Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Un film puissant et vibrant, intime et universel.
Ecran Large
par Simon Riaux
Plus tendre, optimiste et électrique que ses précédents films, "Razzia" est une fresque riche de l'acuité et de l'humanité de Nabil Ayouch.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Express
par Antoine Le Fur
Le Maroc semble avoir trouvé son cinéaste majeur.
Le Figaro
par Etienne Sorin
D'abord élégiaque, le récit se corse. La colère passe du froid au chaud, avec un final saisissant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Les coutures de la narration sont parfois visibles, voire artificielles, mais qu’importe. De ce plaidoyer humaniste et mélancolique se dégage une émotion infinie.
Le Parisien
par Marine Quinchon
C’est peu dire que Nabil Ayouch sait filmer. Ses images restent longtemps dans les esprits. Aucune n’est banale, que ce soit ces gros plans sur des visages dessinés par la lumière, les impressionnantes scènes de manifestations et de violence -quel final !-, ou quand le cinéaste suspend le récit le temps d’un « As Time Goes By » au piano.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Victoria Gairin
Ayouch nous entraîne dans sa course folle et poétique à la liberté, à travers cette ville qu'il déteste autant qu'il aime.
Les Fiches du Cinéma
par Valentine Verhague
En combinant les parcours de plusieurs personnages à Casablanca, Nabil Ayouch établit une piquante topographie des troubles qui secouent le Maroc actuel, déchiré entre conservatisme et progressisme, et confirme qu’il est décidément un cinéaste à suivre.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Anouk Féral
Ayouch plante littéralement son film dans un Maroc post-printemps arabe et désormais ultra inflammable. Mais portraitiser le réel d’une société marocaine schizophrène et écartelée, rétive aux différences et soumise à de violentes disparités, n’empêche pas la patte vive et romanesque du cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Frédéric Strauss
Maryam Touzani, qui a coécrit le film, donne à cette Marocaine sa beauté de tragédienne, mais aussi une douceur, une sensualité qui suggèrent une plénitude heureuse. Entre violence et apaisement, Nabil Ayouch la filme comme l’espoir retrouvé. Sa passion de cinéaste mais aussi de citoyen et d’homme soutient de bout en bout le film, son plus beau.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Un film fort pour rendre compte du désir de liberté des habitants d’un Maroc à la croisée des chemins.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Bien tenté, mais au final plus brillant que personnel. L’inverse du brûlant Much Loved du même Ayouch, qui cernait une réalité ordinaire avec acuité.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Une tension permanente innerve ce film électrique, parfois un peu confus et décousu, qui résonne comme un diagnostic alarmant. Un de plus.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Il n’en reste pas moins que le film parvient à montrer le découplage entre espace privé et espace public sur la scène de la société marocaine, le premier se réduisant à mesure que le second étend, avec de plus en plus de brutalité, sa juridiction.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Le réalisateur continue de porter son regard critique sur l'évolution politico-sociale de son pays et ses nombreuses entraves aux libertés (...).
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par La rédaction
Après son "Much Loved", interdit au Maroc, Nabil Ayouch s’attaque de nouveau aux tabous de la société marocaine avec cette fresque, alourdie par un certain schématisme qui lui fait parfois frôler le catalogue sociétal pour débat télévisé.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Vincent Thabourey
En refusant de choisir ou de hiérarchiser les causes à défendre, le coup de poing cinématographique perd alors de sa force.
Cahiers du Cinéma
par Mathis Badin
Malgré ses thèmes courageux, Razzia, faute de faire ressentir une réalité brûlante, donne à voir les entrailles de son scénario qui conduit inévitablement à la confrontation finale. En outre, comment croire à la colère qui gronde lorsque la ville est si peu filmée, concentrée à l’arrière-plan des visages des personnages ?
Libération
par Anne Diatkine
Trop didactique.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Critikat.com
par Thomas Choury
Razzia se retrouve dans une impasse contradictoire : d’un côté, rêver d’embrasser une totalité sociétale complexe en associant des fragments hétérogènes, de l’autre, faire rentrer le dispositif au forceps dans un schéma de pensée prêt-à-porter.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
Le geste politique est fort, le geste artistique, aussi fin qu'une coulée de harissa sur une montagne de loukoums.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Femme Actuelle
Un film puissant et vibrant, intime et universel.
