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L’interprétation tout en délicatesse de Pauline Burlet et d’Alban Lenoir, mais aussi celle d’une Géraldine Pailhas toujours émouvante servent magnifiquement ce film original qui révèle une réalisatrice prometteuse.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
"Le Semeur" est un film en costumes qui ne souffre jamais de la pesanteur amidonnée du genre, un film d'époque qui parle de notre temps, un premier film d'une singularité fière et têtue (...).
Marine Francen navigue entre ces écueils et les esquive, portée par une sincérité visible et un enthousiasme communicatif. Sa chronique est douce, lyrique, apaisée.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ce premier film en deux parties – avant et après l’arrivée d’Alban Lenoir – est porté par des acteurs convaincants et se révèle formellement élégant. Dommage, au regard du sujet, qu’il manque de sensualité.
L’effet est saisissant et procure d’indubitables émotions, renforcées par le délicat casting féminin. Sur le fond, cette histoire d’intrus “semant” le trouble aurait toutefois gagné à être plus ambiguë et moins littérale.
La critique complète est disponible sur le site Première
Un drame féministe qui cherche la poésie et refuse la carte postale. Reste que le minimalisme et une intrigue plus prometteuse qu'aboutie finissent peu à peu par susciter l'indifférence.
[Le film] ne parvient ni à créer une langueur explicitant la frustration intense ressentie durant tous ces longs mois d’abstinence, ni la dynamique propre à créer un thriller en costumes, fourbe et retors.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Pour ce qui est du sujet, les désirs contrariés d'une communauté de femmes face au mâle, cette version cévenole, austère et monocorde des "Proies" l'effleure sagement.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
De ce sujet, tiré de L’Homme semence, de Violette Ailhaud, aurait pu sortir un film ardent et dérangeant. Marine Francen en tire un premier long-métrage frileux et timoré, ligoté par une reconstitution laborieuse et des conventions surannées.
La Croix
L’interprétation tout en délicatesse de Pauline Burlet et d’Alban Lenoir, mais aussi celle d’une Géraldine Pailhas toujours émouvante servent magnifiquement ce film original qui révèle une réalisatrice prometteuse.
Les Inrockuptibles
"Le Semeur" est un film en costumes qui ne souffre jamais de la pesanteur amidonnée du genre, un film d'époque qui parle de notre temps, un premier film d'une singularité fière et têtue (...).
Positif
Un film séduisant et limpide, beau comme une évidence.
Télé Loisirs
Un premier film sensible, charnel, avec un vrai regard de cinéaste.
Télérama
Marine Francen navigue entre ces écueils et les esquive, portée par une sincérité visible et un enthousiasme communicatif. Sa chronique est douce, lyrique, apaisée.
Le Figaro
Avec son faux réalisme paysan et sa jolie galerie de femmes, on dirait une nouvelle du XIXe siècle, finement ciselée, à l'étrangeté dépaysante.
Le Journal du Dimanche
Ce premier film en deux parties – avant et après l’arrivée d’Alban Lenoir – est porté par des acteurs convaincants et se révèle formellement élégant. Dommage, au regard du sujet, qu’il manque de sensualité.
Le Parisien
Un film dérangeant mais intense.
Les Fiches du Cinéma
D’une sécheresse séduisante, le film se borne hélas, par endroits, à l’illustration de son scénario.
Première
L’effet est saisissant et procure d’indubitables émotions, renforcées par le délicat casting féminin. Sur le fond, cette histoire d’intrus “semant” le trouble aurait toutefois gagné à être plus ambiguë et moins littérale.
Studio Ciné Live
Un drame féministe qui cherche la poésie et refuse la carte postale. Reste que le minimalisme et une intrigue plus prometteuse qu'aboutie finissent peu à peu par susciter l'indifférence.
Voici
Cette fable cénevole féministe transpire la frustration sexuelle à chaque plan.
aVoir-aLire.com
Ce premier long métrage vibrant qui décrit avec sensibilité un dilemme amoureux dans une communauté de femmes est servi par d’excellentes actrices.
Critikat.com
[Le film] ne parvient ni à créer une langueur explicitant la frustration intense ressentie durant tous ces longs mois d’abstinence, ni la dynamique propre à créer un thriller en costumes, fourbe et retors.
L'Obs
Pour ce qui est du sujet, les désirs contrariés d'une communauté de femmes face au mâle, cette version cévenole, austère et monocorde des "Proies" l'effleure sagement.
Le Monde
De ce sujet, tiré de L’Homme semence, de Violette Ailhaud, aurait pu sortir un film ardent et dérangeant. Marine Francen en tire un premier long-métrage frileux et timoré, ligoté par une reconstitution laborieuse et des conventions surannées.