Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
29 critiques presse
Télé Loisirs
par Gwénola Trouillard
Avec un humour travaillé en férocité, le film critique le jeunisme, la soif de célébrité, les réseaux sociaux et le parisianisme dans un réjouissant jeu de massacre.
Bande à part
par Benoît Basirico
Une comédie crépusculaire qui dépeint avec justesse la fin d'un monde, celui de la célébrité d'antan et d'idéaux déchus.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Une comédie chorale douce-amère d'une belle justesse.
L'Express
par Eric Libiot
Fidèles à leur cinéma, Jaoui et Bacri élaborent un conte moral d'aujourd'hui. Toujours fidèles, ils filment un ballet de personnages qui exposent et argumentent sur les effluves d'un air souvent malsain lié au politiquement correct versus incorrect, à ces déferlements sur les réseaux, à la fausseté des rapports humains, à la remise en question du fond victime des effets de mode.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une mélancolie tendre qui vient tempérer le côté acide du regard, et à laquelle Bacri apporte sa note toute personnelle en entonnant, avec un étonnant talent d’imitateur, des Feuilles mortes où il fait entendre la voix de feu Montand, et un Osez, Joséphine, où il restitue celle de feu Bashung. Comme si la fête était bel et bien finie…
Le Journal du Dimanche
par Stéphane Joby
Un chassé-croisé parfaitement orchestré qui se double d’un discours attachant sur le vieillissement et les convictions de jeunesse difficiles à perpétuer.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Marianne
par Olivier de Bruyn
Line ironie saignante. Le mépris social d'une poignée de bien-pensants, le culte du jeunisme, la dictature des selfies et des réseaux sociaux : Jaoui et Baer! passent à la Moulinette les tendances avec une ironie saignante.
Ouest France
par Christophe Narbonne
Peut-être pas le meilleur film du tandem, mais sans doute leur plus joyeusement amoral.
Positif
par Philippe Rouyer
Avec ce nouveau film, Jaoui et Bacri confirment qu'ils sont toujours de fins observateurs de l'air du temps, vigilants face aux dérives d'une société.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Agnès Jaoui et Jean-Pierre Bacri proposent une comédie mélancolique où la vieillesse et les travers de nos contemporains font leur régal.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Leur plume acerbe est savoureuse, et si elle brocarde l'obsession de la célébrité, les réseaux sociaux et le cloisonnement de la société, elle sait aussi se parer de tendresse pour dessiner des personnages imbuvables mais, au bout du compte, profondément touchants.
Voici
par Lola Sciamma
Encore une fois dans le rôle du cynique, Jean-Pierre Bacri a perdu le sens de la fête dans ces retrouvailles-prises de bec comiques où l'on danse et l'on chante en faisant des selfies pour se sentir vivant.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Les Jaoui/Bacri reviennent en force pour décrypter, avec l’acuité qui les caractérise, les petits travers et les grandes incohérences de nos sociétés modernes.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Ecran Large
par Geoffrey Crété
On est loin des films percutants, malins et fins d'Agnès Jaoui et Jean-Pierre Bacri avec cette petite comédie bien banale.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
(...) l’on ressent comme un petit ronronnement, une "petite musique", non moins plaisante, mais qui ne surprend pas.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Voix du Nord
par Catherine Painset
Agnès Jaoui et Jean-Pierre Bacri au scénario, elle à la mise en scène, les deux devant la caméra au milieu d’un superbe casting. Revoici les « JaBac », comme les appelait Alain Resnais, pour une comédie sur l’époque. Hélas pas complètement réussie.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Un constat sombre énoncé avec légèreté. Attachant, à défaut d’être pleinement convaincant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Christophe Narbonne
Agnès Jaoui et Jean-Pierre Bacri reviennent en forme avec une comédie chorale désenchantée sur le vieillissement et la fin des idéaux.
Transfuge
par Sidy Sakho
Constat sans doute juste, mais les intentions lourdement soulignées par des répliques surécrites privent le film de toute portée dialectique et de toute vertu subversive.
