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25 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
(...) un magnifique portrait de mère courage (...)
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
"Félicité" trace la voie musicale, aérée, d’un réalisme qui cherche à capter ce qu’il y a de meilleur dans l’adversité plutôt que d’y tournoyer sans fin. Capter quelque chose comme une félicité.
Culturopoing.com
par Thomas Roland
A l’âpreté de la mise en scène répond un souffle dans la façon de filmer les situations, une humanité dans celle de dépeindre les personnages qui n’entrent jamais en conflit, créent une œuvre forte parsemée d’images et de séquences époustouflantes.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Les Fiches du Cinéma
par Roland Hélié
En déplaçant le mythe d’Orphée à Kinshasa, Alain Gomis signe un film musical et dramatique absolument superbe.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Luc Chessel
"Félicité" est magique, parce que Félicité est peut-être un peu magicienne, et aussi parce qu’il n’attribue pas à la magie le pouvoir de tout résoudre.
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Un film envoûtant, sensuel et musical à Kinshasa.
Transfuge
par Frédéric Mercier
(...) ce quatrième long-métrage sur le combat d'une mère est peut-être le plus beau du réalisateur franco-sénégalais.
Voici
par La Rédaction
A l'image du personnage de Félicité, le film n'est pas facile, mais il est beau, fort, sensuel, vibrant, émouvant et envoûtant.
Critikat.com
par Clément Graminiès
Loin de l'énergie joyeusement désespérée qui caractérisait ses précédents longs métrages, Alain Gomis semble s'être jeté à corps perdu dans l'effervescence de la RDC (...).
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Simon Riaux
Intense, organique et gracieux, le tour de force d'Alain Gomis fascine.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Express
par Eric Libiot
Véronique Beya Mputu est magnifique. La musique, très présente, est à la fois électrique et traditionnelle. Comme ce film.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Œuvre réaliste tournée in situ, ponctuée par les interférences du quotidien, qui est en même temps une geste lyrique, entrecoupée par les prestations d’un orchestre symphonique local ou par diverses trouées poétiques dues au talent de filmeur et d’improvisateur inspiré d’Alain Gomis, cinéaste jazz.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Arnaud Schwartz
Quatre ans après "Aujourd’hui", Alain Gomis livre un magnifique portrait de femme dans l’adversité, tourné à Kinshasa, la capitale de la République démocratique du Congo, dans l’âpreté du réel.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
"Félicité" est le quatrième long métrage d’Alain Gomis, né à Paris en 1972. Papa sénégalais. Maman française. À Berlin, il a glané un Ours d’argent et rappelé qu’il combat avec une caméra pour garder intacts son identité et son indépendance. Rapport à sa liberté de filmage et à l’humanité, à sa portée universelle, on pense à John Cassavetes.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Au rythme d’une musique qui en reflète les nuances et la tonalité, la quête désespérée d’une mère-courage, qui tient bon, même si elle s’essouffle un peu en route.
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Le réalisateur franco-guinéen-sénégalais Alain Gomis signe un beau portrait de femme forte et généreuse.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Dans un tourbillon tour à tour réaliste et poétique, haletant et méditatif, le film ne lâche jamais des yeux la vitalité de cette femme libre, débrouillarde, endurcie mais déstabilisée. Ce drame très concret prend alors une dimension sensorielle singulière, captivante avec ses images d’une grande beauté (...).
Le Monde
par Thomas Sotinel
Tourné à Kinshasa, le quatrième long-métrage d’Alain Gomis cherche et trouve la beauté au milieu de la violence de la métropole.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
C’est tout de même assez dément de parvenir à décrire concomitamment le jour et la nuit, le paradis et l’enfer. C’est ce que réussit Alain Gomis.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Yannick Vely
Un jour, Félicité s’arrête de chanter, son garçon a eu un accident de moto et il faut vite récupérer suffisamment d’argent pour l’opérer. C’est la première partie du film, qui nous a fait immédiatement penser au cinéma du Philippin Brillante Mendoza (...). Et puis un second film se déploie, encore plus beau, presque expérimental.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Sud Ouest
par Sophie Avon
Alain Gomis restitue à sa façon très singulière, cette histoire entre deux mondes, pleine de mystère et de vérité.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Frédéric Strauss
De ces vies ordinaires, un sentiment de grandeur s'élève : par-delà la matérialité, la pauvreté, la beauté de l'âme rayonne. Par-delà les épreuves résiste une flamme secrète. Interprétée par l'étonnante Véro Tshanda Beya, Félicité devient un personnage transcendant, d'une intériorité et d'une richesse magnifiques.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par François Forestier
Le film est un peu long (plus de deux heures), mais sous-tendu par l’énergie folle d’une ville en décomposition. Et Véro Tshanda Beya Mputu, qui joue pour la première fois au cinéma, est bouleversante.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Adrien Valgalier
Défaisant les mécaniques scénaristiques trop bien huilées, Alain Gomis traque l’énergie brute de son trio d’interprètes mais se perd quelque peu dans un délitement mystico-poétique.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Un superbe portrait de femme qui bascule dans un univers fantasmagorique à la noirceur absolue.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
(...) un magnifique portrait de mère courage (...)
