Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
28 critiques presse
L'Express
par Eric Libiot
Emouvant et humaniste.
L'Humanité
par Dominique Widemann
Un film de lumières et d’ombres avec des acteurs remarquables.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Voilà, Aki Kaurismäki est à son meilleur, et livre un nouveau chef-d’œuvre, dans la lignée de ses plus grandes réussites, "la Fille aux allumettes", "Au loin s’en vont les nuages".
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Kaurismaki traite du problème des réfugiés à sa manière : cocasse, décalée, chaleureuse, entre musique et table partagée : un antidote jouissif à la xénophobie et à la désespérance.
Marianne
par Danièle Heymann
On n'a jamais vu, et sans un mot prononcé, une demande d'asile et un divorce aussi sobrement, aussi puissamment exposés.
Ouest France
par Christophe Narbonne
Il est comme toujours question chez Aki Kaurismäki de solitude, de social et de politique, thèmes que le cinéaste finlandais aborde avec son habituel sens de l'observation burlesque.
Paris Match
par Yannick Vely
(...) la mise en scène façon faux-sitcom décalé fait des merveilles et la musique nostalgique nous donne envie de danser jusqu’au bout de la nuit sur un air de rockabilly.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
L'immense Aki Kaurismäki signe l'un de ses plus grands films.
Transfuge
par Frédéric Mercier
"L'Autre côté de l'espoir", génial dernier opus d'Aki Kaurismäki, fait rimer maîtrise formelle et cinéma engagé.
Télérama
par Frédéric Strauss
"L'Autre Côté de l'espoir" est un film plus juvénile que ses précédents, en même temps qu'il est très réfléchi, engageant sa vision du monde aujourd'hui. C'est le film de tous les partages.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
par Caroline Vié
Dès l’arrivée du personnage principal, caché dans un tas de charbon, le spectateur se laisse emporter dans l’univers tendre d’Aki Kaurismäki avec ses couleurs passées et sa bande-son mélancolique.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Jo Fishley
Politique, ce cinéma ne cesse d’être soigné, plein de beaux plans sur le théâtre de la vie et sa lumière magnifique, dont le cinéaste finlandais saisit et recrée l’aura essentielle et magnifique.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Le film contient simultanément une forme de profonde empathie et une sécheresse implacable, qui n’a que faire de distribuer bons ou mauvais points : c’est par la petite porte de la mise en scène, du conte savamment troussé qu’il attrape, et il n’en est que plus précieux.
Charlie Hebdo
par Marie Darrieussecq
Allez voir ce film intègre, et vous verrez, tout n'est pas perdu du côté de l'espoir.
Critikat.com
par Axel Scoffier
Loin du mélodrame attendu pour un tel sujet, "De l’autre côté de l’espoir" est tout en incidence, décalage, contre-point et propose une vision drôle et délicate d’une rencontre entre deux mondes.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Arnaud Schwartz
Authentique poète, homme dévoré par l’injustice et la dureté du monde, Aki Kaurismäki ne présume pas de ses forces d’artiste. Sa conscience n’en est que plus précieuse.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Un sens de l’esthétique, une palette chromatique, un humour pince-sans-rire, un laconisme, une sensibilité qui n’appartiennent qu’à lui. Irrésistibles. Une manière de se pencher, sans larmoyer, au chevet des damnés de la Terre. De dénoncer sans discourir.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant et Etienne Sorin
Le génie de Kaurismaki, c'est de faire un film éminemment politique sans jamais mettre un dialogue militant dans la bouche de ses personnages. Aucun apitoiement, aucune commisération dans le regard.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Sur un paysage noir et cruel, entre froideur bureaucratique et hostilité de la rue, Kaurismäki dessine un héros à la dignité pleine de charme et d’élégance. Il s’efforce de l’entourer de cette bonté discrète et nuageuse qui est sa marque et qu’il masque d’un burlesque nonchalant, à la précision minimaliste.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Si le blues de sa musique n’est jamais loin du désespoir, Aki Kaurismäki a l’art de nous faire oublier qu’il ne traite que de choses terribles.
