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    Razzia
    Note moyenne
    3,3
    21 titres de presse
    • Femme Actuelle
    • Ecran Large
    • L'Express
    • Le Figaro
    • Le Journal du Dimanche
    • Le Parisien
    • Le Point
    • Les Fiches du Cinéma
    • Première
    • Télérama
    • aVoir-aLire.com
    • L'Humanité
    • La Croix
    • Le Monde
    • Les Inrockuptibles
    • Paris Match
    • Positif
    • Cahiers du Cinéma
    • Libération
    • Critikat.com
    • L'Obs

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    21 critiques presse

    Femme Actuelle

    par Sabrina Nadjar

    Un film puissant et vibrant, intime et universel.

    Ecran Large

    par Simon Riaux

    Plus tendre, optimiste et électrique que ses précédents films, "Razzia" est une fresque riche de l'acuité et de l'humanité de Nabil Ayouch.

    La critique complète est disponible sur le site Ecran Large

    L'Express

    par Antoine Le Fur

    Le Maroc semble avoir trouvé son cinéaste majeur.

    Le Figaro

    par Etienne Sorin

    D'abord élégiaque, le récit se corse. La colère passe du froid au chaud, avec un final saisissant.

    La critique complète est disponible sur le site Le Figaro

    Le Journal du Dimanche

    par Stéphanie Belpêche

    Les coutures de la narration sont parfois visibles, voire artificielles, mais qu’importe. De ce plaidoyer humaniste et mélancolique se dégage une émotion infinie.

    Le Parisien

    par Marine Quinchon

    C’est peu dire que Nabil Ayouch sait filmer. Ses images restent longtemps dans les esprits. Aucune n’est banale, que ce soit ces gros plans sur des visages dessinés par la lumière, les impressionnantes scènes de manifestations et de violence -quel final !-, ou quand le cinéaste suspend le récit le temps d’un « As Time Goes By » au piano.

    La critique complète est disponible sur le site Le Parisien

    Le Point

    par Victoria Gairin

    Ayouch nous entraîne dans sa course folle et poétique à la liberté, à travers cette ville qu'il déteste autant qu'il aime.

    Les Fiches du Cinéma

    par Valentine Verhague

    En combinant les parcours de plusieurs personnages à Casablanca, Nabil Ayouch établit une piquante topographie des troubles qui secouent le Maroc actuel, déchiré entre conservatisme et progressisme, et confirme qu’il est décidément un cinéaste à suivre.

    La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma

    Première

    par Anouk Féral

    Ayouch plante littéralement son film dans un Maroc post-printemps arabe et désormais ultra inflammable. Mais portraitiser le réel d’une société marocaine schizophrène et écartelée, rétive aux différences et soumise à de violentes disparités, n’empêche pas la patte vive et romanesque du cinéaste.

    La critique complète est disponible sur le site Première

    Télérama

    par Frédéric Strauss

    Maryam Touzani, qui a coécrit le film, donne à cette Marocaine sa beauté de tragédienne, mais aussi une douceur, une sensualité qui suggèrent une plénitude heureuse. Entre violence et apaisement, Nabil Ayouch la filme comme l’espoir retrouvé. Sa passion de cinéaste mais aussi de citoyen et d’homme soutient de bout en bout le film, son plus beau.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    aVoir-aLire.com

    par Claudine Levanneur

    Un film fort pour rendre compte du désir de liberté des habitants d’un Maroc à la croisée des chemins.

    La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com

    L'Humanité

    par Vincent Ostria

    Bien tenté, mais au final plus brillant que personnel. L’inverse du brûlant Much Loved du même Ayouch, qui cernait une réalité ordinaire avec acuité.

    La critique complète est disponible sur le site L'Humanité

    La Croix

    par Jean-Claude Raspiengeas

    Une tension permanente innerve ce film électrique, parfois un peu confus et décousu, qui résonne comme un diagnostic alarmant. Un de plus.

    La critique complète est disponible sur le site La Croix

    Le Monde

    par Jacques Mandelbaum

    Il n’en reste pas moins que le film parvient à montrer le découplage entre espace privé et espace public sur la scène de la société marocaine, le premier se réduisant à mesure que le second étend, avec de plus en plus de brutalité, sa juridiction.

    Les Inrockuptibles

    par Serge Kaganski

    Le réalisateur continue de porter son regard critique sur l'évolution politico-sociale de son pays et ses nombreuses entraves aux libertés (...).

    La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

    Paris Match

    par La rédaction

    Après son "Much Loved", interdit au Maroc, Nabil Ayouch s’attaque de nouveau aux tabous de la société marocaine avec cette fresque, alourdie par un certain schématisme qui lui fait parfois frôler le catalogue sociétal pour débat télévisé.

    La critique complète est disponible sur le site Paris Match

    Positif

    par Vincent Thabourey

    En refusant de choisir ou de hiérarchiser les causes à défendre, le coup de poing cinématographique perd alors de sa force.

    Cahiers du Cinéma

    par Mathis Badin

    Malgré ses thèmes courageux, Razzia, faute de faire ressentir une réalité brûlante, donne à voir les entrailles de son scénario qui conduit inévitablement à la confrontation finale. En outre, comment croire à la colère qui gronde lorsque la ville est si peu filmée, concentrée à l’arrière-plan des visages des personnages ?

    Libération

    par Anne Diatkine

    Trop didactique.

    La critique complète est disponible sur le site Libération

    Critikat.com

    par Thomas Choury

    Razzia se retrouve dans une impasse contradictoire : d’un côté, rêver d’embrasser une totalité sociétale complexe en associant des fragments hétérogènes, de l’autre, faire rentrer le dispositif au forceps dans un schéma de pensée prêt-à-porter.

    La critique complète est disponible sur le site Critikat.com

    L'Obs

    par Nicolas Schaller

    Le geste politique est fort, le geste artistique, aussi fin qu'une coulée de harissa sur une montagne de loukoums.

    La critique complète est disponible sur le site L'Obs
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