Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
L'Ecran Fantastique
par Alexandre Jourdain
Cet exercice de style filmé avec modestie réussit à provoquer le trouble. C'est que derrière son apparente simplicité se tapit une inquiétude quasi métaphysique. Émotion que de nombreux films à plus gros budget peinent à susciter.
Le Monde
par Thomas Sotinel
À eux deux, (Gérard Depardieu et Guillaume Nicloux) tissent, comme on l'a rarement fait à l'écran, l'étoffe des rêves.
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Envoûtant et minimaliste.
Metro
par Mehdi Omaïs
"The End" repose (...), d'un bout à l'autre, sur une austérité qui, contre toute attente, a raison de l'ennui dans lequel aurait pu échouer le navire. Étonnant, donc.
Télérama
par Bruno Icher
"The End" démontre qu'il est possible d'emprunter des voies audacieuses, expérimentales, poétiques, même s'il faut renoncer à une sortie en salles, du moins en France.
VSD
par La Rédaction
Fascinant.
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
En laissant finalement trop la place aux interprétations du spectateur, "The End" se prive d'un véritable impact émotionnel alors que la prestation de Gérard Depardieu, toute en triste délicatesse, bouleverse - dans tout ce qu'elle peut avoir de méta.
Critikat.com
par Morgan Pokée
Cet aspect disons documentaire sur Depardieu, s’il fait la force hypnotique du film de Nicloux, en fait aussi sa franche limite...
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Cette balade de perdition est évidemment incarnée ô combien par Depardieu, qui est non seulement un corps et une voix, mais aussi un film, un paysage, une histoire, un morceau d’humanité à lui tout seul.
Libération
par Anne Diatkine
Le film, qu'on peut voir comme un documentaire sur le corps de Gérard Depardieu (...), montre l'errance d'un homme seul, à la recherche (...) de lui-même. Ce qu'il perd, ce qu'il trouve, ceux qu'il rencontre, mais surtout le rien qu'il faut à Gérard Depardieu pour terrifier (...) : telle est la matière de ce film étrange (...).
Ouest France
par Gilles Kerdreux
(...) au terme de ce petit long-métrage (70 min), tout reste bien énigmatique. Un conte fantastique à conseiller essentiellement aux inconditionnels de Depardieu.
Paris Match
par Yannick Vely
"The End" peut s'apprécier comme conclusion d'une trilogie amorcée par "L'enlèvement de Michel Houellebecq" et poursuivie par "Valley of Love". Guillaume Nicloux a expliqué en interview avoir écrit le scénario suite à un rêve étrange qu'il avait fait. Cela confère au film une atmosphère particulière, comme si on était replongé dans la forêt d'"Antéchrist" de Lars von Trier. Au bout du cauchemar, il n'y a plus d'alternative. Il faut retourner en forêt pour se perdre définitivement.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Le défi est assez intéressant, aux confins de la fable existentielle et du cinéma de genre. Mais la performance devient vite rébarbative et la mise en scène apparaît bien pauvre, si habile soit-elle.
aVoir-aLire.com
par Niels Euler
(...) un film qui n’arrive pas à ne rien raconter et rate le peu qu’il raconte.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Cette « forêt des songes » provençale, avec un Depardieu exultant littéralement en vieux chasseur grognon, possède aussi peu de cœur que d’idées de mise en scène.
Charlie Hebdo
par Jean-Baptiste Thoret
Le problème vient de l'incapacité de Nicloux à remplir son film autrement, à donner de l'épaisseur et du mystère à ses images, à les renouveler, (...) ou, plus simplement, à donner à Depardieu de la matière à jouer (...).
L'Ecran Fantastique
Cet exercice de style filmé avec modestie réussit à provoquer le trouble. C'est que derrière son apparente simplicité se tapit une inquiétude quasi métaphysique. Émotion que de nombreux films à plus gros budget peinent à susciter.
Le Monde
À eux deux, (Gérard Depardieu et Guillaume Nicloux) tissent, comme on l'a rarement fait à l'écran, l'étoffe des rêves.
Les Fiches du Cinéma
Envoûtant et minimaliste.
Metro
"The End" repose (...), d'un bout à l'autre, sur une austérité qui, contre toute attente, a raison de l'ennui dans lequel aurait pu échouer le navire. Étonnant, donc.
Télérama
"The End" démontre qu'il est possible d'emprunter des voies audacieuses, expérimentales, poétiques, même s'il faut renoncer à une sortie en salles, du moins en France.
VSD
Fascinant.
CinemaTeaser
En laissant finalement trop la place aux interprétations du spectateur, "The End" se prive d'un véritable impact émotionnel alors que la prestation de Gérard Depardieu, toute en triste délicatesse, bouleverse - dans tout ce qu'elle peut avoir de méta.
Critikat.com
Cet aspect disons documentaire sur Depardieu, s’il fait la force hypnotique du film de Nicloux, en fait aussi sa franche limite...
Les Inrockuptibles
Cette balade de perdition est évidemment incarnée ô combien par Depardieu, qui est non seulement un corps et une voix, mais aussi un film, un paysage, une histoire, un morceau d’humanité à lui tout seul.
Libération
Le film, qu'on peut voir comme un documentaire sur le corps de Gérard Depardieu (...), montre l'errance d'un homme seul, à la recherche (...) de lui-même. Ce qu'il perd, ce qu'il trouve, ceux qu'il rencontre, mais surtout le rien qu'il faut à Gérard Depardieu pour terrifier (...) : telle est la matière de ce film étrange (...).
Ouest France
(...) au terme de ce petit long-métrage (70 min), tout reste bien énigmatique. Un conte fantastique à conseiller essentiellement aux inconditionnels de Depardieu.
Paris Match
"The End" peut s'apprécier comme conclusion d'une trilogie amorcée par "L'enlèvement de Michel Houellebecq" et poursuivie par "Valley of Love". Guillaume Nicloux a expliqué en interview avoir écrit le scénario suite à un rêve étrange qu'il avait fait. Cela confère au film une atmosphère particulière, comme si on était replongé dans la forêt d'"Antéchrist" de Lars von Trier. Au bout du cauchemar, il n'y a plus d'alternative. Il faut retourner en forêt pour se perdre définitivement.
Le Journal du Dimanche
Le défi est assez intéressant, aux confins de la fable existentielle et du cinéma de genre. Mais la performance devient vite rébarbative et la mise en scène apparaît bien pauvre, si habile soit-elle.
aVoir-aLire.com
(...) un film qui n’arrive pas à ne rien raconter et rate le peu qu’il raconte.
Cahiers du Cinéma
Cette « forêt des songes » provençale, avec un Depardieu exultant littéralement en vieux chasseur grognon, possède aussi peu de cœur que d’idées de mise en scène.
Charlie Hebdo
Le problème vient de l'incapacité de Nicloux à remplir son film autrement, à donner de l'épaisseur et du mystère à ses images, à les renouveler, (...) ou, plus simplement, à donner à Depardieu de la matière à jouer (...).