Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Serge Avédikian filme une aventure caucasienne cocasse dont la légèreté sert un propos plus profond. Un "feel good movie" optimiste, drôle et touchant.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Le réalisateur et acteur s'entend à merveille avec son interprète, cela se voit et s'entend à l'écran, de sorte que le film, en dépit de quelques pannes de rythme dues à la minceur de l'argument, s'impose comme une jolie comédie au ton délicieusement décalé.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Dans cette tendre comédie, Patrick Chesnais incarne un acteur français perdu dans un village arménien où il est célébré, à sa plus grande surprise, comme un sauveur.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Positif
par Emmanuel Raspiengeas
À défaut de l'efficacité narrative d'Hergé, Avédikian retire de cette source d'inspiration une tendresse appréciable, et réussit à faire de son film un conte estival... inattendu.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une fable sur fond plutôt tragique, traitée dans une tonalité plutôt comique, dans un entre-deux que l’interprétation, malgré sa qualité, ne parvient pas à combler tout à fait.
Les Fiches du Cinéma
par Isabelle Danel
Fable sur un français accueilli comme le messie en Arménie, le deuxième long de l'acteur S. Avédikian mêle l'absurde et le doux-amer. Malheureusement, le ton de comédie n'est pas toujours à la hauteur des ambitions.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Angélique ? Oui, mais dépaysement et bonne humeur garantis, avec une galerie de personnages attachants. Le feel good movie qu'on attendait !
Télérama
par Guillemette Odicino
Ouvertement tintinophile, mais avec un désordre poétique qui évoque aussi Otar Iosseliani, cette fable distille un charme et une émotion qui doivent beaucoup à Patrick Chesnais. En bienfaiteur de hasard, dérouté puis conquis, il est délicieux.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Marc Quaglieri
Serge Avedikian nous livre ici une comédie pleine de légèreté sur des sujets graves, sans pour autant tomber dans le pathos.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Le hic, c’est justement la gentillesse de l’histoire, qui ne mange pas de pain, et délivre quelques évidences sur l’état des pays d’Asie centrale et la solidarité entre les peuples. D’autres films serinent cela de long en large, mais avec plus de finesse.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Noémie Luciani
Après l'exubérant "Scandale Paradjanov" sorti en 2015, Serge-Avédikian renoue avec la réalisation pour un nouveau film plus sobre formellement. Cette comédie franco-arménienne sur le choc de cultures connaît des moments d'humour, mais reste poussive sur l'ensemble.
Libération
par Didier Péron
Pour sympatique que soit la trame du film, il paraît difficile de ne pas en voir constamment les limites, notamment parce que le registre de la truculence demeure plus folklorique que vraiment fou.
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Qu'elle est généreuse, cette fable jouant sur le décalage entre deux cultures. Sauf qu'à force de grossir le trait, pittoresque rime ici avec grotesque...
Franceinfo Culture
Serge Avédikian filme une aventure caucasienne cocasse dont la légèreté sert un propos plus profond. Un "feel good movie" optimiste, drôle et touchant.
L'Obs
Le réalisateur et acteur s'entend à merveille avec son interprète, cela se voit et s'entend à l'écran, de sorte que le film, en dépit de quelques pannes de rythme dues à la minceur de l'argument, s'impose comme une jolie comédie au ton délicieusement décalé.
La Croix
Dans cette tendre comédie, Patrick Chesnais incarne un acteur français perdu dans un village arménien où il est célébré, à sa plus grande surprise, comme un sauveur.
Positif
À défaut de l'efficacité narrative d'Hergé, Avédikian retire de cette source d'inspiration une tendresse appréciable, et réussit à faire de son film un conte estival... inattendu.
Le Dauphiné Libéré
Une fable sur fond plutôt tragique, traitée dans une tonalité plutôt comique, dans un entre-deux que l’interprétation, malgré sa qualité, ne parvient pas à combler tout à fait.
Les Fiches du Cinéma
Fable sur un français accueilli comme le messie en Arménie, le deuxième long de l'acteur S. Avédikian mêle l'absurde et le doux-amer. Malheureusement, le ton de comédie n'est pas toujours à la hauteur des ambitions.
Télé 7 Jours
Angélique ? Oui, mais dépaysement et bonne humeur garantis, avec une galerie de personnages attachants. Le feel good movie qu'on attendait !
Télérama
Ouvertement tintinophile, mais avec un désordre poétique qui évoque aussi Otar Iosseliani, cette fable distille un charme et une émotion qui doivent beaucoup à Patrick Chesnais. En bienfaiteur de hasard, dérouté puis conquis, il est délicieux.
aVoir-aLire.com
Serge Avedikian nous livre ici une comédie pleine de légèreté sur des sujets graves, sans pour autant tomber dans le pathos.
L'Humanité
Le hic, c’est justement la gentillesse de l’histoire, qui ne mange pas de pain, et délivre quelques évidences sur l’état des pays d’Asie centrale et la solidarité entre les peuples. D’autres films serinent cela de long en large, mais avec plus de finesse.
Le Monde
Après l'exubérant "Scandale Paradjanov" sorti en 2015, Serge-Avédikian renoue avec la réalisation pour un nouveau film plus sobre formellement. Cette comédie franco-arménienne sur le choc de cultures connaît des moments d'humour, mais reste poussive sur l'ensemble.
Libération
Pour sympatique que soit la trame du film, il paraît difficile de ne pas en voir constamment les limites, notamment parce que le registre de la truculence demeure plus folklorique que vraiment fou.
Studio Ciné Live
Qu'elle est généreuse, cette fable jouant sur le décalage entre deux cultures. Sauf qu'à force de grossir le trait, pittoresque rime ici avec grotesque...