Un film en 2 parties où l'art et l'histoire de la seconde guerre mondiale se même et s'entremêle Si vous voyez la 1ère partie, vous ne pouvez en aucun manquer la 2ème Le meilleur film que j'ai vu cette année ! La musique de Max Richter est sublime
Film de la justesse des sentiments, de la vision et de la sensibilité à la vérité et à la beauté, que peuvent ressentir les gens talentueux avec leur niveau élevé de ressentir les choses et la réalité. C'est comme un appel. Souvent ces personnes sont différentes, car unique, et sont longtemps pas compris ni acceptés par la société des gens "normaux'. Mais la force divine du talent trouvé et exprimé c'est la même force que l'amour, est plus forte que tout et gagne. Aussi des belles scènes sensuelles et innocentes à la fois, la beauté des corps nus units par amour vrai.
Impressionnant de force et sans doute de vérité - c'est le thème du fil - dans la première partie, émouvant et un thriller dans le seconde avec une très pertinente réflexion sur l'art.
Une œuvre absolument remarquable un scénario une histoire des acteurs et actrices tout ce que l'on peut attendre d'un film celui ci l'offre en plus l'esthétisme ce film est un pur chef d'œuvre
Avec cette saga ambitieuse explorant 30 années cruciales de l'histoire de l'Allemagne (de l'immédiat avant-guerre à l'édification du mur), F.H von Donnersmarck se mesure efficacement à l'inconscient collectif de son peuple. Il le fait de façon peut-être un peu "scolaire", appliquée, sans lésiner sur les moyens (photo magnifique, bande son ample, le tout réussissant à susciter l'émotion même si le trait est appuyé parfois) ni sur la qualité des acteurs, tous excellents. Non content de chercher à exorciser les démons allemands, il aborde une réflexion sur le rôle de l'art et sa place dans la société, sur le processus créatif, qu'il soit catharsis ou fumisterie intéressée. J'ai assisté à une projection des deux parties consécutives, et malgré une petite baisse de rythme (dans le dernier tiers du premier film et le premier tiers du deuxième disons), je n'ai pas vu le temps passer... Dans la scène d'intro, en 1937 le guide "artistique" nazi d'une expo sur l'art dégénéré assène à des visiteurs ses commentaires caustiques sur les oeuvres des grands noms de l'entre-deux-guerres (Kandinsky, Picasso, Mondrian, Schiele entre autres si mes souvenirs sont bons...). Le tout jeune Kurt, que sa tante chérie Elisabeth accompagne à l'expo, entend ces inepties, mais sa tante le met en garde discrètement contre le formatage. Dix ans et pas mal de traumatismes plus tard, alors qu'il vient d'intégrer une école d'art à l'Est, son nouveau professeur, communiste cette fois, lui fait un cours tout aussi inepte sur la supériorité de l'art quand il renonce à l'expression des individualités, pour se consacrer à magnifier la grandeur des masses travailleuses. Il dénonce les mêmes artistes peu ou prou que les extravagants qualifiés par les nazis de dégénérés dix ans plus tôt. Tout est dit quant aux ravages des totalitarismes sur la créativité, mais passé à l'ouest après une autre décennie, il faudra du temps à Kurt pour trouver son chemin de créateur au milieu de la nouvelle jungle artistique contemporaine foutraque, aidé en cela par un autre professeur malmené comme lui par la guerre. Les scènes ayant trait à l'explosion de son inspiration sont très... inspirées, pour moi les plus belles de ce film fleuve, magnifiées par une bande-son de classique qui envoie du bois sans complexe. Les ficelles sont grosses, peut-être, mais pour moi elles ont fonctionné ! Un bémol viendrait peut-être du happy-end un poil convenu, mais voir ce film est quand-même un bon moyen pour tenter d'entrer dans l'esprit de la modernité allemande, emblématique de la deutsche Qualität filmique contemporaine, au même titre que "Frantz" par exemple...
Alors que le sujet est assez classique, le réalisateur réussit à restituer une ambiance magnifique
Tout est au top dans ce film le jeu des acteurs l image l histoire qui raconte de manière subtile comment il est impossible de se debarasser de ses préjugés et comment l ambition transformé les hommes.
La critique française plutôt moyenne pour ce film est une fois de plus en dessous de tout.
Ce film est tout simplement une pure merveille. Après ses errements hollywoodiens, Florian est de retour avec ce qu'il faut bien appeler un chef d'oeuvre! Le film est très long mais on ne voit pas le temps passer.
Bon difficile de juger qu'une première partie mais on peut quand même émettre un avis. Honnêtement, je suis très partagé. Les acteurs sont assez bons, l'époque est superbement retranscrite, il y a une très belle photographie et puis un petit côté contrasté sur pas mal de scènes réussi. Cependant, on baigne dans le cliché pendant 1h30, beaucoup trop de passages qui cherchent juste à nous tirer la larme, les effets spéciaux - sans vouloir être méchant - sont dignes d'un enfant de 12 ans et surtout le manque de cohérence sur pas mal de choses sans rentrer dans les détails. C'est vraiment le genre de long métrage où je n'arrive pas à me situer et que je trouve ... correct, sans plus alors que j'en attendais autre chose. On verra pour la partie deux. 10/20.
Tout est réussi. Que dire de plus... De l'émotion, une histoire intense, une mise en scène d'un trés grand réalisateur, des interprètes tous meilleures les uns que les autres. Et en plus, une poésie féroce. J'adore ! Foncez à la partie 2 !
Etant passionné d'histoire et d'art quelconque ce film a tout de suite suscité un intérêt chez moi. Je suis donc allé le voir. Je n'avais pas pris une aussi grande claque au cinéma depuis "La Promesse de l'Aube", le film est bouleversant, les personnages semblent authentiques. La réalisation est parfaite, je peine à trouver les mots.