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    1941
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    125 critiques spectateurs

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    vive-le-cine123654789
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    95 abonnés 621 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 juin 2014
    Lorsque Spielby s’essaye à la comédie, qu’en est-il ? Et bien première constatation, ce n’est pas aussi catastrophique que ce que j’avais pu entendre/lire ici et là. Alors certes, 1941 est loin d’être un de ses meilleurs films et il est vrai que comparé aux autres films de Spielby, il n’est pas terrible. Mais il se regarde quand même bien. Une comédie qui se montre quand même marrante de temps en temps, même si une partie des gags ne fonctionnent pas. La fin est un peu craquage de slip en puissance, mais ça reste quand même dans un esprit fun. Y’a pas vraiment de lourdeur, à part peut-être dans le personnage de l’aviateur. Mais en soit, le film reste quand même marrant à regarder, ne serait-ce que pour voir la psychose décrite lors de l’alerte. Niveau casting, ça fait son taff sans être fantastique, c’est vrai, mais Christopher Lee en lieutenant Nazi, ça vaut le détour. Techniquement, on reconnaît bien là la patte de Spielby : la musique de John Williams est toujours en accord avec le film et se révèle être même pas mal du tout ; les effets spéciaux et les décors sont toujours aussi impressionnants et la mise en scène toujours aussi efficace pour nous mettre en valeur acteurs, décors et histoire. Bref, un film bien marrant que je ne regrette pas d’avoir vu.
    DarioFulci
    DarioFulci

    103 abonnés 1 412 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 mars 2012
    "1941" fut le premier échec de Spielberg, juste après les succès des "Dents de la mer" et de "Rencontre du troisième type". Une comédie sur l'entrée en guerre des USA avec un sous-marin japonais qui prend pour cible Hollywood. Le scénario adopte le schéma, déclinant à l'époque, du film catastrophe: personnages multiples qui font tous face tant bien que mal à un même danger mais sous différentes formes. Mais c'est une comédie, et Spielberg en profite pour régler gentiment ses comptes. Voilà donc un joyeux bordel qui s'approche souvent de l'hystérie. Tout part dans tous les sens: les personnages, l'humour, le spectaculaire (il a mis les moyens, et les gros !), le scénario qui s’éparpille au détriment de l'histoire et la mise en scène. Après avoir inventé le blockbuster, Spielberg se payait donc le luxe du caprice pour réaliser cette comédie brouillonne, parsemé de très bons moments (dont l'intro, pastiche de sa propre intro des "Dents de la mer") et d'autres plus aléatoires (la romance). Ça ressemblerait presque à du Robert Altman, le misanthropisme en moins, la bonne humeur en plus et un évident plaisir de cinéma d'ados devenu adulte.
    Serpiko77
    Serpiko77

    58 abonnés 1 631 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 octobre 2016
    Steven Spielberg s'essaye à la comédie, totalement en décalage avec le reste de sa filmographie mais pas raté pour autant notamment grâce au bon casting. Il faut apprécier l'humour burlesque, limite ridicule dans la lignée des Hot shots.
    Chevtchenko2
    Chevtchenko2

    42 abonnés 1 213 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 décembre 2010
    Quelques jours après après l'attaque de Pearl Harbour, Los Angeles tombe dans un véritable psychose d'une invasion japonaise...

    Spielberg signe ici un film burlesque où il se moque ouvertement de l'armée américaine qui se croit toute puissante. Tout le monde en prend pour son grade, y compris les japonais et les allemands. Cependant, le burlesque ne marche pas forcément et le film ne fait que sourire et encore trop rarement pour une comédie digne de ce nom. Spielberg ne réussit donc pas ce qui restera à ce jour sa seule tentative dans ce genre qui lui échappe : la comédie pure. Attention tout de même, le film n'est pas un navet fini loin de là car la réalisation et la mise en scène sont, comme toujours avec Spielberg, très soignées. Le tout accompagné d'une musique de John Williams plutôt inspiré.
    stebbins
    stebbins

