Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Critikat.com
par Benoît Smith
C’est l’indéniable doigté du film qui, pour pointer l’iniquité d’un système, porte un regard aussi attentif aux atermoiements d’un de ses acteurs les plus quelconques, passifs et néanmoins révélateurs.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par François Forestier
C’est du cinéma de combat, vif et juste.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Noémie Luciani
On imagine aisément le film engagé rageur et efficace que ce fait divers, qui connut à l’époque un retentissement considérable, aurait pu inspirer. Le jeune réalisateur chilien Alejandro Fernandez Almendras, dont "Tout va bien" est le quatrième long-métrage, fait pourtant le pari d’aborder sa matière par un chemin de traverse.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
À découvrir fissa.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Si tout ne va pas bien au sein de la justice chilienne, ce film rigoureux et poignant se plaît à en dénoncer toutes les dérives, sans haine ni revanche. Instructif et passionnant !
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Figaro
par La Rédaction
Le film ne manque pas d'intérêt par sa façon de traiter l'injustice des puissants par le trouble et la confusion. Mais on s'ennuie très longuement dans la compagnie de cette jeunesse dorée et décervelée.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Thierry Dague
Alejandro Fernandez Almendras en a tiré un film élégamment mis en scène et interprété, mais dont l'intrigue est trop mince pour complètement nous captiver.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Le récit sonne toujours juste mais manque un peu de mordant et de suspense.
Paris Match
par Alain Spira
S'il est d'une facture honnête, la façon dont il décrit cette dérive morale d'une jeunesse privilégiée prête à tout pour garder la tête hors de l'eau, chiche à piétiner un des leurs, n'apporte rien de vraiment nouveau sur le plan cinématographique.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Ariane Allard
Un récit un peu mou parfois, heureusement dynamisé par la prestation de ses comédiens.
Télérama
par Pierre Murat
On a donc beaucoup de mal à se passionner pour un type dont le malheur est d'être un peu moins riche que les autres... La causticité (réjouissante lors de l'apparition d'un avocat véreux et papelard) d'Alejandro Fernández Almendras fait oublier, le plus souvent, son héros décevant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
par Eric Libiot
Un thriller social et politique raconté de manière à gommer la dimension polar à suspens. C'est dommage.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Dans un bon premier tiers (...) on suit pas à pas la vie festive et hédoniste d’un jeune fils de famille voguant dans un brouillard éthylique entre soirées et coucheries. Ce qui débouche sur un fait divers édifiant (...). Dès lors, le film change de registre et perd son originalité de départ pour devenir une œuvre à thèse un peu molle sur les manipulations de la haute bourgeoisie locale.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Inspiré d’une histoire authentique, un film sur le pouvoir, les manipulations et l’impunité des puissants, mais qui manque un peu de force et de style pour vraiment convaincre.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Le film s'empêtre dans ses options contradictoires (...). Célébration béhavioriste et sensorielle de l'esprit de la fête dans la première partie (...), on croit bifurquer dans le thriller, puis le film de procès... Adieu la subjectivité de départ, bonjour le film à thèse bien pensant.
Première
par Caroline Veunac
Aussi peu stimulant sensoriellement et intellectuellement que ses personnages et ses acteurs sont mous, le film glisse sur le réel qu'il entend saisir et provoque, au mieux, un ennui poli.
Critikat.com
C’est l’indéniable doigté du film qui, pour pointer l’iniquité d’un système, porte un regard aussi attentif aux atermoiements d’un de ses acteurs les plus quelconques, passifs et néanmoins révélateurs.
L'Obs
C’est du cinéma de combat, vif et juste.
Le Monde
On imagine aisément le film engagé rageur et efficace que ce fait divers, qui connut à l’époque un retentissement considérable, aurait pu inspirer. Le jeune réalisateur chilien Alejandro Fernandez Almendras, dont "Tout va bien" est le quatrième long-métrage, fait pourtant le pari d’aborder sa matière par un chemin de traverse.
Studio Ciné Live
À découvrir fissa.
aVoir-aLire.com
Si tout ne va pas bien au sein de la justice chilienne, ce film rigoureux et poignant se plaît à en dénoncer toutes les dérives, sans haine ni revanche. Instructif et passionnant !
Le Figaro
Le film ne manque pas d'intérêt par sa façon de traiter l'injustice des puissants par le trouble et la confusion. Mais on s'ennuie très longuement dans la compagnie de cette jeunesse dorée et décervelée.
Le Parisien
Alejandro Fernandez Almendras en a tiré un film élégamment mis en scène et interprété, mais dont l'intrigue est trop mince pour complètement nous captiver.
Les Fiches du Cinéma
Le récit sonne toujours juste mais manque un peu de mordant et de suspense.
Paris Match
S'il est d'une facture honnête, la façon dont il décrit cette dérive morale d'une jeunesse privilégiée prête à tout pour garder la tête hors de l'eau, chiche à piétiner un des leurs, n'apporte rien de vraiment nouveau sur le plan cinématographique.
Positif
Un récit un peu mou parfois, heureusement dynamisé par la prestation de ses comédiens.
Télérama
On a donc beaucoup de mal à se passionner pour un type dont le malheur est d'être un peu moins riche que les autres... La causticité (réjouissante lors de l'apparition d'un avocat véreux et papelard) d'Alejandro Fernández Almendras fait oublier, le plus souvent, son héros décevant.
L'Express
Un thriller social et politique raconté de manière à gommer la dimension polar à suspens. C'est dommage.
L'Humanité
Dans un bon premier tiers (...) on suit pas à pas la vie festive et hédoniste d’un jeune fils de famille voguant dans un brouillard éthylique entre soirées et coucheries. Ce qui débouche sur un fait divers édifiant (...). Dès lors, le film change de registre et perd son originalité de départ pour devenir une œuvre à thèse un peu molle sur les manipulations de la haute bourgeoisie locale.
Le Dauphiné Libéré
Inspiré d’une histoire authentique, un film sur le pouvoir, les manipulations et l’impunité des puissants, mais qui manque un peu de force et de style pour vraiment convaincre.
Les Inrockuptibles
Le film s'empêtre dans ses options contradictoires (...). Célébration béhavioriste et sensorielle de l'esprit de la fête dans la première partie (...), on croit bifurquer dans le thriller, puis le film de procès... Adieu la subjectivité de départ, bonjour le film à thèse bien pensant.
Première
Aussi peu stimulant sensoriellement et intellectuellement que ses personnages et ses acteurs sont mous, le film glisse sur le réel qu'il entend saisir et provoque, au mieux, un ennui poli.