Note moyenne
4,1
9 titres de presse

Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

9 critiques presse

Les Fiches du Cinéma

par Gilles Tourman

C’est beau, édifiant, tonique.

Cahiers du Cinéma

par Thierry Méranger

Tourné à l’arrache en trois jours pour profiter de la brève disponibilité d’une micro-équipe française à Rio, et jusqu’ici montré, sans être exploité en salles, dans une version approximativement synchronisée et non sous-titrée, le documentaire aujourd’hui ressuscité est un témoignage intime et irremplaçable sur l’effervescence musicale du Brésil de 1969.

L'Obs

par Sophie Grassin

Peu montré pendant toutes ces années hormis dans quelques festivals, ce film qui exalte la saudade tout en plongeant dans l’incubateur d’une génération est aujourd’hui culte.

La critique complète est disponible sur le site L'Obs

Le Monde

par Cl. F.

Il y a des films qui font un bien fou, comme une photographie ressurgie du passé qui réussit à ne rien figer, renvoyant juste quelques éclats d’un moment parfait.

La critique complète est disponible sur le site Le Monde

Les Inrockuptibles

par Thierry Jousse

L’histoire de la musique populaire brésilienne s’écrit ici, en direct devant nos yeux et nos oreilles charmés par tant de délicatesse et de beauté.

La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

Libération

par Jacques Denis

Pour ces deux moments d’anthologie, pour aussi celui qui suit lorsque Maria Bethânia en studio reprend guitare-voix Pra Dizer Adeus une ballade d’Edu Lobo et Torquato Neto, avec Raulzinho, «deuxième meilleur tromboniste au monde» dont le solo rappelle combien la samba a pour parent le blues, ce film fait référence. Et ce malgré toutes ses imperfections (...).

La critique complète est disponible sur le site Libération

Positif

par Hubert Niogret

Un document exceptionnel sur la découverte d'une période historique de la musique (...).

Première

par Michaël Patin

Ce que voyaient Barouh et qu’on découvre aujourd’hui en 4K restaurée, c’est qu’en 1969, à Rio, les musiciens étaient plus beaux que les plus beaux des acteurs. Saravah, c’est de la musique, mais c’est aussi du cinéma.

Télérama

par Caroline Besse

Ce qui rend le documentaire doublement exceptionnel est l’époque pendant laquelle il a été tourné. La dictature militaire sévissait au Brésil et la musique y était sévèrement réprimée. Faisant de Saravah un film militant. Un trésor. Aussi libre et hors norme que fut, sa vie durant, son auteur.

La critique complète est disponible sur le site Télérama
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