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Des racines de sa vocation à son accession à la gloire, de "home movies" parfois déchirants en performances captées avec une énergie cinématographique contagieuse jusqu'au vertige, la splendeur gymnique, politique, poétique de son travail laisse des traces indélébiles. Pleurer devant un documentaire ? Eh bien, oui !
C’est par le lâcher-prise que l’on arrive, dans Mr. Gaga, à la danse. En ouvrant le beau documentaire qu’il consacre au danseur et chorégraphe Ohad Naharin, Tomer Heymann illustre d’emblée sa conviction de présenter un être hors normes, et sa vocation à le faire d’une manière qui ne rentrera pas dans les clous du genre.
Comment, par exemple, s'occuper d'un enfant en bas âge quand le travail vous requiert à chaque instant ? Cette scène en apparence anodine, que le documentaire saisit par hasard, dit, mieux qu'un long discours, l'énergie nécessaire pour se mettre en mouvement. (...) Fascinant.
"Mr Gaga" vaut mieux qu'un simple documentaire sur un homme d'exception. Par le prisme de l'intime et de l'exhibition, c'est d'abord un film sur la manière dont un artiste cherche à demeurer libre, hors des institutions.
Ce qui domine, c’est l’insistance du film à éplucher la biographie du personnage, au détriment de son œuvre elle-même (...). Les bouts de répétition et les extraits de ses spectacles sont certes nombreux, mais bien trop brefs. On aurait aimé voir au moins un ou deux exemples un peu plus longs (...).
Elle
Laissez-vous transporter vous ne le regretterez pas ! Une formidable invitation à danser.
Sud Ouest
Cet après Cannes serait bien terne si un documentaire aussi sensible que passionnant n'était là pour éclairer la semaine.
VSD
Des racines de sa vocation à son accession à la gloire, de "home movies" parfois déchirants en performances captées avec une énergie cinématographique contagieuse jusqu'au vertige, la splendeur gymnique, politique, poétique de son travail laisse des traces indélébiles. Pleurer devant un documentaire ? Eh bien, oui !
L'Humanité
Le film est riche en témoignages et en instants privés qui en disent long sur l'histoire de l'homme comme sur celle de son pays.
Le Dauphiné Libéré
Un film passionnant sur un personnage qui ne l’est pas moins, danseur hors-norme, complexe et attachant.
Le Monde
C’est par le lâcher-prise que l’on arrive, dans Mr. Gaga, à la danse. En ouvrant le beau documentaire qu’il consacre au danseur et chorégraphe Ohad Naharin, Tomer Heymann illustre d’emblée sa conviction de présenter un être hors normes, et sa vocation à le faire d’une manière qui ne rentrera pas dans les clous du genre.
Positif
Comment, par exemple, s'occuper d'un enfant en bas âge quand le travail vous requiert à chaque instant ? Cette scène en apparence anodine, que le documentaire saisit par hasard, dit, mieux qu'un long discours, l'énergie nécessaire pour se mettre en mouvement. (...) Fascinant.
Première
(Un documentaire) efficace et bien structuré.
Transfuge
"Mr Gaga" vaut mieux qu'un simple documentaire sur un homme d'exception. Par le prisme de l'intime et de l'exhibition, c'est d'abord un film sur la manière dont un artiste cherche à demeurer libre, hors des institutions.
Télérama
L'important est de bouger. Ce film en donne très envie.
L'Obs
Auteur d’une poignée de documentaires (dont "Paper Dolls" en 2006), Tomer Heymann est visiblement fasciné par Mr Gaga. Il y a de quoi.
Les Fiches du Cinéma
Ce portrait filmé du chorégraphe israélien Ohad Naharin, électron libre dans sa discipline, est aussi fascinant que son objet.
Studio Ciné Live
(La) personnalité fascinante et la beauté (des) ballets (d'Ohad Naharin) sont, hélas, desservis par la banalité de la réalisation.
Les Inrockuptibles
Ce qui domine, c’est l’insistance du film à éplucher la biographie du personnage, au détriment de son œuvre elle-même (...). Les bouts de répétition et les extraits de ses spectacles sont certes nombreux, mais bien trop brefs. On aurait aimé voir au moins un ou deux exemples un peu plus longs (...).