    502 abonnés 1 747 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 mars 2012
    On pourrait dire beaucoup de choses à propos de 1941, y compris n'importe quoi : bigarré comme un chapiteau Pinder, gras comme un vin californien ( millésime 41, of course...), casté comme un sumo ( Dan & John, Nancy, Ned, Sam et Gabbo... même Mifune est du lot ! ), aussi rythmé qu'inventif, bourré de gags ( avec des gogues et des godasses, s'il vous plaît ! ), comparable et identifiable à mille autres films qu'il cite sans vergogne ( on songe à Folamour, à New York, New York ; on préfigure la mobilisation totale de l'Amérique dans la Mars Attack burtonienne ; on pré-cite Landis, Mac Tiernan et Zemeckis ; on entartre les nababs de la RKO et on évoque Howard Hugues et ses jolis zozos )............ A peine le temps de dire ouf, à peine le temps de dire beurk au sortir de la projection dudit 1941, film de Steven Spielberg et année du méconnu Hellzapoppin, plaisant melting-pot du cinéma burlesque non-cité sur cette plate-forme ( ou si peu ), oeuvre oubliée des cinéphiles qui reste LA seule véritable référence de ce spectacle épais, amusant mais juste de quoi faire sourire, drôlement drôle, bêtement bête, comiquement comique... Ouf ? Beurk ? Difficile à dire pour nous mais plutôt facile à faire pour Spiel, lui qui se balade dans le cinoche depuis près de 40 berges, lui ce crack de la caméra, ce génie de l'effet spécial, ce specimen de l'effet génial... C'est que c'est vraiment du cinéma ce bidule bourratif, véritable pièce montée de toute pièce, too much de chez too much, tarte à la crème de chez tarte à la crème, crème de la crème du potentiel budgétaire, pécuniaire, tralalaire !... Sinon ça swingue, ça balance, y a des scènes tops, des scènes less et même des scènes top-less ( oulala quand Nancy mord l'oreille de son partenaire, oulala quand le levier de vitesse se frotte à l'entre-jambe, oulala, oulala ) et quelques trucs vraiment drôles ( le coup de la grand-roue qui se bloque en nocturne : monsieur Leconte, monsieur Blanc et autres bazanés vous êtes grillés pour avoir plagié ! ). Bon j'arrrête là ma logorrhée et vous souhaite une bonne soirée, pour mieux vous souhaiter bonne année. Olé !
    Legid
    Legid

    36 abonnés 572 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 septembre 2017
    Seule comédie réalisée à ce jour par Steven Spielberg, 1941 n'est pas une franche réussite.
    Ne manquant pas d'audace visuelle avec une réalisation impressionnante parfois pour l'époque (le survol de LA par les avions, la scène de la grande roue qui roule) qui démontre le talent de son réalisateur, 1941 ne plaira cependant qu'aux amateurs d'humour burlesque et décalée. Le scénario est en effet assez absurde, les personnages complètement barrés mais l'humour n'a pas vraiment fonctionné sur moi et le tout est assez poussif.
    Pas mauvais non plus du fait de sa réalisation réussie, 1941 est un film qui ne plaira qu'aux amateurs d'humour décalé. Un Spielberg à part dans sa filmographie !
    GodMonsters
    GodMonsters

    1 299 abonnés 2 645 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 août 2012
    Pas le meilleur film de Steven Spielberg (loin de là), mais ça reste sympathique à regarder ! Ce long-métrage est peu connu du public, mais quand on le compare à d'autres de ses films il est normal que celui-là se démarque peu. Le scénario est un peu trop fouillis, cependant les personnages sont attachants, les dialogues sont assez drôles... de plus, j'ai adoré le clin d’œil fait aux 'Dents de la mer' du même cinéaste, c'est un bel hommage ! A voir, et à ne surtout pas le prendre au premier degré car malgré les sujets traités (peu habituels au genre), '1941' reste avant tout une petite comédie loufoque et décalée.
    Fabien S.
    Fabien S.

