C’est gentille cette autobiographie co-écrit par le chanteur rap de Marly-Gomont, on se croirait à pôle emploi de Clochemerle, la carte de chômeur de Fernandel vache qui rit où non loin du fromage ch’timi maroilles, population densité municipale selon wiki : 475 habitants âmes.
Dans cette intrigue contraignante, un congolais Kinshasa fraîchement diplômé en médecine s’installe avec sa famille, femme et deux enfants, bon bon, ce n’est pas Spike Lee, c’est Kamini Santoko qui nous chante son tube de l’été et d’hiver inclus.
Dans cette réalisation tranche de vie personnelle enfance vécue, un père médecin philosophe modèle et une mère tant aimée, on a tout compris, les provinciaux n’ont jamais vus d’inédit que le bout de leurs nez, peureux en 1975 s’il vous plaît......!
N’oublions pas un passé lointain, ceci est une autre histoire, se pose le racisme en France des années 70-80, c’était pas facile, on se doute bien et n’est montré du doigt méchamment, la vie était pas chère, le rêve national, les francs étaient beurre de prix comptant TTC hors taxe au cabinet du généraliste africain, du rabais ma foi.
Un privilège que n’ont pas cette chance ces paysans villageois rustiques comme des vaches à lait, une comédie douce France 🇫🇷..... cher pays de mon enfance.... ça reste pas assez dramatique, selon le Congo anciennement colonie belge époque Zaïroise.
L’histoire marathon kilomètre parcourue par un opposant au régime, demande d’asile refusé à l’ambassade ou consulat, la mairie n’a eue le temps jusqu’au moment des élections, gendarmerie police métier d’homme slogan exécutif, expiration du délai sur le sol de droit français arrivé à date d’échéance.
Ce n’est plus du tourisme ! Descendant de la génération fils d’immigrés mieux intégrés, en chanson poésie médicale 🏥 et soyez bon au football exigé statut érigée, votre place est en jeu joyeux.