Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Culturopoing.com
par Benjamin Cocquenet
"Diamond Isand" (...) irise les corps dans un magnifique écrin pop, dissout les aspirations de sa jeunesse dans le scintillement d’un luxe fallacieux. Diamond Island est un film de lux sur un monde de luxe. Ou l’inverse.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Positif
par Vincent Thabourey
L'artificialité plastique de son cinéma nous invite, telle une Alice en version pop, à l'accompagner sans retenue dans cette chute vers un ailleurs dangereusement séduisant.
Cahiers du Cinéma
par Gaspard Nectoux
L’empreinte enivrante que laisse le film est celle du flottement qu’installe sa mise en scène, qui gomme tout ce qui pourrait être un tour de force scénaristique ou dramatique pour rendre presque invisible le passage d’un état, d’un lieu, ou d’un régime à un autre.
CinemaTeaser
par Renan Cros
Un teen movie atmosphérique et délicat.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
L'Obs
par Nicolas Schaller
Le documentaire "le Sommeil d’or", sur le cinéma cambodgien disparu sous la dictature khmère rouge, avait révélé Davy Chou. Il fait mieux que confirmer son talent avec sa première fiction aux couleurs pop sur une jeunesse ignorée et interprétée par elle-même. Après les fantômes du passé, Chou filme les mirages du présent. Et c’est beau.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Arnaud Schwartz
Ce deuxième long métrage confirme le talent d’un jeune cinéaste français d’origine cambodgienne, qui signe un envoûtant portrait de génération.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
L’on gardera longtemps en mémoire ce dont est constitué ce troublant exercice de style : la justesse des acteurs, le cadre, la palette chromatique, le rythme, la musicalité des plans, la sensualité des images, leur caractère chorégraphique, le rapport sensoriel à la mise en scène. Tout ce qui constitue la magie du cinéma.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Davy Chou, inspiré par les grands cinéastes asiatiques, traduit les rêves d’une jeunesse tendue vers le futur, dans une forme flashy qui épouse la mutation profonde de son pays.
Le Figaro
par La Rédaction
La chronique réaliste est traversée de belles séquences nocturnes, pop et élégiaques.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
C’est un récit simple, d’une grande beauté plastique, semé d’effets spéciaux stupéfiants, où aucun détail de mise en scène n’est laissé au hasard.
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Le deuxième film de Davy Chou s’impose par sa narration poétique et sa mise en scène enchanteresse.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Si le contexte socio-politique assure de solides fondations à son film, Davy Chou s'en élève avec une facilité incroyable pour aller tutoyer des sommets de poésie électrique et de mélancolie insidieuse.
Ouest France
par La Rédaction
Une vision plus poétique que désespérée ou nihiliste.
Paris Match
par Yannick Vely
Bien sûr, le jeune cinéaste cite à l’écran ses influences, de Hou Hsiao-hsien pour le quotidien des jeunes garçons et des jeunes filles, à Apichatpong Weerasethakul pour les envolées poétiques qui rythment le scénario, mais il trace le sillon de son propre cinéma, dans le prolongement de son documentaire. Celui du refus du dolorisme par un réenchantement du Cambodge par le cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Voici donc un petit miracle artisitque, dont la sensualité contamine tous les sens du spectateur pour longtemps.
Télérama
par Jacques Morice
Entre ivresse et spleen, réussites et rendez-vous manqués, Davy Chou sait représenter le temps qui passe trop vite ou pas assez pour une jeunesse qui a déjà le sentiment de vieillir.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Passionnant, chaleureux et sensuel, un portrait de la jeunesse cambodgienne.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Baignée dans un creuset onirique de sons, de couleurs et d’images, Diamond Island a tout d’une romance lumineuse dédiée à un peuple bien décidé à prendre son destin en main.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Axel Scoffier
C’est cette géographie amoureuse de Phnom Penh, de ses quartiers phares et de ses contre-allées, qui fait sans doute la principale force du film et lui offre ses plus belles scènes : deux corps serrés, lumineux, discutant sur le siège d’une moto.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Septième Obsession
par La Rédaction
Un beau film.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
La mise en scène, au service d’un récit qui évoque celui de Rusty James, de Francis Ford Coppola, puise aussi ses influences dans le répertoire des figures du cinéma asiatique (...). Autant de références plus que respectables pour un jeune cinéaste qui cherche sa voix, mais qui rendent Diamond Island moins original, moins puissant que Le Sommeil d’or.
