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"Félicité" trace la voie musicale, aérée, d’un réalisme qui cherche à capter ce qu’il y a de meilleur dans l’adversité plutôt que d’y tournoyer sans fin. Capter quelque chose comme une félicité.
A l’âpreté de la mise en scène répond un souffle dans la façon de filmer les situations, une humanité dans celle de dépeindre les personnages qui n’entrent jamais en conflit, créent une œuvre forte parsemée d’images et de séquences époustouflantes.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
"Félicité" est magique, parce que Félicité est peut-être un peu magicienne, et aussi parce qu’il n’attribue pas à la magie le pouvoir de tout résoudre.
Loin de l'énergie joyeusement désespérée qui caractérisait ses précédents longs métrages, Alain Gomis semble s'être jeté à corps perdu dans l'effervescence de la RDC (...).
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Œuvre réaliste tournée in situ, ponctuée par les interférences du quotidien, qui est en même temps une geste lyrique, entrecoupée par les prestations d’un orchestre symphonique local ou par diverses trouées poétiques dues au talent de filmeur et d’improvisateur inspiré d’Alain Gomis, cinéaste jazz.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Quatre ans après "Aujourd’hui", Alain Gomis livre un magnifique portrait de femme dans l’adversité, tourné à Kinshasa, la capitale de la République démocratique du Congo, dans l’âpreté du réel.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
"Félicité" est le quatrième long métrage d’Alain Gomis, né à Paris en 1972. Papa sénégalais. Maman française. À Berlin, il a glané un Ours d’argent et rappelé qu’il combat avec une caméra pour garder intacts son identité et son indépendance. Rapport à sa liberté de filmage et à l’humanité, à sa portée universelle, on pense à John Cassavetes.
Au rythme d’une musique qui en reflète les nuances et la tonalité, la quête désespérée d’une mère-courage, qui tient bon, même si elle s’essouffle un peu en route.
Dans un tourbillon tour à tour réaliste et poétique, haletant et méditatif, le film ne lâche jamais des yeux la vitalité de cette femme libre, débrouillarde, endurcie mais déstabilisée. Ce drame très concret prend alors une dimension sensorielle singulière, captivante avec ses images d’une grande beauté (...).
Un jour, Félicité s’arrête de chanter, son garçon a eu un accident de moto et il faut vite récupérer suffisamment d’argent pour l’opérer. C’est la première partie du film, qui nous a fait immédiatement penser au cinéma du Philippin Brillante Mendoza (...). Et puis un second film se déploie, encore plus beau, presque expérimental.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
De ces vies ordinaires, un sentiment de grandeur s'élève : par-delà la matérialité, la pauvreté, la beauté de l'âme rayonne. Par-delà les épreuves résiste une flamme secrète. Interprétée par l'étonnante Véro Tshanda Beya, Félicité devient un personnage transcendant, d'une intériorité et d'une richesse magnifiques.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le film est un peu long (plus de deux heures), mais sous-tendu par l’énergie folle d’une ville en décomposition. Et Véro Tshanda Beya Mputu, qui joue pour la première fois au cinéma, est bouleversante.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Défaisant les mécaniques scénaristiques trop bien huilées, Alain Gomis traque l’énergie brute de son trio d’interprètes mais se perd quelque peu dans un délitement mystico-poétique.
20 Minutes
(...) un magnifique portrait de mère courage (...)
Cahiers du Cinéma
"Félicité" trace la voie musicale, aérée, d’un réalisme qui cherche à capter ce qu’il y a de meilleur dans l’adversité plutôt que d’y tournoyer sans fin. Capter quelque chose comme une félicité.
Culturopoing.com
A l’âpreté de la mise en scène répond un souffle dans la façon de filmer les situations, une humanité dans celle de dépeindre les personnages qui n’entrent jamais en conflit, créent une œuvre forte parsemée d’images et de séquences époustouflantes.
Les Fiches du Cinéma
En déplaçant le mythe d’Orphée à Kinshasa, Alain Gomis signe un film musical et dramatique absolument superbe.
Libération
"Félicité" est magique, parce que Félicité est peut-être un peu magicienne, et aussi parce qu’il n’attribue pas à la magie le pouvoir de tout résoudre.
