Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Ecran Large
par Christophe Foltzer
Un récit terrible, profond et intelligent qui donne le vertige à l'occasion d'une conclusion hallucinante.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
LCI
par Mehdi Omaïs
Le remarquable premier film du jeune Morgan Simon met en scène Kevin Azaïs sous les traits d’un jeune homme en conflit avec son père. Un portrait âpre et percutant qui marque la naissance d’un artiste à suivre de près.
La critique complète est disponible sur le site LCI
Le Parisien
par Catherine Balle
Pour incarner cette relation père-fils, le réalisateur Morgan Simon (qui signe son premier film) a fait appel à Nathan Willcocks et Kévin Azaïs. Les deux comédiens impressionnent par le côté brut et sobre de leur jeu.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télérama
par Louis Guichard
Nathan Willcocks (le père), excellent dans la rugosité, la fatigue du travailleur matinal (poissonnier ambulant) et, bien sûr, Kévin Azaïs, possédé par son rôle, saisissant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Un film maîtrisé qui aborde sans détours le thème des non-dits et de l’incommunicabilité.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Express
par Eric Libiot
Chronique qui peine à aller jusqu'au bout de ses 80 minutes mais il y a des acteurs qui font bien le boulot.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un film qui ne donne pas précisément dans la retenue du corps ni du coeur, mais que défend avec conviction l’interprétation très physique de Kévin Azaïs.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Intime sans être impudique, ardent et délicat à la fois, le drame œdipien doit aussi beaucoup à la qualité de ses interprètes, notamment Kévin Azaïs tout en nuances, entre rage contenue et fragilité éruptive.
Les Fiches du Cinéma
par Aude Jouanne
Le premier long métrage de Morgan Simon explore avec délicatesse les relations filiales sur fond de culture alternative.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Romain Blondeau
En quelques plans d'une économie totale - scène de chant rageur, baiser nocturne et fuite en vélo -, Simon convoque ainsi l'éternelle cinégénie et le pouvoir de fascination des fictions teen.
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Morgan Simon , dont c'est le premier long, aura mené son film avec un sens de l'équilibre assez impressionnant et ce, malgré les menaces qui grondaient : dialogues sentencieux, situations convenues...
Voici
par La Rédaction
Rageux et fragile, un premier film prometteur.
L'Humanité
par Vincent Ostria
On comprend le désir du cinéaste de jouer avec une mise en scène abrupte et organique. Mais on aimerait un peu de liant, des tenants et des aboutissants. Des séquences isolées peuvent créer un effet de surprise, mais elles donnent aussi l’impression qu’un clou chasse l’autre. On reste dubitatif.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par François Forestier
L’idée est bonne, la réalisation ne l’est pas. Le film cherche son rythme, étire certaines scènes, s’attarde sur des moments longs, et aucun des personnages n’a de grâce ni d’empathie.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Thomas Sotinel
Le premier long-métrage de Morgan Simon met en scène l’affrontement entre un fils, chanteur de post-hardcore tatoué et son père autour de la jeune maîtresse de ce dernier. Mais ce schéma en reste un en raison d’artifices qui démentent et défont les moments de grâce de la mise en scène.
Libération
par Didier Péron
Le film se cherche (sans vraiment se trouver) entre réalisme social, étude psy œdipienne, voyage aux confins hurlants d’une musique écorchée et teen-movie à Saint-Ouen underground.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Critikat.com
par Adrien Dénouette
Peinant à donner aux personnages le minimum de crédibilité requis, "Compte tes blessures" se condamne vite à enregistrer la performance un peu cabotine de comédiens prêts à tous les excès pour donner vie à des archétypes.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
Un récit terrible, profond et intelligent qui donne le vertige à l'occasion d'une conclusion hallucinante.
LCI
Le remarquable premier film du jeune Morgan Simon met en scène Kevin Azaïs sous les traits d’un jeune homme en conflit avec son père. Un portrait âpre et percutant qui marque la naissance d’un artiste à suivre de près.
Le Parisien
Pour incarner cette relation père-fils, le réalisateur Morgan Simon (qui signe son premier film) a fait appel à Nathan Willcocks et Kévin Azaïs. Les deux comédiens impressionnent par le côté brut et sobre de leur jeu.
Télérama
Nathan Willcocks (le père), excellent dans la rugosité, la fatigue du travailleur matinal (poissonnier ambulant) et, bien sûr, Kévin Azaïs, possédé par son rôle, saisissant.
aVoir-aLire.com
Un film maîtrisé qui aborde sans détours le thème des non-dits et de l’incommunicabilité.
L'Express
Chronique qui peine à aller jusqu'au bout de ses 80 minutes mais il y a des acteurs qui font bien le boulot.
Le Dauphiné Libéré
Un film qui ne donne pas précisément dans la retenue du corps ni du coeur, mais que défend avec conviction l’interprétation très physique de Kévin Azaïs.
Le Journal du Dimanche
Intime sans être impudique, ardent et délicat à la fois, le drame œdipien doit aussi beaucoup à la qualité de ses interprètes, notamment Kévin Azaïs tout en nuances, entre rage contenue et fragilité éruptive.
Les Fiches du Cinéma
Le premier long métrage de Morgan Simon explore avec délicatesse les relations filiales sur fond de culture alternative.
Les Inrockuptibles
En quelques plans d'une économie totale - scène de chant rageur, baiser nocturne et fuite en vélo -, Simon convoque ainsi l'éternelle cinégénie et le pouvoir de fascination des fictions teen.
Studio Ciné Live
Morgan Simon , dont c'est le premier long, aura mené son film avec un sens de l'équilibre assez impressionnant et ce, malgré les menaces qui grondaient : dialogues sentencieux, situations convenues...
Voici
Rageux et fragile, un premier film prometteur.
L'Humanité
On comprend le désir du cinéaste de jouer avec une mise en scène abrupte et organique. Mais on aimerait un peu de liant, des tenants et des aboutissants. Des séquences isolées peuvent créer un effet de surprise, mais elles donnent aussi l’impression qu’un clou chasse l’autre. On reste dubitatif.
L'Obs
L’idée est bonne, la réalisation ne l’est pas. Le film cherche son rythme, étire certaines scènes, s’attarde sur des moments longs, et aucun des personnages n’a de grâce ni d’empathie.
Le Monde
Le premier long-métrage de Morgan Simon met en scène l’affrontement entre un fils, chanteur de post-hardcore tatoué et son père autour de la jeune maîtresse de ce dernier. Mais ce schéma en reste un en raison d’artifices qui démentent et défont les moments de grâce de la mise en scène.
Libération
Le film se cherche (sans vraiment se trouver) entre réalisme social, étude psy œdipienne, voyage aux confins hurlants d’une musique écorchée et teen-movie à Saint-Ouen underground.
Critikat.com
Peinant à donner aux personnages le minimum de crédibilité requis, "Compte tes blessures" se condamne vite à enregistrer la performance un peu cabotine de comédiens prêts à tous les excès pour donner vie à des archétypes.