    548 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 juillet 2019
    Une bonne satire de la seconde guerre mondiale réalisé par le légendaire Steven Spielberg. Un bon patische marrant.
    Abarai
    Abarai

    133 abonnés 1 507 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 mars 2011
    En 1979, Spielberg réalisait une superbe comédie, qui fut malheureusement un échec commercial. Aujourd'hui, 1941 est l'une oeuvre inconnue du réalisateur, presque passé à la trappe. Et c'est bien dommage car ce film est une véritable merveille d'humour. Sur un scénario signé Robert Zemeckis et Bob Gale, 1941 nous entraîne dans de multiples péripéties avec des personnages loufoques et totalement disjonctés (John Belushi, Dan Aykroyd!). C'est un véritable plaisir, et les moments d'humour ne manquent pas, certains étant carrément absurdes, et donc totalement géniaux. La mise en scène est très réussie, mettant en valeur les actions et les protagonistes avec un grand soin. En bref, une oeuvre méconnue du célèbre cinéaste, mais terriblement jouissive.
    Ashitaka3
    Ashitaka3

    107 abonnés 1 206 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 mars 2011
    Un bon film de Spielberg dans un registre où on ne l'aurait pas forçément attendu... Le comique reste cartoonesque et les situations bien vues. La guerre vue sous un aspect tout un aspect original et désopilant. Les personnages sont vraiment bien trouvés. John Williams a déjà une maitrise exceptionnelle.
    TotoJp59
    TotoJp59

    48 abonnés 459 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 mars 2013
    Ce film fait figure d'anomalie dans la filmographie de Spielberg : le ton loufoque employé est unique et le réalisateur ne s'y est pas réessayé. Et pour cause ! Ce fut son premier important échec critique, bien que 1941 semble prendre du galon en vieillissant. La comédie est pourtant dans son style si particulier (vu auparavant dans certaines scènes de "Rencontre du 3ème Type") mais, quand c'est accumulé pendant tout un long-métrage, cela en devient agaçant. Je me demande d'ailleurs qu'est-ce qui a poussé Spielberg à adapter un scénario sans queue ni tête. Peut-être parce qu'il a été écrit par des amis (Zemeckis, Milius, Gale)... En tous cas, les personnages sont lourds et hystériques, ils crient dans tous les sens et ce n'est marrant que par courtes séquences. Cette parodie insuffisante tire tout de même profit de la maîtrise du spectaculaire...
    Gregory S
    Gregory S

    26 abonnés 578 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 septembre 2016
    Attention il s'agit de la critique de la version longue de 2h26.
    Très bien réalisé, surtout si on se rappelle l'âge de Spielberg a cette époque, 30 ans. Le casting est très réussi mais ça ne fonctionne pas car le burlesque est très difficile, soit c'est franchement réussi comme les Monthy Python soit ça peut être franchement raté. Là on ne peut pas dire que ça soit raté mais on n'a pas de scènes vraiment mémorables qui nous font nous gondoler
    NomdeZeus
    NomdeZeus