Critikat.com
par Nicolas Maille
"Place publique" ne fait qu’enfoncer des portes ouvertes sur le milieu médiatique, la lutte des classes, le jeunisme face au vieillissement, ou encore sur notre société hyper connectée où les réseaux sociaux ont la part belle.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Ça se voudrait une version moderne de la Règle du jeu, mais cela manque un peu de finesse ; le chassé-croisé entre classes sociales est bien tenté, mais il est peu approfondi.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Place publique souffre, à cause de la proximité du cadre, de la comparaison avec Le Sens de la fête où Jean-Pierre Bacri excellait dans un rôle plus abouti et plus complexe. Tout se passe comme si le duo Jaoui-Bacri, naguère crépitant, avait perdu la main. Vivement que ces deux-là reviennent au meilleur de leur forme.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Thomas Sotinel
Il y a là largement de quoi mettre en branle une mécanique comique, mais celle-ci reste grippée. On dirait les scénaristes paralysés par on ne sait quelle lassitude qui les empêche d’aller plus loin que l’énoncé de chaque situation.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Au début, la charpente semble solidement fixée mais, au final, elle ne s’avère être qu’un parquet flottant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
(...) malgré le brio de surface, la manière Bacri-Jaoui commence à accuser quelques rides. L’âge joue aussi peut-être sur la note sombre qui sous-tend le film, Jaoui semblant entériner amèrement la victoire du cynisme sur la croyance idéaliste.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Jérémy Piette
Les morceaux en mosaïque de structures narratives et personnages campés de précédents films (plus réussis) ne se tiennent la main que pour agréger matière à ce nouvel opus sans véritablement le faire respirer, la foule est trop grande et les sujets comme effleurés (...).
La critique complète est disponible sur le site Libération
L'Obs
par Nicolas Schaller
Surnagent quelques bonnes répliques. C'est peu de la part de ces ex-fleurons de la comédie française dont les éternelles colères – contre le règne de l'apparence, le mépris social, le culte de la célébrité, le panurgisme –, faiblement écrites et mises en scène, tournent à l'aigre.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Nathalie Simon
Le film d'Agnès Jaoui avec Jean-Pierre Bacri en présentateur bougon rappelle Le Sens de la fête. En bien moins pertinent.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Télérama
par Jacques Morice
Le film brocarde l’obsession de la célébrité et le besoin grandissant de reconnaissance, pointe le fait que chacun vit dans une bulle plus ou moins protégée. Jean-Pierre Bacri est toujours drôle, même si son registre de grincheux frise, cette fois, l’autocaricature.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Télé Loisirs
Avec un humour travaillé en férocité, le film critique le jeunisme, la soif de célébrité, les réseaux sociaux et le parisianisme dans un réjouissant jeu de massacre.
Bande à part
Une comédie crépusculaire qui dépeint avec justesse la fin d'un monde, celui de la célébrité d'antan et d'idéaux déchus.
Femme Actuelle
Une comédie chorale douce-amère d'une belle justesse.
L'Express
Fidèles à leur cinéma, Jaoui et Bacri élaborent un conte moral d'aujourd'hui. Toujours fidèles, ils filment un ballet de personnages qui exposent et argumentent sur les effluves d'un air souvent malsain lié au politiquement correct versus incorrect, à ces déferlements sur les réseaux, à la fausseté des rapports humains, à la remise en question du fond victime des effets de mode.
Le Dauphiné Libéré
Une mélancolie tendre qui vient tempérer le côté acide du regard, et à laquelle Bacri apporte sa note toute personnelle en entonnant, avec un étonnant talent d’imitateur, des Feuilles mortes où il fait entendre la voix de feu Montand, et un Osez, Joséphine, où il restitue celle de feu Bashung. Comme si la fête était bel et bien finie…
Le Journal du Dimanche
Un chassé-croisé parfaitement orchestré qui se double d’un discours attachant sur le vieillissement et les convictions de jeunesse difficiles à perpétuer.
Marianne
Line ironie saignante. Le mépris social d'une poignée de bien-pensants, le culte du jeunisme, la dictature des selfies et des réseaux sociaux : Jaoui et Baer! passent à la Moulinette les tendances avec une ironie saignante.
Ouest France
Peut-être pas le meilleur film du tandem, mais sans doute leur plus joyeusement amoral.
Positif
Avec ce nouveau film, Jaoui et Bacri confirment qu'ils sont toujours de fins observateurs de l'air du temps, vigilants face aux dérives d'une société.
Sud Ouest
Agnès Jaoui et Jean-Pierre Bacri proposent une comédie mélancolique où la vieillesse et les travers de nos contemporains font leur régal.
