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Toute part maternelle comporte sa part d'ombre. Et c'est tout le mérite du film de Rebecca Daly de savoir se dresser devant celle, immense, qui cache l'un des plus grands tabous, et de le faire sans méconnaître la différence entre incestueux et incestuel.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Un scénario rigoureux, aux scènes de sexe assez audacieuses, adouci par une tendresse des gestes quotidiens et un symbolisme aquatique est servi par une excellente interprétation des deux acteurs.
Ce récit de deuil, second long métrage de Rebecca Daly après The Other Side of sleep (2011), manque de subtilité. L’ambiguïté se limite au personnage du fils de substitution. Mais le film séduit grâce à la performance sensible de Rachel Griffiths, l’inoubliable Brenda de la série Six Feet under.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Inutile de lire entre les lignes d’un scénario cousu de fil blanc pour comprendre que Margaret cherche à travers Joe un fils de substitution. Il ne faut pas non plus compter sur la mise en scène de Rebecca Daly pour insuffler un peu de mystère à cette intrigue tarte à la crème.
Tout en silences pesants et paraboles lourdes de sens (plans insistants sur l’héroïne faisant de l’apnée dans une piscine), Margaret est une caricature de film d’auteur au scénario cousu de fil blanc et aux intentions pachydermiques, dénué de tout mystère et de toute ambiguïté.
La critique complète est disponible sur le site Première
Culturopoing.com
Toute part maternelle comporte sa part d'ombre. Et c'est tout le mérite du film de Rebecca Daly de savoir se dresser devant celle, immense, qui cache l'un des plus grands tabous, et de le faire sans méconnaître la différence entre incestueux et incestuel.
L'Humanité
Une exploration intimiste d’une culpabilité enfouie, qui fait planer le spectre de l’inceste (par personne interposée) pour mieux intriguer.
Le Figaro
Avec beaucoup de sensibilité, Rebecca Daly entrecroise ces trois solitudes qui résonnent entre elles et réveillent des émotions multiples.
Positif
Un scénario rigoureux, aux scènes de sexe assez audacieuses, adouci par une tendresse des gestes quotidiens et un symbolisme aquatique est servi par une excellente interprétation des deux acteurs.
Les Fiches du Cinéma
Malgré la qualité de l’interprétation, le film de Rebecca Daly peine à rendre convaincante la relation trouble qui naît entre eux.
Les Inrockuptibles
La cinéaste (...) creuse les émotions au lieu de les faire saillir, en distillant un trouble permenant.
Studio Ciné Live
La formidable Rachel Griffiths porte sur ses épaules cette chronique un rien sulfureuse, et surtout dans le non-dit au point de laisser indifférent.
Télérama
Ce récit de deuil, second long métrage de Rebecca Daly après The Other Side of sleep (2011), manque de subtilité. L’ambiguïté se limite au personnage du fils de substitution. Mais le film séduit grâce à la performance sensible de Rachel Griffiths, l’inoubliable Brenda de la série Six Feet under.
aVoir-aLire.com
Cette étude psychologique aborde avec classicisme et subtilité un sujet implicitement sulfureux.
Ouest France
Sensible, sans pathos, mais trop elliptique pour nous embarquer.
Critikat.com
Multipliant les scènes totalement convenues, le film de Rebecca Daly s’en tient à un cahier des charges d’une pauvreté désespérante.
Le Monde
Inutile de lire entre les lignes d’un scénario cousu de fil blanc pour comprendre que Margaret cherche à travers Joe un fils de substitution. Il ne faut pas non plus compter sur la mise en scène de Rebecca Daly pour insuffler un peu de mystère à cette intrigue tarte à la crème.
Première
Tout en silences pesants et paraboles lourdes de sens (plans insistants sur l’héroïne faisant de l’apnée dans une piscine), Margaret est une caricature de film d’auteur au scénario cousu de fil blanc et aux intentions pachydermiques, dénué de tout mystère et de toute ambiguïté.