    90 abonnés 1 044 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 mars 2013
    1941 est une comédie à part dans la carrière de Spielberg. En effet, ce film s’avère beaucoup plus absurde et grossier que ce à quoi le réalisateur nous a habitué dans le reste de sa filmographie. Ce joyeux bordel, mettant en scène une pléiade de personnages délirants est marrant dans un premier temps, mais finit vraiment par saouler au bout d’1H40. Il y avait pourtant une belle brochette d’acteurs (les futurs « blues brothers » Aykroyd et Belushi, la belle Nancy Allen, et même les immenses Christorpher Lee et Toshiro Mifune dans le rôle des méchants!) mais leur présence ne suffit pas à masquer le manque de structure du scénario.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 3 novembre 2016
    Excellente parodie de film de guerre ultra-patriotique, avec une quantité de clins d’œil colossale, 1941, est d'un burlesque désopilant qui sublime le jeux des acteurs principaux avec une mention spéciale pour John Belushi.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 5 décembre 2014
    Une des thématiques les plus chères à Steven Spielberg est sans nul doute celle concernant la Seconde Guerre Mondiale. Il faut sauver le soldat Ryan et La Liste de Schindler sont les plus fiers représentants de cet aspect du cinéma spielbergien, ce sont en tout cas les deux plus appréciés. Ces deux films, non exempts de qualités non négligeables, pêchent par une tendance du cinéaste vouloir plaire au spectateur. Tendance ludique évidemment louable, mais un peu dérangeante dans le cas de ce genre de films historiques, qui se veulent à la fois sérieux et agréables, plaisants. Cela donne naissance, au mieux, à l'étrange et terrifiante séquence d'ouverture du Soldat Ryan, au pire, à la fameuse scène des douches de La Liste de Schindler.
    Ce deux œuvres, de par leur ambition et leur ampleur dramatique, cachent malheureusement un autre film de Spielberg sur la 2WW, sorti en 1979 : 1941.
    1941 donc, premier film du cinéaste sur le sujet, s'assume justement comme un mélange improbable entre l'aspect ludique inhérent au cinéma spielbergien (poussé à son plus grand extrême) et son obsession pour la 2WW.
    Il s'agit de l'association entre la vacuité de l'explosion sans but et l'importance d'un événement historique (qui a nécessairement une finalité, une influence sur la suite des événements).
    La résultante de ce mélange se situe au niveau des initiatives des personnages (fictifs) de 1941. Spielberg, malgré ce choix de la « fiction historique », ne choisit pas de modifier l'histoire comme pourrait le faire aujourd'hui un Tarantino avec Inglorious Basterds : il préfère réduire à néant toute finalité dans les initiatives des personnages, qui, malgré la fierté et l'enthousiasme et la fierté qu'ils accordent à ce qu'ils font, ne changent pas le cours de l'histoire d'un demi pouce ! Exemple flagrant : lorsqu'un sous-marin japonais ,pensant pilonner Hollywood, tire sur un parc forain désaffecté. Le commandant de bord, incarné par Toshiro Mifune (évidemment), s'imagine détruire le symbole flamboyant de la toute-puissance Etats-unienne, alors qu'il ne fait que faire jaillir des étincelles sur ce qui se trouve être la vacuité ludique incarnée. Ce geste, aussi magnifiquement vain que les prouesses de pyrotechnie qui feront le succès d'Indiana Jones quelques années plus tard, reflète limpidement l'enjeu principal de 1941 : la victoire éclatante de artifice sur le sérieux et la rigueur historique.
    Car chaque action, si elle n'a aucune incidence ni influence sur l'Histoire (et ce en dépit de ce que s'imaginent les personnages), déclenche un élément ludique, et ce à tel point que cette masse d'étincelles touche parfois à la folie, comme lorsque les japonais pensent bombardent une vieille Grande Roue désaffectée, et dénaturée pour servir de poste d'observation. Dès lors qu'elle est atteinte par les tirs, celle-ci retrouve sa fonction première d'attraction ludique, mais devient complètement folle, et se met ainsi à tourner à une vitesse folle, jusqu'à finalement tomber de son socle et s'écraser dans l'eau. Le tout sans aucun effet cartoonesque ou superficiel : plan large, plan sur les personnages en train de crier, plan large. Le spectacle artificiel n'existe que dans le simple fait que la vacuité foraine, entrée par erreur en contact avec l'importance grandiloquente d'une initiative historique, manifeste ce dérèglement par un délire pyrotechnique terrifiant.
    D'une certaine manière, 1941 gère beaucoup mieux qu'Il faut sauver le soldat Ryan la cohabitation entre l'Histoire et cet aspect ludique inhérent au cinéma spielbergien. En effet, le film de 1997 prend le parti pris du du vraisemblable historique, mais dramatise énormément le tout. Et ce dès la séquence d'introduction, qui semble prôner un réalisme viscéral, mais qui y insère un nombre incroyable de gags morbides plus ou moins discrets (une balle ricoche sur le casque d'un soldat, celui-ci, éberlué par une telle aubaine, enlève son casque pour tâter son crâne, et, pas de bol, une autre balle passait par là). Regarder Il faut sauver le solat Ryan, c'est regarder un document de mémoire historique qui ne peut s'empêcher de dramatiser ce qu'il raconte (sous prétexte que la guerre est une incroyable source de drame ?). Regarder 1941, c'est, plus simplement, regarder un gosse qui joue à la guerre.
    C'est une petite nuance, mais c'est aussi ce qui permet à ce film mésestimé d'accéder à ce qui échappe au Soldat Ryan (trop occupé à glorifier les « héros » de la 2WW), c'est à dire le dévoilement de la vacuité de la guerre qui, finalement, ne devrait être qu'un jeu tant elle est absurde.
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