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Note moyenne
4,1
21 titres de presse
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Cahiers du Cinéma
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Franceinfo Culture
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Le Monde
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Les Inrockuptibles
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Libération
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Transfuge
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Télérama
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Culturopoing.com
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L'Humanité
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L'Obs
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La Septième Obsession
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Le Dauphiné Libéré
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Les Fiches du Cinéma
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Paris Match
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Paris Match
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Sud Ouest
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aVoir-aLire.com
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La Croix
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Rolling Stone
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Voici
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Studio Ciné Live
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse
Cahiers du Cinéma
Trois histoires bouleversantes filmées séparément mais reliées par certains personnages, un même espace, une même esthétique, une même mise en scène.
Franceinfo Culture
Toute la beauté de "Certaines femmes" est de montrer que l'échec du rêve américain a essaimé jusque dans la relation à l’altérité.
Le Monde
Le récit, inspiré de trois nouvelles de l’écrivaine montanienne Maile Meloy, dresse côte à côte les magnifiques portraits de trois femmes, sculptés dans la matière même du quotidien.
Les Inrockuptibles
Féminin, pluriel et contemporain, "Certaines femmes" est un film westernien qui récupère le western, un doux règlement de contes OK et choral, un album de country lo-fi magnifique de bout en bout.
Libération
Il faut voir "Certaines Femmes" dans le prolongement magnifique des grands films américains récents (...), comme si dans une configuration heureuse et sans qu’ils aient accordé leurs ondes, des cinéastes indépendants travaillaient à recueillir ce qui peut encore être sauvé de l’expérience véritable, à hauteur humaine, loin du virtuel tentaculaire, des discours tonitruants et d’une économie hors de ses gonds.
Transfuge
Avec "Certaines femmes", Kelly Reichardt réalise un magnifique film, aussi passionné qu'élégiaque.
Télérama
Western moderne, c'est un film actif sur des femmes qui conduisent leur vie et travaillent dur dans un décor de plaine immense drapée de neige, et de montagnes, au loin.
Culturopoing.com
Kelly Reichardt travaille en portraitiste. La manière dont elle place les quatre femmes du film dans le paysage et dans les lieux qu'elles traversent fonctionne comme un révélateur.
L'Humanité
Si l’épisode du milieu (celui du tas de pierres) laisse un peu perplexe, le premier et surtout le dernier sont d’une remarquable subtilité.
L'Obs
Une réussite majeure, une œuvre délicieusement secrète qu'on voudrait partager tout en la gardant jalousement pour soi.
La Septième Obsession
"Certaines femmes" reprend l’immobilisme mouvementé des activistes écologistes de Night Moves mais en radicalise l’épure narrative en se dégageant nettement de toute dramaturgie ostensible.
Le Dauphiné Libéré
Un art tout minimal, où les amateurs de cinéma fast et furious en seront vite pour leurs frais ; mais ce n’est pas, à l’évidence, à eux que s’adresse ce film, entêtant et subtil…
Les Fiches du Cinéma
D’une grande tristesse, le nouveau film de Kelly Reichardt n’en fait pas moins preuve d’un charme et d’une beauté qui le sont tout autant.
Paris Match
Par la beauté sereine de sa mise en scène, le quotidien le plus trivial devient bouleversant.
Paris Match
Par la beauté sereine de sa mise en scène, le quotidien le plus trivial devient bouleversant. Et quand une jeune femme amoureuse se promène fièrement à cheval pour déclarer sa flamme, le cœur s’emballe enfin et l’émotion nous étreint.
Sud Ouest
C’est un film sur le délitement intérieur, mais lui-même ne manque ni de vitalité ni de fermeté, aigu dans son approche, remarquable dans sa justesse.
aVoir-aLire.com
Comme Altman avant elle, Kelly Reichardt articule une série de portraits de femmes tourmentées. Où se substitue au fantasme le vide de l’existence et ses paysages délavés. Quatuor admirable pour drame éclatant.
La Croix
Le film puise son charme d’un rythme que certains spectateurs pourront trouver trop lent et des interprétations de ses quatre actrices, Laura Dern, Michelle Williams, Lily Gladstone et Kristen Steward, toutes justes et intenses.
Rolling Stone
Avec son casting redoutable et sa caméra sans pathos, Kelly Reichardt signe un film lucide, métaphorique et pragmatique à la fois, tout en délicatesse.
Voici
Cheveux gras, K-Stew creuse son sillon indé en apportant sa pierre à l'édifice de déconstruction du rêve américain par Kelly Richardt.
Studio Ciné Live
À force de refuser le dicible, elle se perd dans un nuage de fumée auteuriste.