AlloCiné
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Votre avis sur Vatel ?
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Sacre morceau que de s attaquer a vatel premier maître d hôtel pâtissier organisateur de soirée de notre temps, génie de notre histoire mort pour ce métier !!! Et bien meme si le film s avère être grandiose dans sa conception il faut le dire très belle réalisation , des décors parfaits , des costumes splendides , des acteurs bourres de talent , une volonté de coller a l époque , des banquets somptueux , le plaisir des yeux que nous avons a voir vatel déambuler dans les coulisses de ces festivités remarquablement reconstitues ..... Un ode aux métier de bouches !!! Rien a dire c est splendide !! Cependant il manque quelque chose pour en faire un grand film dans sa trame quelque chose qui nous emmene pour ne plus revenir..... De plus je m attendais a un biopic sur sa vie incroyable et on se retrouve sur les 4 derniers jours de sa vie a chantilly!! Dommage de ne pas parler son enfance, son apprentissage , vaux le vicomte , son exil, puis sont dégout de la politique et son admiration du peuple !! Meme si on perçoit cela furtivement dans ce film helas pas assez a mon goût !!Depardieu est a son aise ce gargantuesque épicurien joue le rôle avec retenue et facilite a la fois.
Dommage que ce film portant son nom se résume plus a une sorte de film sur un banquet du gran vatel que vatel et sa passion , son savoir faire , son génie.... Les histoires politiques et d amours sont presque inutiles par rapport a l ensemble. De toute façon la fin du film parle pour lui : devant l idée de ne pas pouvoir remplir sa prestation jusqu au bout il se donne la mort !! Si sa c est pas un vrai !! Respect car il incarne une grandeur de la France.
Dommage que ce film portant son nom se résume plus a une sorte de film sur un banquet du gran vatel que vatel et sa passion , son savoir faire , son génie.... Les histoires politiques et d amours sont presque inutiles par rapport a l ensemble. De toute façon la fin du film parle pour lui : devant l idée de ne pas pouvoir remplir sa prestation jusqu au bout il se donne la mort !! Si sa c est pas un vrai !! Respect car il incarne une grandeur de la France.
Intrigué par le destin de ce chef cuisinier sous Louis XIV au destin tragique, j'ai été emballé par la mise en scène et le jeu des acteurs de ce Vatel qui nous dévoile quelques habitudes et intrigues à la cour du roi soleil. Depardieu est parfait en Vatel et livre une belle prestation. Hélas, la fin est bâclée et on termine cette belle aventure un peu amer et déçu. En effet, on a jamais l'occasion d'avoir des détails sur le festin préparé par Vatel sur ces 3 jours de fêtes et de ripailles raffinées passé au château du Prince de Condé, ce qui rend le film un peu frustrant.... J'aurai aimé un peu plus de détails comme dans le festin Chinois par exemple. Mais Roland Joffé nous fait cependant découvrir avec raffinement les arcanes du pouvoir sous Louis XIV ainsi que le destin de ce magnifique Cuisinier.
C’est avec le nom français du britannique Joffé, dont le nom rappelle avantageusement joies et buffet, qu’Ofbygod –, pardon, Depardieu se réconcilie avec ses trébuchements de langue en l’idiome de la perfide Albion, entouré de larbins cinématographiques qui sont ses supérieurs à l’écran : François Vatel est peut-être intendant – ou steward en ”VO” – mais il réalisera en même temps que nous qu’il est exploité.
Le cynique cinéaste historien se fend d’une image emplie des parfums dont on s’asperge pour éviter de se laver au coin d’un rideau, et des relents de selles royales ou d’urine déversée dans un pot entre les mains d’une servante. Sa caméra est trop fière de servir à la glorification de ces intérieurs faussement propres où parviennent les fumets pas forcément plus délicats de la cuisine où Vatel tournoie et plonge ses doigts dans toute chose dont il faut s’assurer de la perfection.
