Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Franceinfo Culture
par Boris Courret
Un film intense, porté par une Golshifteh Farahani sublime, une fois encore.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Parisien
par Tanneguy De Kerpoisson
Dans le rôle principal, l'actrice franco-iranienne Golshifteh Farahani se montre aussi sublime que bouleversante.
L'Express
par Christophe Carrière
Un film d'ambiance où il est nécessaire de prendre le temps pour apprécier. Avec Golshifteh Farahani comme guide, ce n'est pas difficile.
L'Obs
par Jérôme Garcin
Le scénario est un peu trop linéaire, la menace que fait peser le passé sur le présent un peu trop appuyée et l’image un peu trop sombre. Mais la manière dont Nada/Golshifteh Farahani enquête, seule et combative, sur ses origines dans ce Liban qu’on lui ordonne de quitter sans se retourner – "Go home !" – balaie les réserves et emporte l’adhésion.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par La Rédaction
Premier long-métrage d'une Libanaise de la diaspora, "Go Home" enchevêtre les lieux et les êtres, les souvenirs intimes et les blessures d'un pays avec un sens captivant des atmosphères.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un premier film dont on retient le jeu intense de Golshifteh Farahani et l’ambition du propos, toujours d’actualité.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Ce film libanais a des défauts et des longueurs, mais aussi une atmosphère captivante.
aVoir-aLire.com
par Jeremy Gallet
(...) grave et poétique, (...) le portrait d’une femme incertaine (...) magnifiquement incarné par Golshifteh Farahani.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Culturopoing.com
par Sophie Yavari
Après une séquence d’ouverture pleine de promesses, où l’inquiétude le dispute à l’onirisme, le film s’enlise, à l’instar de son héroïne qui refuse d’avancer.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Malgré la présence lumineuse de Golshifteh Farahani, cette histoire sur le fardeau du mensonge et de la rumeur est bien trop démonstrative, laborieuse et prévisible pour émouvoir.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Sur ce thème récurrent dans le cinéma libanais, la réalisatrice assemble de jolis plans, mais ne parvient pas à donner de singularité à son film.
Positif
par Nicolas Bauche
"Go Home" (...) laisse un certain goût d'inachevé.
Première
par Éric Vernay
Hélas, malgré sa part autobiographique, le récit manque cruellement d'intensité émotionnelle.
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Bien qu'il baigne dans une atmosphère quasi fantastique, ce drame sur l'exil et l'identité reste assez plat et parasité par ses nombreux flashbacks explicatifs.
Télérama
par Nicolas Didier
Dommage qu'elle n'exploite pas davantage le potentiel de la maison abandonnée. Car dans ses meilleurs moments, au bord du surnaturel, "Go home" donne l'impression que les murs parlent.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Benoît Smith
Quand on voit à quel point les sentiments sont ici dénaturés et mis à la remorque d’un récit tout en réflexes narratifs poussifs, on se demande si ce sentimentalisme ne serait pas un cache-misère, pour l’impuissance à laquelle l’entreprise est réduite par son triste académisme.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Franceinfo Culture
Un film intense, porté par une Golshifteh Farahani sublime, une fois encore.
Le Parisien
Dans le rôle principal, l'actrice franco-iranienne Golshifteh Farahani se montre aussi sublime que bouleversante.
L'Express
Un film d'ambiance où il est nécessaire de prendre le temps pour apprécier. Avec Golshifteh Farahani comme guide, ce n'est pas difficile.
L'Obs
Le scénario est un peu trop linéaire, la menace que fait peser le passé sur le présent un peu trop appuyée et l’image un peu trop sombre. Mais la manière dont Nada/Golshifteh Farahani enquête, seule et combative, sur ses origines dans ce Liban qu’on lui ordonne de quitter sans se retourner – "Go home !" – balaie les réserves et emporte l’adhésion.
Le Figaro
Premier long-métrage d'une Libanaise de la diaspora, "Go Home" enchevêtre les lieux et les êtres, les souvenirs intimes et les blessures d'un pays avec un sens captivant des atmosphères.
Les Fiches du Cinéma
Un premier film dont on retient le jeu intense de Golshifteh Farahani et l’ambition du propos, toujours d’actualité.
Ouest France
Ce film libanais a des défauts et des longueurs, mais aussi une atmosphère captivante.
aVoir-aLire.com
(...) grave et poétique, (...) le portrait d’une femme incertaine (...) magnifiquement incarné par Golshifteh Farahani.
Culturopoing.com
Après une séquence d’ouverture pleine de promesses, où l’inquiétude le dispute à l’onirisme, le film s’enlise, à l’instar de son héroïne qui refuse d’avancer.
Le Journal du Dimanche
Malgré la présence lumineuse de Golshifteh Farahani, cette histoire sur le fardeau du mensonge et de la rumeur est bien trop démonstrative, laborieuse et prévisible pour émouvoir.
Le Monde
Sur ce thème récurrent dans le cinéma libanais, la réalisatrice assemble de jolis plans, mais ne parvient pas à donner de singularité à son film.
Positif
"Go Home" (...) laisse un certain goût d'inachevé.
Première
Hélas, malgré sa part autobiographique, le récit manque cruellement d'intensité émotionnelle.
Studio Ciné Live
Bien qu'il baigne dans une atmosphère quasi fantastique, ce drame sur l'exil et l'identité reste assez plat et parasité par ses nombreux flashbacks explicatifs.
Télérama
Dommage qu'elle n'exploite pas davantage le potentiel de la maison abandonnée. Car dans ses meilleurs moments, au bord du surnaturel, "Go home" donne l'impression que les murs parlent.
Critikat.com
Quand on voit à quel point les sentiments sont ici dénaturés et mis à la remorque d’un récit tout en réflexes narratifs poussifs, on se demande si ce sentimentalisme ne serait pas un cache-misère, pour l’impuissance à laquelle l’entreprise est réduite par son triste académisme.