Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Le Parisien
par La Rédaction
Avec « L'Œuvre sans auteur », le cinéaste frappe encore plus fort, en mêlant, une fois de plus, la grande et la petite Histoire, les passés familiaux tragiques de Kurt et Ellie et les grands chambardements qui ont secoué l'Allemagne entre les années 1930 et 70.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
L'Obs
par François Forestier
La nuit du siècle est là, mais couve l'étincelle de l'esprit humain.
Le Figaro
par La Rédaction
Von Donnersmarck (La Vie des autres) brasse les destins dans ce film-fleuve de plus de trois heures. On y voit des dignitaires nazis s’adapter sans peine au marxisme ambiant, un homme ne bradant pas ses principes. Les années s’écoulent avec romanesque.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Point
par Victoria Gairin
Un formidable film fleuve.
Les Fiches du Cinéma
par Michaël Ghennam
D’une ampleur pas toujours maîtrisée, "L’Œuvre sans auteur" séduit plus pour son approche historique que par sa vision de l’art.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télé Loisirs
par Thomas Colpaert
À la fois fresque historique, avec une plongée dans trois décennies marquées par le nazisme puis le communisme, et portrait intime d'un artiste, le nouveau film du réalisateur de "La Vie des autres", Oscar du meilleur film étranger en 2007, parvient à toucher grâce à la qualité de ses acteurs.
Voici
par A.V.
Une fresque qui mêle l'intime à l'Histoire.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Malgré une mise en scène des plus classiques, le film montre une nouvelle fois, à travers l’acte de création, la manière dont l’Allemagne règle ses comptes avec sa propre histoire. Instructif et flamboyant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Express
par Antoine Le Fur
Présentée en deux parties, "L'Oeuvre sans auteur" séduit par la flamboyance de son récit, volontairement lyrique. L'histoire perd de son piquant dans le second chapitre, davantage reportage d'Arte sur l'art moderne que long-métrage de cinéma.
Télérama
par Samuel Douhaire
Un film de qualité allemande, comme on parlait de « qualité française » dans les années 1950 : une écriture solide, mais une réalisation souvent académique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
On peut seulement rêver de ce qu’aurait pu faire avec les mêmes matériaux historiques et mélodramatiques un cinéaste comme Fassbinder.
La Croix
par Céline Rouden
D’un académisme plombant, parsemé d’aphorismes sur l’art un peu ridicules (« tout ce qui est vrai est beau »), le film s’anime un peu dans une seconde partie mettant en scène un groupe d’artistes dont Kurt, sous la houlette d’un professeur inspiré par Joseph Beuys, aux prises avec la création et les traumas du passé.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
A la fois thriller, mélodrame, réflexion artistique et itinéraire d'un peintre en formation, sa saga sur plus de trente ans est foisonnante. Peut-être trop pour captiver tout à fait, malgré une belle photographie, une reconstitution soignée et d'excellents comédiens.
Le Monde
par Thomas Sotinel
On peut trouver d’autres défauts au film, comme sa vision de la seconde guerre mondiale, réduite à une affaire entre bourreaux (les nazis) et victimes allemands. On peut aussi entrevoir le talent du metteur en scène pour susciter l’illusion du passage de l’histoire par un montage au rythme ample.
Positif
par Eithne O'Neill
Pendant plus de trois heures, le film raconte, sans ellipse, sans suggestion, pour ne rien dire.
Première
par Frédéric Foubert
Le petit charme suranné du film aurait sans doute mieux opéré sous la forme d’une série historique de prestige.
La critique complète est disponible sur le site Première
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Au-delà de son académisme vieillot et inoffensif, "L’Œuvre sans auteur" déroute par son incapacité à tisser des liens entre le passé et le contemporain.
Le Parisien
Avec « L'Œuvre sans auteur », le cinéaste frappe encore plus fort, en mêlant, une fois de plus, la grande et la petite Histoire, les passés familiaux tragiques de Kurt et Ellie et les grands chambardements qui ont secoué l'Allemagne entre les années 1930 et 70.
L'Obs
La nuit du siècle est là, mais couve l'étincelle de l'esprit humain.
Le Figaro
Von Donnersmarck (La Vie des autres) brasse les destins dans ce film-fleuve de plus de trois heures. On y voit des dignitaires nazis s’adapter sans peine au marxisme ambiant, un homme ne bradant pas ses principes. Les années s’écoulent avec romanesque.
Le Point
Un formidable film fleuve.
Les Fiches du Cinéma
D’une ampleur pas toujours maîtrisée, "L’Œuvre sans auteur" séduit plus pour son approche historique que par sa vision de l’art.
Télé Loisirs
À la fois fresque historique, avec une plongée dans trois décennies marquées par le nazisme puis le communisme, et portrait intime d'un artiste, le nouveau film du réalisateur de "La Vie des autres", Oscar du meilleur film étranger en 2007, parvient à toucher grâce à la qualité de ses acteurs.
Voici
Une fresque qui mêle l'intime à l'Histoire.
aVoir-aLire.com
Malgré une mise en scène des plus classiques, le film montre une nouvelle fois, à travers l’acte de création, la manière dont l’Allemagne règle ses comptes avec sa propre histoire. Instructif et flamboyant.
L'Express
Présentée en deux parties, "L'Oeuvre sans auteur" séduit par la flamboyance de son récit, volontairement lyrique. L'histoire perd de son piquant dans le second chapitre, davantage reportage d'Arte sur l'art moderne que long-métrage de cinéma.
Télérama
Un film de qualité allemande, comme on parlait de « qualité française » dans les années 1950 : une écriture solide, mais une réalisation souvent académique.
Cahiers du Cinéma
On peut seulement rêver de ce qu’aurait pu faire avec les mêmes matériaux historiques et mélodramatiques un cinéaste comme Fassbinder.
La Croix
D’un académisme plombant, parsemé d’aphorismes sur l’art un peu ridicules (« tout ce qui est vrai est beau »), le film s’anime un peu dans une seconde partie mettant en scène un groupe d’artistes dont Kurt, sous la houlette d’un professeur inspiré par Joseph Beuys, aux prises avec la création et les traumas du passé.
Le Journal du Dimanche
A la fois thriller, mélodrame, réflexion artistique et itinéraire d'un peintre en formation, sa saga sur plus de trente ans est foisonnante. Peut-être trop pour captiver tout à fait, malgré une belle photographie, une reconstitution soignée et d'excellents comédiens.
Le Monde
On peut trouver d’autres défauts au film, comme sa vision de la seconde guerre mondiale, réduite à une affaire entre bourreaux (les nazis) et victimes allemands. On peut aussi entrevoir le talent du metteur en scène pour susciter l’illusion du passage de l’histoire par un montage au rythme ample.
Positif
Pendant plus de trois heures, le film raconte, sans ellipse, sans suggestion, pour ne rien dire.
Première
Le petit charme suranné du film aurait sans doute mieux opéré sous la forme d’une série historique de prestige.
Les Inrockuptibles
Au-delà de son académisme vieillot et inoffensif, "L’Œuvre sans auteur" déroute par son incapacité à tisser des liens entre le passé et le contemporain.
Ouest France
Une fresque plombée par son académisme.