On le méprend pour un pâtissier et un valet, et on a raison : il est le sous-fifre de ce casting anglophone où son accent n’est pas de meilleur goût que les ”monsieur” jetés en amuse-gueule dans un français trop raffiné pour être honnête entre deux phrases étrangères ; on en vient à se demander si ce n’est pas Victoria qui rend visite à Louis XIV, c’est pour dire !
Tout fiers qu’on sera, pauvres moldus cerveaulavés que nous sommes, de reconnaître Timothy Spall et Richard Griffiths, on ne boudera surtout pas son plaisir devant Tim Roth, vraiment délicieux dans une brochette d’acteurs servant surtout de portes-manteaux, et l’on saura trouver la valeur de Depardieu derrière son côté batracien (je veux dire par là qu’il est le Frenchie symbolique de Joffé) : son innovativité, sa stoïcité parfois froide, qu’on devine concentrée mais qui se montre pourtant à l’écoute, c’est la recette d’un personnage dont on a l’impression qu’il serait un blockbuster dans la catégorie biopic au XVIème siècle.
Il y a aussi l’aspect psychologique et littéralement intrigant de ces personnages de basse cour s’échangeant des messes… Ou était-ce l’inverse ? C’est en tout cas la sauce qu’il faut pour relever un faste n’ayant de cinématographique que l’envergure ; en effet, les trois jours de fête et de banquet sont rythmés par des mains efficaces (aussi bien par Joffé que Vatel) qui ne prennent pas une seconde pour fabriquer de l’émotion ou quelque profondeur.
Malgré toutes ses qualités, Vatel est une œuvre peu mémorable, le mélange sans piquant de deux cultures qui rendent une saveur assez relevée mais sans arrière-goût. Juste un reportage sur un homme qui en a tellement fait que ça l’a tué. Cela cache hélas une folie des grandeurs pourtant pas simulée ; c’est un vrai banquet royal, adressé à nul roi, que Joffé a confié à nos papilles et à nos pupilles. Encore une fois, c’est un blockbuster qui s’adresse, malheureusement pour nous, à l’époque qu’il dépeint.
https://septiemeartetdemi.com/
Le cynique cinéaste historien se fend d’une image emplie des parfums dont on s’asperge pour éviter de se laver au coin d’un rideau, et des relents de selles royales ou d’urine déversée dans un pot entre les mains d’une servante. Sa caméra est trop fière de servir à la glorification de ces intérieurs faussement propres où parviennent les fumets pas forcément plus délicats de la cuisine où Vatel tournoie et plonge ses doigts dans toute chose dont il faut s’assurer de la perfection.
On le méprend pour un pâtissier et un valet, et on a raison : il est le sous-fifre de ce casting anglophone où son accent n’est pas de meilleur goût que les ”monsieur” jetés en amuse-gueule dans un français trop raffiné pour être honnête entre deux phrases étrangères ; on en vient à se demander si ce n’est pas Victoria qui rend visite à Louis XIV, c’est pour dire !
Tout fiers qu’on sera, pauvres moldus cerveaulavés que nous sommes, de reconnaître Timothy Spall et Richard Griffiths, on ne boudera surtout pas son plaisir devant Tim Roth, vraiment délicieux dans une brochette d’acteurs servant surtout de portes-manteaux, et l’on saura trouver la valeur de Depardieu derrière son côté batracien (je veux dire par là qu’il est le Frenchie symbolique de Joffé) : son innovativité, sa stoïcité parfois froide, qu’on devine concentrée mais qui se montre pourtant à l’écoute, c’est la recette d’un personnage dont on a l’impression qu’il serait un blockbuster dans la catégorie biopic au XVIème siècle.
Il y a aussi l’aspect psychologique et littéralement intrigant de ces personnages de basse cour s’échangeant des messes… Ou était-ce l’inverse ? C’est en tout cas la sauce qu’il faut pour relever un faste n’ayant de cinématographique que l’envergure ; en effet, les trois jours de fête et de banquet sont rythmés par des mains efficaces (aussi bien par Joffé que Vatel) qui ne prennent pas une seconde pour fabriquer de l’émotion ou quelque profondeur.
