Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
6 critiques presse
L'Humanité
par Vincent Ostria
Rigolo et gentillet, quelque part entre Amélie Poulain et Amélie Nothomb.
Télérama
par Mathilde Blottière
Sociopathie, angoisse : le rire est malaisant, comme on dit au Québec. On se régale, pourtant, des rencontres de Solange et de ses aphorismes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Judith Godinot
De son personnage internet, Ina Mihalache tire un patchwork émotionnel inattendu.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Ce qui amuse en module de dix minutes lasse vite en format long.
Le Monde
par Isabelle Regnier
Sous la forme du long-métrage, (...) elle se leste d'une pesanteur éprouvante.
Première
par Bernard Achour
Parfois rigolotes quand on les lit sur Internet, les pastilles « Solange te parle » le sont beaucoup moins au cinéma. Statiques, maladroits, surécrits, les atermoiements phobiques de cette jeune névrosée 2.0 échouent à prendre le pouls de l’ultramoderne solitude.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Humanité
Rigolo et gentillet, quelque part entre Amélie Poulain et Amélie Nothomb.
Télérama
Sociopathie, angoisse : le rire est malaisant, comme on dit au Québec. On se régale, pourtant, des rencontres de Solange et de ses aphorismes.
aVoir-aLire.com
De son personnage internet, Ina Mihalache tire un patchwork émotionnel inattendu.
Studio Ciné Live
Ce qui amuse en module de dix minutes lasse vite en format long.
Le Monde
Sous la forme du long-métrage, (...) elle se leste d'une pesanteur éprouvante.
Première
Parfois rigolotes quand on les lit sur Internet, les pastilles « Solange te parle » le sont beaucoup moins au cinéma. Statiques, maladroits, surécrits, les atermoiements phobiques de cette jeune névrosée 2.0 échouent à prendre le pouls de l’ultramoderne solitude.