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D’une facture classique, Flag Day est une sympathique échappée dans les années 1970 et 1980, au cœur d’une Amérique rurale et sauvage. Il filme son histoire avec générosité et violence mêlées, et offre à ses comédiens de magnifiques personnages torturés et, malgré tout, combatifs.
À 60 ans, l’acteur star joue aux côtés de sa propre fille Dylan - qu’il a eue avec l’actrice Robin Wright - l’histoire déchirante et forte de ce mauvais père fou d’amour. C’est très beau.
À l’arrivée, Sean Penn signe avec « Flag Day » un film fort, émouvant, magnifique, tant sur la forme que sur le fond, déchirant par moments, très enlevé à d’autres. Et révèle une exceptionnelle actrice débutante : Dylan Penn, la fille du réalisateur et de Robin Wright.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Flag Day y gagne en puissance, en vérité, succession d’espoirs et de désillusions derrière les liens du sang, au rythme de souvenirs ancrés dans cette Amérique des années 1970 qui fait tant fantasmer réalisateurs quinquagénaires et sexagénaires tant elle les renvoie à leur adolescence, le tout sublimé par cette autre obsession de Penn pour les paysages.
L’électricité et l’affection entre Sean Penn et sa fille Dylan sont palpables, et la présence de Hopper Jack Penn, le fils, ajoute une certaine émotion à ce drame familial qu’on regarde avec indulgence.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
On est ému par le regard plein de tendresse de Sean Penn à l’égard de sa muse - que la caméra suit pas à pas -, sublimée par le grain de la pellicule 16 mm choisie par le chef opérateur, Danny Moder.
Malgré quelques longueurs, Flag Day est un beau film, héritier direct du Nouvel Hollywood des seventies, gorgé de belles âmes en perdition sur fond d’Americana éblouissante.
Sean Penn dirige Dylan, sa fille, dans un rôle fiévreux, dont elle s’empare avec un talent fou. Dans une évidente mise en abyme, leur lien de parenté ajoute un supplément d’âme à ce mélo familial.
Malgré des afféteries de mise en scène lorgnant en vain le cinéma de Terrence Malick, on peut trouver un charme mélancolique à cette histoire de rendez-vous éternellement ratés entre un escroc et sa fille.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Décousu, incertain et confus, le dernier film de Sean Penn ne renoue jamais avec la maestria de ses premières création. Reste un écrin dans lequel Dylan Penn peut faire élégamment étal de son talent.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Ne demeure que l’impression d’un fastidieux récit des relations douloureuses entre une fille et son père toxique, ainsi que l’impossibilité d’une réconciliation réparatrice.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
L’histoire vraie de John Vogel, formidable loser, voleur, rêveur, incarnation de la faillite du rêve américain, ne pouvait que séduire Sean Penn. Il en tire un film honorable mais attendu, dont la forme, avec ses flashbacks et ses plages contemplatives, peine à convaincre.
Le montage fragmenté avec une voix-off qui imite (mal) Terrence Malick peine aussi à construire un vrai récit et il faudra attendre que la narration se recentre sur les deux personnages principaux pour que l’émotion affleure.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Sean Penn, ancien bad boy connu pour sa jeunesse turbulente, sa gueule cabossée, ses excès, produit à 60 ans ce qu’on peut appeler un joli film, apaisé.
Flag Day est miné par ses effets de manches - tremblements et changements d'axe incessants et gratuits de la caméra - et grevé par la performance de Sean Penn qui, dans le rôle du père, pose ici en martyr hollywoodien, prêtant son corps à une interminable série de maltraitantes qui suscitent gesticulations et grimaces.
Tenant le rôle du père, confiant celui de la fille Jennifer Vogel (auteure du livre adapté) à sa fille Dylan Penn et castant dans le rôle du frère de Jennifer son fils Hopper Penn, perdant toute boussole stylistique en route dans un magma moche et sentencieux, l’acteur et ex-bon cinéaste (Indian Runner, Crossing Guard…) paraît totalement égaré.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Penn s’égare dans ses mosaïques, prenant à peine le temps de caractériser ses personnages autrement que par des raccourcis faciles, et ne trouvant jamais la dimension iconique appelée par le script.
La critique complète est disponible sur le site Première
On a du mal à comprendre Sean Penn, qui a livré par le passé quelques films mémorables. Avec Flag Day, il semble se tromper quasiment sur toute la ligne.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Franceinfo Culture
Des images splendides, vivantes, et le rythme soutenu subliment les personnages au coeur d'un film bouleversant. Magnifique.
20 Minutes
Dylan Penn est éblouissante.
CNews
D’une facture classique, Flag Day est une sympathique échappée dans les années 1970 et 1980, au cœur d’une Amérique rurale et sauvage. Il filme son histoire avec générosité et violence mêlées, et offre à ses comédiens de magnifiques personnages torturés et, malgré tout, combatifs.
CinemaTeaser
Un beau geste, touchant et élégant, de cinéaste et d’acteur.
La Voix du Nord
Malgré ses tics de mise en scène, Sean Penn réalise un film fort en émotions autour de la relation entre un père (truand) et sa fille.
Le Dauphiné Libéré
À 60 ans, l’acteur star joue aux côtés de sa propre fille Dylan - qu’il a eue avec l’actrice Robin Wright - l’histoire déchirante et forte de ce mauvais père fou d’amour. C’est très beau.
