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    Saravah
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    Gregory S
    Gregory S

    26 abonnés 579 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 octobre 2024
    C'est pas le chef d'oeuvre auquel je m'attendais mais ça reste un bon documentaire sur la musique brésilienne à une épouse où les précurseurs sont encore en vie. C'est toute une époque sans télévision qui passe devant nous avec de très bons morceaux musicaux et des plans de toute beauté, on l'on filme les gens avec bienveillance sans montage tortueux ou frénésie de plans.
    Variations6
    Variations6

    1 abonné 7 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 août 2024
    Plein de jolis commentaires ici. Perso, j'ai adoré ce film, je suis passionné de musique et musicien, alors j'ai dégusté chaque seconde. J'avais tout le temps envie de bouger, de danser. Mais c'est vrai que l'enregistrement de la piste sonore laisse à désirer.
    Emy8282
    Emy8282

    2 abonnés 11 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 août 2024
    On est sur un pur moment de bonheur et de joie! Des images précieuses qui nous invites au plus près des chanteuses, musiciens et d’une partie de la culture musicale si riche de Brésil. A ne pas rater!
    Lemagducine
    Lemagducine

    16 abonnés 53 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 juillet 2024
    En ces temps de rigidité et de raidissement communautariste, ressort un très salutaire documentaire de Pierre Barouh, Saravah (1969), qui chante la possibilité d’un métissage aussi heureux que réussi.

    « S’il est une samba sans tristesse, c’est un vin qui ne donne pas l’ivresse »… Telles sont les paroles de la Samba Saravah, de Vinicius de Moraes et Baden Powell, qui ouvre le film, à la fois mythique et confidentiel, tourné à Rio de Janeiro par Pierre Barouh (19 février 1934, Levallois-Perret – 28 décembre 2016, Paris) dans l’hiver 1969 et bénéficiant aujourd’hui d’une nouvelle sortie après restauration. Creusant le sillon, mais ici sous forme documentaire, de la sombre et lumineuse réalisation de Marcel Camus, Orfeu Negro (1959), sortie dix ans plus tôt, l’écrivain-musicien-acteur-réalisateur et baroudeur, épisodique mari d’Anouk Aimée de 1966 à 1969, contourne rapidement la joie pailletée du Carnaval de Rio pour s’enfoncer dans le dédale autrement fascinant des racines africaines de la samba. Univers marqué par la mélancolie et la perte, comme l’illustrait déjà le chant phare d’Orfeu Negro, l’envoûtant A felicidade de Tom Jobim et du même Vinicius de Moraes : « Tristeza não tem fim / Felicidade sim ».

    Tourné en quelques jours, grâce à l’équipe technique (Yann Le Masson à l’image, Jean-Claude Leaureux au son) qui se trouvait initialement sur place pour un film du réalisateur et ami de Pierre Barouh, Pierre Kast, Saravah (parole de salutation et de protection africaine qui correspondrait à la traduction du mot hébraïque « barouh ») offre une déambulation poétique et charmée d’un maître de la samba à l’autre, guidée et commentée par l’ami de toujours, le chanteur et guitariste virtuose Baden Powell (6 août 1937, Rio de Janeiro – 26 septembre 2000, Rio de Janeiro). On passe ainsi des anciens – le saxophoniste et compositeur Pixinguinha (23 avril 1897, Rio de Janeiro – 17 fevrier 1973, Rio de Janeiro), d’abord lors d’un libre entretien dans un café puis dans l’exercice de sa grande virtuosité instrumentale, le chanteur João da Baiana (17 mai 1887, Rio de Janeiro – 12 janvier 1974, Rio de Janeiro), déjà très âgé mais impeccable dans son costume colonial de lin blanc et les pieds animés par des rythmes africains immémoriaux, s’accompagnant imperturbablement d’un couteau frotté contre le rebord d’une assiette – aux plus jeunes et encore promis à un bel avenir : la fascinante Maria Bethânia (18 juin 1946, Bahia – ) et sa belle voix légèrement rocailleuse, son plaisir extrême, communicatif et partant en rire, dans la pratique du chant ; Paulinho da Viola (12 novembre 1942, Rio de Janeiro – ), au chant souple, serpentin, et fondateur de l’école de samba Portela. Les entretiens se mêlent au chant, l’un débouchant toujours sur l’autre et lui donnant étroitement la main, en une ronde inlassable et fascinante.
    Sonate
    Sonate

    6 abonnés 23 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 29 juillet 2024
    Même si on aime la samba brésilienne, ce film est d'un profond ennui car quasiment rien est expliqué. Ce film n'est pas du tout un documentaire. C'est dommage car le choix des morceaux pour leur musicalité sont représentatifs du genre musical mais on passe à côté complètement car les paroles des morceaux ne sont pas sous-titrées si bien que si on ne parle pas portugais, on ne comprend rien ; c'est dommage. Une heure interminable.
    Ronan frances
    Ronan frances

    2 abonnés 1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 juillet 2024
    On y est ... 1969 ... Plusieurs des plus grands musiciens et chanteurs Brésiliens, chantent, boivent, jouent ...dans son jus .. excellente qualité ... Je vais retourner le voir ...
    Yves G.
    Yves G.

