Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Bande à part
par Isabelle Danel
Premier long-métrage d’une jeune Israélienne, Tempête de sable est une observation minutieuse, à hauteur d’adolescente, du poids des traditions masculines, et de la façon dont les femmes, de génération en génération, sont finalement amenées à les faire peser sur leurs semblables, afin de maintenir la paix, le respect, l’harmonie.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Femme Actuelle
par La Rédaction
Ce drame universel sur la condition des femmes servi par des comédiens magnifiques a été couronné au Grand prix du jury du festival du film de Sundance. ll nous a tenues en haleine jusqu'à la fin.
L'Express
par Eric Libiot
C'est passionnant, intelligent.
L'Express
par Christophe Carrière
Une chronique épatante.
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Ambition atteinte avec éclat, grâce au sens aigu de la mise en scène, toujours dans la tonalité juste, et à l’extraordinaire composition de Ruba Blal-Asfour, magnifique Jalila. Les autres interprètes se hissent à son niveau. "Tempête de sable" est une réussite impressionnante.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
D’une caméra empathique mais nullement condescendante, la jeune cinéaste filme sans jugement hâtif les contradictions d’une société et de ses héros, questionnant les ravages du patriarcat.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un film de femme sur des femmes soumises aux contraintes d’une tradition séculaire et qui luttent pour y échapper : une réalisation tendue, à la mesure de la force du sujet.
Le Figaro
par La Rédaction
On est happé par l'intensité et l'âpreté des rapports humains, dans ce premier film à l'énergie très maîtrisée.
Les Fiches du Cinéma
par Nathalie Zimra
Une œuvre magistrale, et des combats de femme qui ne le sont pas moins.
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
La réalisatrice montre avec finesse la condition des femmes, obligées de se plier à des moeurs contraignantes et la lente révolte de la jeune génération. Pour un premier film, Elite Zexer (...) impose un style tout en retenue.
Télérama
par Pierre Murat
(...) le personnage le plus passionnant reste Suliman, dont on sent qu'il prend ses décisions pour ne pas déroger aux codes virils que son petit monde lui impose.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Benoît Smith
Si ce drame guetté par le ronronnement du "world cinema" n’y sombre pas tout à fait, c’est parce qu’il sait rester proche de personnages pris entre les feux de ce conflit au point que leur comportement se retrouve réfractaire à ce manichéisme même.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Le film a la forme d’un reportage filmé caméra portée, privilégiant le réalisme sans pour autant nier le romanesque. Ses acteurs, professionnels et non professionnels, participent d’un naturalisme qui ne tombe pas dans l’excès, mais reflètent une cohérence filmique et leur implication dans le projet.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Arnaud Schwartz
Outre ses images léchées et son interprétation affûtée, le film convainc notamment grâce à l’évolution des personnages – tels que le scénario les offrent au regard du spectateur.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Une trame un peu téléphonée mais universelle, pour laquelle la réalisatrice a su dépasser les poncifs afin de construire une mise en scène personnelle.
Positif
par Vincent Thabourey
La réalisation, d'une grande sobriété, manque peut-être de panache mais elle parvient à sonder les mécanismes et les enjeux sournois de ces traditions liberticides.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
A travers le récit de Layla et de sa mère se dessine la quête de liberté de femmes oppressées par des régles très strictes, sujet dont le cinéma s’est déjà maintes fois emparé durant ces dernières années. (...) cette histoire (...), si elle n’apporte guère d’informations supplémentaires sur la condition des femmes orientales, se laisse agréablement regarder.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Libération
par Gilles Renault
Elite Zexer explique qu’il lui a fallu quatre ans pour écrire le scénario. La précision laisse songeur car, une fois ces éléments posés, il ne se passe en vérité pas grand-chose dans cette métaphorique Tempête (...).
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Poncif du récit d’émancipation féminine, mise en scène laborieuse, interprétation compassée : rien ne joue en faveur de ce film non exempt de paternalisme, en dépit de son credo féministe.