Le Figaro
Sean Penn renoue avec sa veine d’antan, efface le mauvais souvenir de The Last Face.
Le Parisien
À l’arrivée, Sean Penn signe avec « Flag Day » un film fort, émouvant, magnifique, tant sur la forme que sur le fond, déchirant par moments, très enlevé à d’autres. Et révèle une exceptionnelle actrice débutante : Dylan Penn, la fille du réalisateur et de Robin Wright.
Ouest France
Le film utilise parfois des ficelles un peu grosses mais est largement rattrapé par la prestation de Dylan Penn, qui s'avère une excellente actrice.
Public
Le duo formé par Sean Penn et sa fille est à la fois intense et juste.
Rolling Stone
Flag Day y gagne en puissance, en vérité, succession d’espoirs et de désillusions derrière les liens du sang, au rythme de souvenirs ancrés dans cette Amérique des années 1970 qui fait tant fantasmer réalisateurs quinquagénaires et sexagénaires tant elle les renvoie à leur adolescence, le tout sublimé par cette autre obsession de Penn pour les paysages.
L'Obs
L’électricité et l’affection entre Sean Penn et sa fille Dylan sont palpables, et la présence de Hopper Jack Penn, le fils, ajoute une certaine émotion à ce drame familial qu’on regarde avec indulgence.
Le Journal du Dimanche
On est ému par le regard plein de tendresse de Sean Penn à l’égard de sa muse - que la caméra suit pas à pas -, sublimée par le grain de la pellicule 16 mm choisie par le chef opérateur, Danny Moder.
Le Point
Malgré quelques longueurs, Flag Day est un beau film, héritier direct du Nouvel Hollywood des seventies, gorgé de belles âmes en perdition sur fond d’Americana éblouissante.
Télé 7 Jours
Sean Penn dirige Dylan, sa fille, dans un rôle fiévreux, dont elle s’empare avec un talent fou. Dans une évidente mise en abyme, leur lien de parenté ajoute un supplément d’âme à ce mélo familial.
Télérama
Malgré des afféteries de mise en scène lorgnant en vain le cinéma de Terrence Malick, on peut trouver un charme mélancolique à cette histoire de rendez-vous éternellement ratés entre un escroc et sa fille.
Ecran Large
Décousu, incertain et confus, le dernier film de Sean Penn ne renoue jamais avec la maestria de ses premières création. Reste un écrin dans lequel Dylan Penn peut faire élégamment étal de son talent.
La Croix
Ne demeure que l’impression d’un fastidieux récit des relations douloureuses entre une fille et son père toxique, ainsi que l’impossibilité d’une réconciliation réparatrice.
Le Monde
Un film sage qui enfile des kilomètres de tunnels musicaux autour de deux acteurs qui jouent leur partition.
Les Fiches du Cinéma
L’histoire vraie de John Vogel, formidable loser, voleur, rêveur, incarnation de la faillite du rêve américain, ne pouvait que séduire Sean Penn. Il en tire un film honorable mais attendu, dont la forme, avec ses flashbacks et ses plages contemplatives, peine à convaincre.
Paris Match
Le montage fragmenté avec une voix-off qui imite (mal) Terrence Malick peine aussi à construire un vrai récit et il faudra attendre que la narration se recentre sur les deux personnages principaux pour que l’émotion affleure.
Sud Ouest
Sean Penn, ancien bad boy connu pour sa jeunesse turbulente, sa gueule cabossée, ses excès, produit à 60 ans ce qu’on peut appeler un joli film, apaisé.
Cahiers du Cinéma
Flag Day est miné par ses effets de manches - tremblements et changements d'axe incessants et gratuits de la caméra - et grevé par la performance de Sean Penn qui, dans le rôle du père, pose ici en martyr hollywoodien, prêtant son corps à une interminable série de maltraitantes qui suscitent gesticulations et grimaces.
Critikat.com
Le nouveau Sean Penn est donc un (énième) ratage.
Les Inrockuptibles
Le film n’est certes pas aussi désastreux que le précédent, tout juste paresseux, mais il fait regretter le Sean Penn des années 90.
Libération
Tenant le rôle du père, confiant celui de la fille Jennifer Vogel (auteure du livre adapté) à sa fille Dylan Penn et castant dans le rôle du frère de Jennifer son fils Hopper Penn, perdant toute boussole stylistique en route dans un magma moche et sentencieux, l’acteur et ex-bon cinéaste (Indian Runner, Crossing Guard…) paraît totalement égaré.
Marianne
Hélas, cette histoire de paternité blessée s’abîme dans les clichés et les surenchères larmoyantes. Une famille peu recommandable.
Positif
Ce nouvel essai raté, est si maladroit et sirupeux qu’il bascule presque dans la parodie malgré lui.
Première
Penn s’égare dans ses mosaïques, prenant à peine le temps de caractériser ses personnages autrement que par des raccourcis faciles, et ne trouvant jamais la dimension iconique appelée par le script.
aVoir-aLire.com
On a du mal à comprendre Sean Penn, qui a livré par le passé quelques films mémorables. Avec Flag Day, il semble se tromper quasiment sur toute la ligne.