Derniers Avis sur Krampack

Un film qui traite sur la découverte de la sexualité pour des adolescents et aussi d'homosexualité malheureusement il n'y a rien de bien nouveau le traitement est superficiel et le film ne sort pas du lot de ce qui a pu déjà se faire auparavant.

Krampack s'inscrit dans la lignée de tous ces films qui parlent de deux adolescents qui se rendent compte qu'ils sont gays, ou que l'un des deux s'en rend compte etc. Ici, rien de nouveau sous le soleil malheureusement. Nous avons deux protagonistes espagnols, amis, qui passent ensemble leur vacances. Ils sont dans l'âge où l'éveil à la sexualité se fait, pour l'un, cela va être du côté de la gente féminine, pour l'autre masculine, avec en première ligne de mire son ami. Le film propose ses meilleurs moments d'ailleurs lorsqu'il s'agit de filmer cette relation qui pourrait à tout moment exploser face à la difficulté pour l'un et l'autre de la vivre ; tout ce qui concerne les premiers intérêts au même sexe est moins intéressant. En fait, Krampack n'innove en rien, il n'est pas dérangeant ni même mauvais, mais sans surprise.

Un film au coeur de l'adolescence et de la sexualité. Il y a de très beaux moments,et la BO est formidable. Mais je n'est pas trouvé non plus que c'était formidable,à chaque fois qu'on attendait que ce film nous transporte,le soufflet retombé.

Un joli film malgrés tout realiste qui nous montre comment chacun decouvre sa voie. Rappelle de fantastiques souvenirs d'un bel été dans l'adolescence pas si eloignée x)

Touchant, le film montre bien comment l'un tombe doucement amoureux de l'autre, tandis que l'autre s'en fout, et montre bien la douleur innocente qui peut exister a ces ages quand l'amour pour la premiere fosi survient.

Un film sympa sur la quête d'identité sexuelle de deux copains. Le scénario suit bien leur évolution, la photo estivale est agréable, les jeunes acteurs sont attachants et on suit le tout avec plaisir.

Kràmpack est d'avantage un film qui traite du passage de l'adolescence à l'âge adulte et de la découverte de soi même qu'un film traitant majoritairement d'homosexualité à proprement parlé. En effet, le « thème gay » n'est ici qu'un accessoire comme les autres qui fait simplement, et à juste titre, souvent parti des étapes à franchir ou non dans la vie d'un(e) adolescent(e). La simplicité du film, la spontanéité des acteurs restent la part la plus agréable et la plus réussie du film même si de nombreux petits défauts techniques ou un certain manque de professionnalisme des jeunes acteurs sont parfois à relever. Même s'il reste moins touchant que le très bon Beautiful Thing de Hettie MacDonald ou encore l'exceptionnel Comme un garçon de Simon Shore (qui reste à ce jour, la meilleure façon dont l'homosexualité et la découverte de soi ont pu être traités), le Kràmpack de Cesc Gay tire tout de même sa force dans un naturel bluffant qui montre l'adolescent dans sa forme la plus crédible et la plus réaliste, pouvant également très facilement avoir un effet miroir envers les cibles principales du film. Enfin, la relation particulière des deux jeunes personnages principaux est extrêmement touchante mais également très fraternelle... désenchantements, déceptions, incompréhensions mais aussi générosité, partage, pardon et fidélité se mêleront pour donner naissance à une véritable alchimie prouvant l'amitié sincère qui les rassemblent et qui les uniront toujours quelques soit les barrières ou les étapes à franchir. Avec une fin très touchante, Kràmpack est avant toute chose un film sur l'amitié véritable qui réussit avec une force naturelle à explorer le thème de l'adolescence de manière très positive.

Effectivement, le réalisme est flagrant. Les jeunes acteurs sont très doués et correspondent bien aux personnages à premier abord. Certes ce n'est pas un grand oeuvre mais oser montrer cet aspect de l'adolescence est quand mème courageux.

Ce film est trop réaliste, le décor, les acteurs qui sont ni beaux ni moches, le thème ... tout semble ètre une vraie vie filmée à la caméra.

Le film n'arrive pas à sortir des clichés liés à l'adolescence. L'ensemble n'est pas désagréable (manquerait plus que ça!) mais est assez niais et d'un intérêt très limité. A revoir d'urgence "Les roseaux sauvages" de Téchiné pour mieux se rendre compte de la platitude de ce "Krampack".