Bande à part
Premier long-métrage d’une jeune Israélienne, Tempête de sable est une observation minutieuse, à hauteur d’adolescente, du poids des traditions masculines, et de la façon dont les femmes, de génération en génération, sont finalement amenées à les faire peser sur leurs semblables, afin de maintenir la paix, le respect, l’harmonie.
Femme Actuelle
Ce drame universel sur la condition des femmes servi par des comédiens magnifiques a été couronné au Grand prix du jury du festival du film de Sundance. ll nous a tenues en haleine jusqu'à la fin.
L'Express
C'est passionnant, intelligent.
L'Express
Une chronique épatante.
L'Obs
Ambition atteinte avec éclat, grâce au sens aigu de la mise en scène, toujours dans la tonalité juste, et à l’extraordinaire composition de Ruba Blal-Asfour, magnifique Jalila. Les autres interprètes se hissent à son niveau. "Tempête de sable" est une réussite impressionnante.
La Septième Obsession
D’une caméra empathique mais nullement condescendante, la jeune cinéaste filme sans jugement hâtif les contradictions d’une société et de ses héros, questionnant les ravages du patriarcat.
Le Dauphiné Libéré
Un film de femme sur des femmes soumises aux contraintes d’une tradition séculaire et qui luttent pour y échapper : une réalisation tendue, à la mesure de la force du sujet.
Le Figaro
On est happé par l'intensité et l'âpreté des rapports humains, dans ce premier film à l'énergie très maîtrisée.
Les Fiches du Cinéma
Une œuvre magistrale, et des combats de femme qui ne le sont pas moins.
Studio Ciné Live
La réalisatrice montre avec finesse la condition des femmes, obligées de se plier à des moeurs contraignantes et la lente révolte de la jeune génération. Pour un premier film, Elite Zexer (...) impose un style tout en retenue.
Télérama
(...) le personnage le plus passionnant reste Suliman, dont on sent qu'il prend ses décisions pour ne pas déroger aux codes virils que son petit monde lui impose.
Critikat.com
Si ce drame guetté par le ronronnement du "world cinema" n’y sombre pas tout à fait, c’est parce qu’il sait rester proche de personnages pris entre les feux de ce conflit au point que leur comportement se retrouve réfractaire à ce manichéisme même.
Franceinfo Culture
Le film a la forme d’un reportage filmé caméra portée, privilégiant le réalisme sans pour autant nier le romanesque. Ses acteurs, professionnels et non professionnels, participent d’un naturalisme qui ne tombe pas dans l’excès, mais reflètent une cohérence filmique et leur implication dans le projet.
La Croix
Outre ses images léchées et son interprétation affûtée, le film convainc notamment grâce à l’évolution des personnages – tels que le scénario les offrent au regard du spectateur.
Le Journal du Dimanche
Une trame un peu téléphonée mais universelle, pour laquelle la réalisatrice a su dépasser les poncifs afin de construire une mise en scène personnelle.
Positif
La réalisation, d'une grande sobriété, manque peut-être de panache mais elle parvient à sonder les mécanismes et les enjeux sournois de ces traditions liberticides.
aVoir-aLire.com
A travers le récit de Layla et de sa mère se dessine la quête de liberté de femmes oppressées par des régles très strictes, sujet dont le cinéma s’est déjà maintes fois emparé durant ces dernières années. (...) cette histoire (...), si elle n’apporte guère d’informations supplémentaires sur la condition des femmes orientales, se laisse agréablement regarder.
Libération
Elite Zexer explique qu’il lui a fallu quatre ans pour écrire le scénario. La précision laisse songeur car, une fois ces éléments posés, il ne se passe en vérité pas grand-chose dans cette métaphorique Tempête (...).
Le Monde
Poncif du récit d’émancipation féminine, mise en scène laborieuse, interprétation compassée : rien ne joue en faveur de ce film non exempt de paternalisme, en dépit de son credo féministe.