Studio Ciné Live
Un film envoûtant, sensuel et musical à Kinshasa.
Transfuge
(...) ce quatrième long-métrage sur le combat d'une mère est peut-être le plus beau du réalisateur franco-sénégalais.
Voici
A l'image du personnage de Félicité, le film n'est pas facile, mais il est beau, fort, sensuel, vibrant, émouvant et envoûtant.
Critikat.com
Loin de l'énergie joyeusement désespérée qui caractérisait ses précédents longs métrages, Alain Gomis semble s'être jeté à corps perdu dans l'effervescence de la RDC (...).
Ecran Large
Intense, organique et gracieux, le tour de force d'Alain Gomis fascine.
L'Express
Véronique Beya Mputu est magnifique. La musique, très présente, est à la fois électrique et traditionnelle. Comme ce film.
L'Humanité
Œuvre réaliste tournée in situ, ponctuée par les interférences du quotidien, qui est en même temps une geste lyrique, entrecoupée par les prestations d’un orchestre symphonique local ou par diverses trouées poétiques dues au talent de filmeur et d’improvisateur inspiré d’Alain Gomis, cinéaste jazz.
La Croix
Quatre ans après "Aujourd’hui", Alain Gomis livre un magnifique portrait de femme dans l’adversité, tourné à Kinshasa, la capitale de la République démocratique du Congo, dans l’âpreté du réel.
La Voix du Nord
"Félicité" est le quatrième long métrage d’Alain Gomis, né à Paris en 1972. Papa sénégalais. Maman française. À Berlin, il a glané un Ours d’argent et rappelé qu’il combat avec une caméra pour garder intacts son identité et son indépendance. Rapport à sa liberté de filmage et à l’humanité, à sa portée universelle, on pense à John Cassavetes.
Le Dauphiné Libéré
Au rythme d’une musique qui en reflète les nuances et la tonalité, la quête désespérée d’une mère-courage, qui tient bon, même si elle s’essouffle un peu en route.
Le Figaro
Le réalisateur franco-guinéen-sénégalais Alain Gomis signe un beau portrait de femme forte et généreuse.
Le Journal du Dimanche
Dans un tourbillon tour à tour réaliste et poétique, haletant et méditatif, le film ne lâche jamais des yeux la vitalité de cette femme libre, débrouillarde, endurcie mais déstabilisée. Ce drame très concret prend alors une dimension sensorielle singulière, captivante avec ses images d’une grande beauté (...).
Le Monde
Tourné à Kinshasa, le quatrième long-métrage d’Alain Gomis cherche et trouve la beauté au milieu de la violence de la métropole.
Les Inrockuptibles
C’est tout de même assez dément de parvenir à décrire concomitamment le jour et la nuit, le paradis et l’enfer. C’est ce que réussit Alain Gomis.
Paris Match
Un jour, Félicité s’arrête de chanter, son garçon a eu un accident de moto et il faut vite récupérer suffisamment d’argent pour l’opérer. C’est la première partie du film, qui nous a fait immédiatement penser au cinéma du Philippin Brillante Mendoza (...). Et puis un second film se déploie, encore plus beau, presque expérimental.
Sud Ouest
Alain Gomis restitue à sa façon très singulière, cette histoire entre deux mondes, pleine de mystère et de vérité.
Télérama
De ces vies ordinaires, un sentiment de grandeur s'élève : par-delà la matérialité, la pauvreté, la beauté de l'âme rayonne. Par-delà les épreuves résiste une flamme secrète. Interprétée par l'étonnante Véro Tshanda Beya, Félicité devient un personnage transcendant, d'une intériorité et d'une richesse magnifiques.
L'Obs
Le film est un peu long (plus de deux heures), mais sous-tendu par l’énergie folle d’une ville en décomposition. Et Véro Tshanda Beya Mputu, qui joue pour la première fois au cinéma, est bouleversante.
La Septième Obsession
Défaisant les mécaniques scénaristiques trop bien huilées, Alain Gomis traque l’énergie brute de son trio d’interprètes mais se perd quelque peu dans un délitement mystico-poétique.
aVoir-aLire.com
Un superbe portrait de femme qui bascule dans un univers fantasmagorique à la noirceur absolue.