute une société qui a été condamnée.
Culturopoing.com
"Moi, Olga" nous laisse avec ses mots, d’une violence déchirante, nous enserrant dans une souffrance intérieure qu'on finit par éprouver, tout en incitant graduellement à la distance (...) « Je suis folle mais ma folie est clairvoyante ». Cette seule assertion contient le tourbillon d’Olga, à jamais insaisissable.
Le Journal du Dimanche
Enlisée dans une solitude à la fois choisie et subie, la meurtrière, aussi émouvante que méprisable, est incarnée par l’épatante Michalina Olszanska, qui restitue sa fascinante complexité.
Première
Avec ses lèvres pulpeuses et boudeuses à la fois, qui lui donnent des airs de Natalie Portman slave, Michalina Olszanska incarne parfaitement la modernité contrainte du personnage.
Studio Ciné Live
Un film fort, troublant, qui se refuse à juger les actes de son héroïne.
Franceinfo Culture
Beau film sur l'incommunicabilité, non pas homme-femme, à la Antonioni, mais entre un individu et la société. Un sujet universel. Difficile, fort, voire perturbant.
Les Fiches du Cinéma
À travers l'histoire vraie d'Olga Hepnarova, ce film éclaire de façon intéressante la construction psychologique des meurtriers de masse.
Les Inrockuptibles
Un joli portrait atmosphérique de la vie en Tchécoslovaquie dans les seventies, dont le charme contredit un peu les états d'âme de l'héroine.
Libération
Omniprésente de la première à l’avant-dernière image, Michalina Olszanska saisit avec fermeté un esprit aliéné, sevré «de tristesse et d’amertume», qu’elle ne s’emploie pas à valoriser.
Paris Match
La première partie est la plus réussie, plongée en noir et blanc dans un pays, la Tchécoslovaquie communiste des années 70, dans lequel il est difficile de se sentir libre. Si la suite est plus «classique», du procès à l'exécution, l'actrice Michalina Olszanska est une vraie révélation dans le rôle d'Olga (...).
Télérama
Dans un noir et blanc à la Ida, raccord avec l'époque, porté par la beauté irrésistible de son interprète (Michalina Olszanska), le film a le bon goût de n'imposer aucune interprétation. Il fait souvent mouche par son alliance paradoxale de pudeur et de brutalité.
Critikat.com
Derrière des atours visuels, "Moi, Olga" peine à évoluer au-delà du didactisme de son script et ploie sous le poids de son sujet.
L'Humanité
Au lieu de traduire clairement l’intensité de la souffrance qu’elle exprime en voix off, cette biographie d’une jeune lesbienne borderline — dont les mœurs libres lui mirent la société à dos — opte pour une neutralité hédoniste. Belle reconstitution en noir et blanc, mais cela manque de mordant.
Le Monde
De ce fait divers, les réalisateurs tirent un film froid comme la mort, qui fait de l’opacité et de l’antipathie du personnage le diapason de notre indifférence à son sort.