Le Monde
par Murielle Joudet
On ne peut pourtant pas s’empêcher d’être touché de voir un cinéaste vieillir et, en vieillissant, gagner en inquiétude, en littéralité et en tendresse. Et on a finalement du mal à lui reprocher d’être, pour ses personnages, un père si aimant.
Le Parisien
par Renaud Baronian
Kaurismäki fait aussi preuve d'une belle humanité : entre deux scènes comiques émaillées d'un défilé ahurissant de vieux rockeurs finlandais, il parvient à nous toucher au coeur, notamment lorsque le héros syrien fait la liste des horreurs qu'il a subies. Emouvant, drôle et bourré de charme.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Marguerite Debiesse
Suranné et distancié, le style d’Aki Kaurismäki excelle à décrire le drame très actuel d’un jeune Syrien ayant fui Alep. Talent formel, brio narratif, empathie et humour : un cru millésimé.
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Sous l’apparente convention de son style, le Finlandais signe bien là un film désintéressé de tout effet de signature, alerte et lucide, employé tout entier à élaborer du nouveau, à traiter du présent.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Avec son élégance habituelle, Aki Kaurismäki stylise les mésaventures d’un réfugié clandestin syrien en Finlande.
La critique complète est disponible sur le site Libération
aVoir-aLire.com
par Romain Dubois
Embellir le désespoir derrière des récits faussement statiques, à la théâtralité héritée de Fassbinder, qui portent en eux toute la lumière d’un regard apaisé. C’est, encore une fois, la grande réussite de Kaurimsaki.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Le cinéaste finlandais réitère son discours humaniste en prônant les valeurs de solidarité, sans jamais tenir un discours pontifiant, militant, ou en se positionnant en donneur de leçon.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
On le dira naïf, partisan, candide mais, sans jamais être ni démago ni manipulateur, Kaurismäki fait plus que nous inviter au rêve et à l’utopie. Il nous y incite.
L'Express
Emouvant et humaniste.
L'Humanité
Un film de lumières et d’ombres avec des acteurs remarquables.
L'Obs
Voilà, Aki Kaurismäki est à son meilleur, et livre un nouveau chef-d’œuvre, dans la lignée de ses plus grandes réussites, "la Fille aux allumettes", "Au loin s’en vont les nuages".
Le Dauphiné Libéré
Kaurismaki traite du problème des réfugiés à sa manière : cocasse, décalée, chaleureuse, entre musique et table partagée : un antidote jouissif à la xénophobie et à la désespérance.
Marianne
On n'a jamais vu, et sans un mot prononcé, une demande d'asile et un divorce aussi sobrement, aussi puissamment exposés.
Ouest France
Il est comme toujours question chez Aki Kaurismäki de solitude, de social et de politique, thèmes que le cinéaste finlandais aborde avec son habituel sens de l'observation burlesque.
Paris Match
(...) la mise en scène façon faux-sitcom décalé fait des merveilles et la musique nostalgique nous donne envie de danser jusqu’au bout de la nuit sur un air de rockabilly.
Studio Ciné Live
L'immense Aki Kaurismäki signe l'un de ses plus grands films.
Transfuge
"L'Autre côté de l'espoir", génial dernier opus d'Aki Kaurismäki, fait rimer maîtrise formelle et cinéma engagé.
Télérama
"L'Autre Côté de l'espoir" est un film plus juvénile que ses précédents, en même temps qu'il est très réfléchi, engageant sa vision du monde aujourd'hui. C'est le film de tous les partages.
20 Minutes
Dès l’arrivée du personnage principal, caché dans un tas de charbon, le spectateur se laisse emporter dans l’univers tendre d’Aki Kaurismäki avec ses couleurs passées et sa bande-son mélancolique.