Malgré toutes ses qualités, Vatel est une œuvre peu mémorable, le mélange sans piquant de deux cultures qui rendent une saveur assez relevée mais sans arrière-goût. Juste un reportage sur un homme qui en a tellement fait que ça l’a tué. Cela cache hélas une folie des grandeurs pourtant pas simulée ; c’est un vrai banquet royal, adressé à nul roi, que Joffé a confié à nos papilles et à nos pupilles. Encore une fois, c’est un blockbuster qui s’adresse, malheureusement pour nous, à l’époque qu’il dépeint.
https://septiemeartetdemi.com/
Dans sa reconstitution spectaculaire de la virtuosité et la somptuosité des festivités, le film n'accorde finalement que peu de place à Vatel, ce maître d'hôtel d'exception et ultra perfectionniste
spoiler:
qu'un retard de livraison va mener au suicide
. Bien que le film porte son nom, le personnage est dépeint d'une manière que j'ai trouvé très superficielle, sa personnalité n'est pas réellement creusée, l'attention se portant plus sur son attirance pour Madame de Montausier et son goût pour la joute verbale que sur sa grande sensibilité artistique, dévorante spoiler: jusqu'à l'autodestruction
. Une approche plus intimiste et moins démonstrative aurait sans doute donné beaucoup plus d'impact au récit de ce destin hors du commun. Ici, malheureusement, entre les incessantes querelles internes à la cours du Roi, les romances croisées et les spectacles interminables, Vatel fait figure de personnage secondaire, un brin antipathique, dont on ne saura finalement pas grand chose et dont le geste radical paraîtra trop excessif et injustifié pour être réellement crédible.
. Bien que le film porte son nom, le personnage est dépeint d'une manière que j'ai trouvé très superficielle, sa personnalité n'est pas réellement creusée, l'attention se portant plus sur son attirance pour Madame de Montausier et son goût pour la joute verbale que sur sa grande sensibilité artistique, dévorante spoiler: jusqu'à l'autodestruction
. Une approche plus intimiste et moins démonstrative aurait sans doute donné beaucoup plus d'impact au récit de ce destin hors du commun. Ici, malheureusement, entre les incessantes querelles internes à la cours du Roi, les romances croisées et les spectacles interminables, Vatel fait figure de personnage secondaire, un brin antipathique, dont on ne saura finalement pas grand chose et dont le geste radical paraîtra trop excessif et injustifié pour être réellement crédible.
Visuellement, le film est superbe, et c'est ce qu'on attendait de lui. En effet, si on parle des fameuses fêtes organisées pour le Roi Soleil, on s'attend forcément à quelque chose de magnifique. Et ici, le pari est réussi. On comprend tout ce qui est mis en place pour distraire le Roi, niveau divertissement et niveau gastronomie. Les différents tableaux sont donc réussis, tout particulièrement le feu d'artifice, et le tableau où le Roi rentre seul sur la scène et les décors bougent jusqu'à révéler toute la Cour derrière. Quant au personnage de Vatel, il est montré comme gentil, un génie de la gastronomie, et il réussit même à séduire la plus belle fille de la Cour, convoitée par tous. Le contraste qu'il forme avec la Cour et toutes ses intrigues est intéressant. Parmi les personnages secondaires, on retiendra Tim Roth, dont le personnage est certainement le plus complexe et qui a presque réussi à m'attendrir (Tim Roth sait se servir de son regard de chien battu). Quelques histoires secondaires auraient pu être développées. Par exemple : on nous présente plusieurs demoiselles, au début du film, toutes, certainement, maîtresses du Roi, mais on ne les revoit quasiment par la suite. Dommage.
Bon film, qui à travers l'histoire des dîners de François Vatel nous plonge dans le monde de la cour et ses intrigues. La petite histoire du zélé maitre d'hôtel éclaire la grande Histoire au moment où Louis XIV s'apprêtait à attaquer la Hollande. C'est un film à la fois beau par ses décors, intriguant de par son scénario et intéressant en raison du sujet abordé.