Cahiers du Cinéma
"Félicité" trace la voie musicale, aérée, d’un réalisme qui cherche à capter ce qu’il y a de meilleur dans l’adversité plutôt que d’y tournoyer sans fin. Capter quelque chose comme une félicité.
Culturopoing.com
A l’âpreté de la mise en scène répond un souffle dans la façon de filmer les situations, une humanité dans celle de dépeindre les personnages qui n’entrent jamais en conflit, créent une œuvre forte parsemée d’images et de séquences époustouflantes.
Les Fiches du Cinéma
En déplaçant le mythe d’Orphée à Kinshasa, Alain Gomis signe un film musical et dramatique absolument superbe.
Libération
"Félicité" est magique, parce que Félicité est peut-être un peu magicienne, et aussi parce qu’il n’attribue pas à la magie le pouvoir de tout résoudre.
Studio Ciné Live
Un film envoûtant, sensuel et musical à Kinshasa.
Transfuge
(...) ce quatrième long-métrage sur le combat d'une mère est peut-être le plus beau du réalisateur franco-sénégalais.
Voici
A l'image du personnage de Félicité, le film n'est pas facile, mais il est beau, fort, sensuel, vibrant, émouvant et envoûtant.
Critikat.com
Loin de l'énergie joyeusement désespérée qui caractérisait ses précédents longs métrages, Alain Gomis semble s'être jeté à corps perdu dans l'effervescence de la RDC (...).
Ecran Large
Intense, organique et gracieux, le tour de force d'Alain Gomis fascine.
L'Express
Véronique Beya Mputu est magnifique. La musique, très présente, est à la fois électrique et traditionnelle. Comme ce film.
L'Humanité
Œuvre réaliste tournée in situ, ponctuée par les interférences du quotidien, qui est en même temps une geste lyrique, entrecoupée par les prestations d’un orchestre symphonique local ou par diverses trouées poétiques dues au talent de filmeur et d’improvisateur inspiré d’Alain Gomis, cinéaste jazz.
La Croix
Quatre ans après "Aujourd’hui", Alain Gomis livre un magnifique portrait de femme dans l’adversité, tourné à Kinshasa, la capitale de la République démocratique du Congo, dans l’âpreté du réel.
La Voix du Nord
"Félicité" est le quatrième long métrage d’Alain Gomis, né à Paris en 1972. Papa sénégalais. Maman française. À Berlin, il a glané un Ours d’argent et rappelé qu’il combat avec une caméra pour garder intacts son identité et son indépendance. Rapport à sa liberté de filmage et à l’humanité, à sa portée universelle, on pense à John Cassavetes.
Le Dauphiné Libéré
Au rythme d’une musique qui en reflète les nuances et la tonalité, la quête désespérée d’une mère-courage, qui tient bon, même si elle s’essouffle un peu en route.
Le Figaro
Le réalisateur franco-guinéen-sénégalais Alain Gomis signe un beau portrait de femme forte et généreuse.
Le Journal du Dimanche
Dans un tourbillon tour à tour réaliste et poétique, haletant et méditatif, le film ne lâche jamais des yeux la vitalité de cette femme libre, débrouillarde, endurcie mais déstabilisée. Ce drame très concret prend alors une dimension sensorielle singulière, captivante avec ses images d’une grande beauté (...).
Le Monde
Tourné à Kinshasa, le quatrième long-métrage d’Alain Gomis cherche et trouve la beauté au milieu de la violence de la métropole.
Les Inrockuptibles
C’est tout de même assez dément de parvenir à décrire concomitamment le jour et la nuit, le paradis et l’enfer. C’est ce que réussit Alain Gomis.
Paris Match
Un jour, Félicité s’arrête de chanter, son garçon a eu un accident de moto et il faut vite récupérer suffisamment d’argent pour l’opérer. C’est la première partie du film, qui nous a fait immédiatement penser au cinéma du Philippin Brillante Mendoza (...). Et puis un second film se déploie, encore plus beau, presque expérimental.
Sud Ouest
Alain Gomis restitue à sa façon très singulière, cette histoire entre deux mondes, pleine de mystère et de vérité.
Télérama
De ces vies ordinaires, un sentiment de grandeur s'élève : par-delà la matérialité, la pauvreté, la beauté de l'âme rayonne. Par-delà les épreuves résiste une flamme secrète. Interprétée par l'étonnante Véro Tshanda Beya, Félicité devient un personnage transcendant, d'une intériorité et d'une richesse magnifiques.
L'Obs
Le film est un peu long (plus de deux heures), mais sous-tendu par l’énergie folle d’une ville en décomposition. Et Véro Tshanda Beya Mputu, qui joue pour la première fois au cinéma, est bouleversante.
La Septième Obsession
Défaisant les mécaniques scénaristiques trop bien huilées, Alain Gomis traque l’énergie brute de son trio d’interprètes mais se perd quelque peu dans un délitement mystico-poétique.
aVoir-aLire.com
Un superbe portrait de femme qui bascule dans un univers fantasmagorique à la noirceur absolue.