Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Cinopsis.com
par Eric Van Cutsem
(...) avec Vatel, il (Roland Joffé) laisse s'envoler sa mise en scène aux bons moments (les grands moments du banquet) et sait se faire plus discret dans les passages intimistes.
La critique complète est disponible sur le site Cinopsis.com
Le Figaro Magazine
par Jean-Christophe Buisson
Sur cette trame, peut-être un peu mince et c'est là le seul reproche que l'on puisse faire au film, Roland Joffé tapisse une oeuvre à la frois grandiose et intimiste.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro Magazine
Chronic'art.com
par Elysabeth François
(...) le cinéaste dirige son film en bon artisan et non en artiste. Si tous les ingrédients matériels sont correctement agencés pour nous faire croire à cette reconstitution, le film ne se départit pas d'un lourd académisme.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Cplanet.com
par Jean-Luc Brunet
Les décors et les costumes sont somptueux, les mets préparés par Vatel nous font saliver tout au long de la projection, mais il manque au film ce petit supplément d'âme et d'émotion qui nous y ferait adhérer totalement.
La critique complète est disponible sur le site Cplanet.com
Libération
par Jean-Marc Lalanne
(...)le film n'est pas l'étouffe-chrétien académique qu'on pouvait craindre, mais plutôt une tragédie bouffonne assez débraillée visuellement (...)
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Eric Derobert
Le parti pris introspectif de la mise en scène était risqué et audacieux : il est intrinsèquement abouti. La déception vient donc de la conception scénaristique qui sous-tend Vatel.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Télérama
par Jean-Claude Loiseau
Roland Joffé travaille avec une certaine habileté le morceau de bravoure visuel, il anime quelques tableaux luxueux. Mais les personnages s'y perdent.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
par Sophie Grassin
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Obs
par Pascal Mérigeau
(...) un film qui ne ressemble pas à grand-chose, où la subtilité amère du scénario s'est perdue, où l'argent est étalé, dépensé en décors, costumes et feux d'artifice somptueux, le plus souvent en pure perte, par la faute d'une réalisation pataude
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Cinopsis.com
(...) avec Vatel, il (Roland Joffé) laisse s'envoler sa mise en scène aux bons moments (les grands moments du banquet) et sait se faire plus discret dans les passages intimistes.
Le Figaro Magazine
Sur cette trame, peut-être un peu mince et c'est là le seul reproche que l'on puisse faire au film, Roland Joffé tapisse une oeuvre à la frois grandiose et intimiste.
Chronic'art.com
(...) le cinéaste dirige son film en bon artisan et non en artiste. Si tous les ingrédients matériels sont correctement agencés pour nous faire croire à cette reconstitution, le film ne se départit pas d'un lourd académisme.
Cplanet.com
Les décors et les costumes sont somptueux, les mets préparés par Vatel nous font saliver tout au long de la projection, mais il manque au film ce petit supplément d'âme et d'émotion qui nous y ferait adhérer totalement.
Libération
(...)le film n'est pas l'étouffe-chrétien académique qu'on pouvait craindre, mais plutôt une tragédie bouffonne assez débraillée visuellement (...)
Positif
Le parti pris introspectif de la mise en scène était risqué et audacieux : il est intrinsèquement abouti. La déception vient donc de la conception scénaristique qui sous-tend Vatel.
Télérama
Roland Joffé travaille avec une certaine habileté le morceau de bravoure visuel, il anime quelques tableaux luxueux. Mais les personnages s'y perdent.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
(...) un film qui ne ressemble pas à grand-chose, où la subtilité amère du scénario s'est perdue, où l'argent est étalé, dépensé en décors, costumes et feux d'artifice somptueux, le plus souvent en pure perte, par la faute d'une réalisation pataude