Le sujet est intéressant, le film bien joué, la reconstitution d'époque très réussie, mais quel dommage que cette histoire franco française ait été tournée en anglais, avec certains acteurs qui n'ont vraiment rien de français : la crédibilité s'en trouve de ce fait altérée.
Redzing
Depardieu, étonnament sobre, incarne l'intendant Vatel dans ce récit historique qui dispose d'une réalisation correcte et de personnages assez creusés. Peut-être pas la film de l'année 2000, "Vatel" n'en demeure pas moins intéressant et sans bavure.
Jolies costume, jolies décors… mais un film un peu trop fade à mon gout !!
Les somptueux châteaux de Versailles et de Chantilly ne semblent pas avoir inspiré cette belle brochette d’acteurs et c’est bien dommage.
Les somptueux châteaux de Versailles et de Chantilly ne semblent pas avoir inspiré cette belle brochette d’acteurs et c’est bien dommage.
Pas tout à fait mon type de film donc c'est sans doute pour ça que je ne l'ai que moyennement apprécié, mais en même temps ce dernier comporte tout de même plusieurs défauts ! C'est vrai que les décors et les costumes sont très biens, mais niveau scénario j'ai trouvé que plusieurs petites histoires entourant la trame principale ne servaient pas à grand chose et le final m'a énormément déçu
spoiler:
Après la mort de Vatel on passe presque directement au lendemain du dernier grand banquet, alors que si je ne me trompe pas un hommage avait été rendu à Vatel et personne ne toucha au poisson, ce qui a totalement été zappé ici
. Puis le jeu de Depardieu ne m'a pas semblé top, il gardait un visage impassible durant presque l'ensemble du film comme si rien ne l'affectait... En-dehors de ça j'ai trouvé l'histoire principale et sa mise en scène pas mal du tout, et plusieurs petites scènes montrant le mauvais coté des bourgeois sont rigolotes.
. Puis le jeu de Depardieu ne m'a pas semblé top, il gardait un visage impassible durant presque l'ensemble du film comme si rien ne l'affectait... En-dehors de ça j'ai trouvé l'histoire principale et sa mise en scène pas mal du tout, et plusieurs petites scènes montrant le mauvais coté des bourgeois sont rigolotes.
2,5 étoiles - Vatel
Ce film est bien réalisé : les images et les décors sont parfaits. Les acteurs sont bons aussi. Pour autant, il n'y a pas d'enthousiasme. Les personnages manquent de contenu ; et le scénario, certes touchant, n'arrive pas toutefois à donner un dynamisme et, surtout, un sens à ce film. Cela dit, l'attention arrive à se maintenir, grâce aux images et aux décors. Bref, film qui occupe sans désagrément un temps de votre vie.
Ce film est bien réalisé : les images et les décors sont parfaits. Les acteurs sont bons aussi. Pour autant, il n'y a pas d'enthousiasme. Les personnages manquent de contenu ; et le scénario, certes touchant, n'arrive pas toutefois à donner un dynamisme et, surtout, un sens à ce film. Cela dit, l'attention arrive à se maintenir, grâce aux images et aux décors. Bref, film qui occupe sans désagrément un temps de votre vie.
Que dire, une brochette d'acteurs excellents et pour ceux qui aiment les grands diners, celui-ci est fameux! En anglais certes, mais on en déguste pas moins chacun des mets de la gastronomie française! Délicieux!
Sur le plan de la reconstitution c'est plutôt réussi, pour le reste pas évident de faire un film palpitant avec ce sujet et c'est bien là le problème.
Surenchères de prétentions et de bling bling pour un film supposé rendre hommage à un des premiers grands cuisiniers. Rien ne se passe.
ferdinand75
Un film de mouture assez classique , dans la veine historique , mais le personnage principal est intéressant, et le milieu de la cour royale bien décrit . Un bon rythme, on suit avec plaisir; Et Gérard Depardieu est excellent .
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