Télé 7 Jours
Leur plume acerbe est savoureuse, et si elle brocarde l'obsession de la célébrité, les réseaux sociaux et le cloisonnement de la société, elle sait aussi se parer de tendresse pour dessiner des personnages imbuvables mais, au bout du compte, profondément touchants.
Voici
Encore une fois dans le rôle du cynique, Jean-Pierre Bacri a perdu le sens de la fête dans ces retrouvailles-prises de bec comiques où l'on danse et l'on chante en faisant des selfies pour se sentir vivant.
aVoir-aLire.com
Les Jaoui/Bacri reviennent en force pour décrypter, avec l’acuité qui les caractérise, les petits travers et les grandes incohérences de nos sociétés modernes.
Ecran Large
On est loin des films percutants, malins et fins d'Agnès Jaoui et Jean-Pierre Bacri avec cette petite comédie bien banale.
Franceinfo Culture
(...) l’on ressent comme un petit ronronnement, une "petite musique", non moins plaisante, mais qui ne surprend pas.
La Voix du Nord
Agnès Jaoui et Jean-Pierre Bacri au scénario, elle à la mise en scène, les deux devant la caméra au milieu d’un superbe casting. Revoici les « JaBac », comme les appelait Alain Resnais, pour une comédie sur l’époque. Hélas pas complètement réussie.
Les Fiches du Cinéma
Un constat sombre énoncé avec légèreté. Attachant, à défaut d’être pleinement convaincant.
Première
Agnès Jaoui et Jean-Pierre Bacri reviennent en forme avec une comédie chorale désenchantée sur le vieillissement et la fin des idéaux.
Transfuge
Constat sans doute juste, mais les intentions lourdement soulignées par des répliques surécrites privent le film de toute portée dialectique et de toute vertu subversive.
Critikat.com
"Place publique" ne fait qu’enfoncer des portes ouvertes sur le milieu médiatique, la lutte des classes, le jeunisme face au vieillissement, ou encore sur notre société hyper connectée où les réseaux sociaux ont la part belle.
L'Humanité
Ça se voudrait une version moderne de la Règle du jeu, mais cela manque un peu de finesse ; le chassé-croisé entre classes sociales est bien tenté, mais il est peu approfondi.
La Croix
Place publique souffre, à cause de la proximité du cadre, de la comparaison avec Le Sens de la fête où Jean-Pierre Bacri excellait dans un rôle plus abouti et plus complexe. Tout se passe comme si le duo Jaoui-Bacri, naguère crépitant, avait perdu la main. Vivement que ces deux-là reviennent au meilleur de leur forme.
Le Monde
Il y a là largement de quoi mettre en branle une mécanique comique, mais celle-ci reste grippée. On dirait les scénaristes paralysés par on ne sait quelle lassitude qui les empêche d’aller plus loin que l’énoncé de chaque situation.
Le Parisien
Au début, la charpente semble solidement fixée mais, au final, elle ne s’avère être qu’un parquet flottant.
Les Inrockuptibles
(...) malgré le brio de surface, la manière Bacri-Jaoui commence à accuser quelques rides. L’âge joue aussi peut-être sur la note sombre qui sous-tend le film, Jaoui semblant entériner amèrement la victoire du cynisme sur la croyance idéaliste.
Libération
Les morceaux en mosaïque de structures narratives et personnages campés de précédents films (plus réussis) ne se tiennent la main que pour agréger matière à ce nouvel opus sans véritablement le faire respirer, la foule est trop grande et les sujets comme effleurés (...).
L'Obs
Surnagent quelques bonnes répliques. C'est peu de la part de ces ex-fleurons de la comédie française dont les éternelles colères – contre le règne de l'apparence, le mépris social, le culte de la célébrité, le panurgisme –, faiblement écrites et mises en scène, tournent à l'aigre.
Le Figaro
Le film d'Agnès Jaoui avec Jean-Pierre Bacri en présentateur bougon rappelle Le Sens de la fête. En bien moins pertinent.
Télérama
Le film brocarde l’obsession de la célébrité et le besoin grandissant de reconnaissance, pointe le fait que chacun vit dans une bulle plus ou moins protégée. Jean-Pierre Bacri est toujours drôle, même si son registre de grincheux frise, cette fois, l’autocaricature.