    1 466 abonnés 3 491 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 juillet 2024
    ""Saravah" n'est pas un documentaire mais un document" écrit l'éditeur Patrick Frémeaux. C'est l'oeuvre de Pierre Barouh, un musicien français né en 1934. Il composa La Bicyclette pour Yves Montand et interpréta Un homme et une femme sur une composition de Francis Lai. Durant ce tournage il rencontra Anouk Aimée à laquelle il fut marié pendant trois ans. Il fonda en 1965 le label Saravah qui fit découvrir la bossa nova en France et émerger les talents de Jacques Higelin ou de Brigitte Fontaine. En voix off, au début du film, il se présente comme "le plus Brésilien des Français" et adresse au spectateur une invitation qui ne se refuse pas : l'emmener en voyage au Brésil.

    "Saravah" fut tourné en trois jours à peine à Rio de Janeiro pendant le carnaval durant l'hiver 1969. Mal sonorisé, le film ne sortit jamais en salles. Mais grâce à une restauration impeccable, il en trouve enfin le chemin plus de soixante ans plus tard.

    Saravah dure une heure à peine. C'est bien court, mais cela nous donne juste le temps de croiser quelques unes des légendes de la samba brésilienne qui interprètent à l'improviste ses classiques. Un immense sourire aux lèvres, Pierre Barouh, dans un portugais hésitant, les invite à se dévoiler ce qu'elles font volontiers. Certains sont des stars installées, tel le saxophoniste Pixinguinha qui habite une rue qui porte son nom ; d'autres sont en pleine ascension comme le guitariste Baden Powell ou la chanteuse Maria Bethânia.

    Voir "Saravah" aujourd'hui, c'est (re)plonger dans le Brésil des années soixante dont le carnaval et le samba constituaient des échappatoires hédonistes à l'oppressante dictature militaire. C'est se laisser lentement gagner par l'émolliente douceur de cette musique si sensuelle. C'est immanquablement n'avoir à la sortie de la salle qu'une seule envie : se ruer sur les autres standards créés par ces musiciens de légende.
    Dimitri B
    Dimitri B

    4 abonnés 7 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 16 juillet 2024
    J'ai compris à posteriori la qualité visuelle et sonore médiocre de ce documentaire.
    Il a été tourné en 1969!
    Quand au reste. Sauf à être expert en musique brésilienne, ça n'a pas un grand intérêt.
    Pseudo élitiste avec une musique dite populaire !
    Heureusement ça dure qu'une heure et c'est déjà énorme.
    Comme à l'acoutumé l'inteligencia trouve facilement formidable et les spectateurs n'osent pas le critiquer.
    Leonardo Gomes
    Leonardo Gomes

    2 abonnés 1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 juillet 2024
    Saravah est un chef-d'œuvre qui capture l'essence de la musique brésilienne à travers les portraits intimes de légendes telles que Pixinguinha, João da Bahiana et un jeune Baden Powell. Le film nous transporte dans une époque vibrante, où la samba et le choro s’épanouissent. Les performances musicales sont envoûtantes, offrant un regard rare et authentique sur ces icônes culturelles. La réalisation est à la fois poétique et captivante, rendant hommage à la richesse du patrimoine musical brésilien. 'Saravah' est un incontournable pour tout amateur de musique et d'histoire culturelle brésilienne !
    Pascal
    Pascal

    160 abonnés 1 658 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 juillet 2024
    Ressortie de " Saravah" ( " bonne chance" en portugais) documentaire de Pierre Barouh datant de 1969, sur la samba aux détours d'échanges avec les artistes de classe internationale Baden Powell et Maria Bethania, encore très jeunes.

    Malheureusement les conditions de prise de son ( mauvaises, c'est le comble !) les morceaux interprétés lors de rencontres informelles, ne me paraissent pas au niveau et représentatifs du talent de ces artistes.

    Le documentaire vaut le coup de d'oeil, mais n'est pas (selon moi) le chef d'œuvre annoncé par la critique (et de loin ).
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