Bande à part
Politique, ce cinéma ne cesse d’être soigné, plein de beaux plans sur le théâtre de la vie et sa lumière magnifique, dont le cinéaste finlandais saisit et recrée l’aura essentielle et magnifique.
Cahiers du Cinéma
Le film contient simultanément une forme de profonde empathie et une sécheresse implacable, qui n’a que faire de distribuer bons ou mauvais points : c’est par la petite porte de la mise en scène, du conte savamment troussé qu’il attrape, et il n’en est que plus précieux.
Charlie Hebdo
Allez voir ce film intègre, et vous verrez, tout n'est pas perdu du côté de l'espoir.
Critikat.com
Loin du mélodrame attendu pour un tel sujet, "De l’autre côté de l’espoir" est tout en incidence, décalage, contre-point et propose une vision drôle et délicate d’une rencontre entre deux mondes.
La Croix
Authentique poète, homme dévoré par l’injustice et la dureté du monde, Aki Kaurismäki ne présume pas de ses forces d’artiste. Sa conscience n’en est que plus précieuse.
La Voix du Nord
Un sens de l’esthétique, une palette chromatique, un humour pince-sans-rire, un laconisme, une sensibilité qui n’appartiennent qu’à lui. Irrésistibles. Une manière de se pencher, sans larmoyer, au chevet des damnés de la Terre. De dénoncer sans discourir.
Le Figaro
Le génie de Kaurismaki, c'est de faire un film éminemment politique sans jamais mettre un dialogue militant dans la bouche de ses personnages. Aucun apitoiement, aucune commisération dans le regard.
Le Figaroscope
Sur un paysage noir et cruel, entre froideur bureaucratique et hostilité de la rue, Kaurismäki dessine un héros à la dignité pleine de charme et d’élégance. Il s’efforce de l’entourer de cette bonté discrète et nuageuse qui est sa marque et qu’il masque d’un burlesque nonchalant, à la précision minimaliste.
Le Journal du Dimanche
Si le blues de sa musique n’est jamais loin du désespoir, Aki Kaurismäki a l’art de nous faire oublier qu’il ne traite que de choses terribles.
Le Monde
On ne peut pourtant pas s’empêcher d’être touché de voir un cinéaste vieillir et, en vieillissant, gagner en inquiétude, en littéralité et en tendresse. Et on a finalement du mal à lui reprocher d’être, pour ses personnages, un père si aimant.
Le Parisien
Kaurismäki fait aussi preuve d'une belle humanité : entre deux scènes comiques émaillées d'un défilé ahurissant de vieux rockeurs finlandais, il parvient à nous toucher au coeur, notamment lorsque le héros syrien fait la liste des horreurs qu'il a subies. Emouvant, drôle et bourré de charme.
Les Fiches du Cinéma
Suranné et distancié, le style d’Aki Kaurismäki excelle à décrire le drame très actuel d’un jeune Syrien ayant fui Alep. Talent formel, brio narratif, empathie et humour : un cru millésimé.
Les Inrockuptibles
Sous l’apparente convention de son style, le Finlandais signe bien là un film désintéressé de tout effet de signature, alerte et lucide, employé tout entier à élaborer du nouveau, à traiter du présent.
Libération
Avec son élégance habituelle, Aki Kaurismäki stylise les mésaventures d’un réfugié clandestin syrien en Finlande.
aVoir-aLire.com
Embellir le désespoir derrière des récits faussement statiques, à la théâtralité héritée de Fassbinder, qui portent en eux toute la lumière d’un regard apaisé. C’est, encore une fois, la grande réussite de Kaurimsaki.
Franceinfo Culture
Le cinéaste finlandais réitère son discours humaniste en prônant les valeurs de solidarité, sans jamais tenir un discours pontifiant, militant, ou en se positionnant en donneur de leçon.
La Septième Obsession
On le dira naïf, partisan, candide mais, sans jamais être ni démago ni manipulateur, Kaurismäki fait plus que nous inviter au rêve et à l’utopie. Il nous y incite.