Ecran Large
Plus tendre, optimiste et électrique que ses précédents films, "Razzia" est une fresque riche de l'acuité et de l'humanité de Nabil Ayouch.
L'Express
Le Maroc semble avoir trouvé son cinéaste majeur.
Le Figaro
D'abord élégiaque, le récit se corse. La colère passe du froid au chaud, avec un final saisissant.
Le Journal du Dimanche
Les coutures de la narration sont parfois visibles, voire artificielles, mais qu’importe. De ce plaidoyer humaniste et mélancolique se dégage une émotion infinie.
Le Parisien
C’est peu dire que Nabil Ayouch sait filmer. Ses images restent longtemps dans les esprits. Aucune n’est banale, que ce soit ces gros plans sur des visages dessinés par la lumière, les impressionnantes scènes de manifestations et de violence -quel final !-, ou quand le cinéaste suspend le récit le temps d’un « As Time Goes By » au piano.
Le Point
Ayouch nous entraîne dans sa course folle et poétique à la liberté, à travers cette ville qu'il déteste autant qu'il aime.
Les Fiches du Cinéma
En combinant les parcours de plusieurs personnages à Casablanca, Nabil Ayouch établit une piquante topographie des troubles qui secouent le Maroc actuel, déchiré entre conservatisme et progressisme, et confirme qu’il est décidément un cinéaste à suivre.
Première
Ayouch plante littéralement son film dans un Maroc post-printemps arabe et désormais ultra inflammable. Mais portraitiser le réel d’une société marocaine schizophrène et écartelée, rétive aux différences et soumise à de violentes disparités, n’empêche pas la patte vive et romanesque du cinéaste.
Télérama
Maryam Touzani, qui a coécrit le film, donne à cette Marocaine sa beauté de tragédienne, mais aussi une douceur, une sensualité qui suggèrent une plénitude heureuse. Entre violence et apaisement, Nabil Ayouch la filme comme l’espoir retrouvé. Sa passion de cinéaste mais aussi de citoyen et d’homme soutient de bout en bout le film, son plus beau.
aVoir-aLire.com
Un film fort pour rendre compte du désir de liberté des habitants d’un Maroc à la croisée des chemins.
L'Humanité
Bien tenté, mais au final plus brillant que personnel. L’inverse du brûlant Much Loved du même Ayouch, qui cernait une réalité ordinaire avec acuité.
La Croix
Une tension permanente innerve ce film électrique, parfois un peu confus et décousu, qui résonne comme un diagnostic alarmant. Un de plus.
Le Monde
Il n’en reste pas moins que le film parvient à montrer le découplage entre espace privé et espace public sur la scène de la société marocaine, le premier se réduisant à mesure que le second étend, avec de plus en plus de brutalité, sa juridiction.
Les Inrockuptibles
Le réalisateur continue de porter son regard critique sur l'évolution politico-sociale de son pays et ses nombreuses entraves aux libertés (...).
Paris Match
Après son "Much Loved", interdit au Maroc, Nabil Ayouch s’attaque de nouveau aux tabous de la société marocaine avec cette fresque, alourdie par un certain schématisme qui lui fait parfois frôler le catalogue sociétal pour débat télévisé.
Positif
En refusant de choisir ou de hiérarchiser les causes à défendre, le coup de poing cinématographique perd alors de sa force.
Cahiers du Cinéma
Malgré ses thèmes courageux, Razzia, faute de faire ressentir une réalité brûlante, donne à voir les entrailles de son scénario qui conduit inévitablement à la confrontation finale. En outre, comment croire à la colère qui gronde lorsque la ville est si peu filmée, concentrée à l’arrière-plan des visages des personnages ?
Libération
Trop didactique.
Critikat.com
Razzia se retrouve dans une impasse contradictoire : d’un côté, rêver d’embrasser une totalité sociétale complexe en associant des fragments hétérogènes, de l’autre, faire rentrer le dispositif au forceps dans un schéma de pensée prêt-à-porter.
L'Obs
Le geste politique est fort, le geste artistique, aussi fin qu'une coulée de harissa sur une montagne de loukoums.