Le Parisien
par Renaud Baronian
Davy Chou signe une oeuvre assez lente mais offrant des moments envoûtants, dont de magnifiques scènes nocturnes.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
(...) ce qui aurait pu faire la force du film, premier long métrage de fiction du réalisateur remarqué du Sommeil d’or, documentaire sur l’éradication de l’industrie du cinéma cambodgien sous les Khmers rouges, en vient à le plomber, l’hyper-esthétisation et l’intrigue pleine de non-dits nous laissant peu à peu au dehors.
La critique complète est disponible sur le site Libération
L'Express
par Eric Libiot
Premier long métrage d'un cinéaste trentenaire qui réussit à humer l'air du temps, mais n'évite pas l'écueil du film d'auteur au fil du temps, avec ses moments d'ennui.
Culturopoing.com
"Diamond Isand" (...) irise les corps dans un magnifique écrin pop, dissout les aspirations de sa jeunesse dans le scintillement d’un luxe fallacieux. Diamond Island est un film de lux sur un monde de luxe. Ou l’inverse.
Positif
L'artificialité plastique de son cinéma nous invite, telle une Alice en version pop, à l'accompagner sans retenue dans cette chute vers un ailleurs dangereusement séduisant.
Cahiers du Cinéma
L’empreinte enivrante que laisse le film est celle du flottement qu’installe sa mise en scène, qui gomme tout ce qui pourrait être un tour de force scénaristique ou dramatique pour rendre presque invisible le passage d’un état, d’un lieu, ou d’un régime à un autre.
CinemaTeaser
Un teen movie atmosphérique et délicat.
L'Obs
Le documentaire "le Sommeil d’or", sur le cinéma cambodgien disparu sous la dictature khmère rouge, avait révélé Davy Chou. Il fait mieux que confirmer son talent avec sa première fiction aux couleurs pop sur une jeunesse ignorée et interprétée par elle-même. Après les fantômes du passé, Chou filme les mirages du présent. Et c’est beau.
La Croix
Ce deuxième long métrage confirme le talent d’un jeune cinéaste français d’origine cambodgienne, qui signe un envoûtant portrait de génération.
La Voix du Nord
L’on gardera longtemps en mémoire ce dont est constitué ce troublant exercice de style : la justesse des acteurs, le cadre, la palette chromatique, le rythme, la musicalité des plans, la sensualité des images, leur caractère chorégraphique, le rapport sensoriel à la mise en scène. Tout ce qui constitue la magie du cinéma.
Le Dauphiné Libéré
Davy Chou, inspiré par les grands cinéastes asiatiques, traduit les rêves d’une jeunesse tendue vers le futur, dans une forme flashy qui épouse la mutation profonde de son pays.
Le Figaro
La chronique réaliste est traversée de belles séquences nocturnes, pop et élégiaques.
Le Journal du Dimanche
C’est un récit simple, d’une grande beauté plastique, semé d’effets spéciaux stupéfiants, où aucun détail de mise en scène n’est laissé au hasard.
Les Fiches du Cinéma
Le deuxième film de Davy Chou s’impose par sa narration poétique et sa mise en scène enchanteresse.
Les Inrockuptibles
Si le contexte socio-politique assure de solides fondations à son film, Davy Chou s'en élève avec une facilité incroyable pour aller tutoyer des sommets de poésie électrique et de mélancolie insidieuse.
Ouest France
Une vision plus poétique que désespérée ou nihiliste.
Paris Match
Bien sûr, le jeune cinéaste cite à l’écran ses influences, de Hou Hsiao-hsien pour le quotidien des jeunes garçons et des jeunes filles, à Apichatpong Weerasethakul pour les envolées poétiques qui rythment le scénario, mais il trace le sillon de son propre cinéma, dans le prolongement de son documentaire. Celui du refus du dolorisme par un réenchantement du Cambodge par le cinéma.
Studio Ciné Live
Voici donc un petit miracle artisitque, dont la sensualité contamine tous les sens du spectateur pour longtemps.
Télérama
Entre ivresse et spleen, réussites et rendez-vous manqués, Davy Chou sait représenter le temps qui passe trop vite ou pas assez pour une jeunesse qui a déjà le sentiment de vieillir.
Voici
Passionnant, chaleureux et sensuel, un portrait de la jeunesse cambodgienne.
aVoir-aLire.com
Baignée dans un creuset onirique de sons, de couleurs et d’images, Diamond Island a tout d’une romance lumineuse dédiée à un peuple bien décidé à prendre son destin en main.
Critikat.com
C’est cette géographie amoureuse de Phnom Penh, de ses quartiers phares et de ses contre-allées, qui fait sans doute la principale force du film et lui offre ses plus belles scènes : deux corps serrés, lumineux, discutant sur le siège d’une moto.
La Septième Obsession
Un beau film.
Le Monde
La mise en scène, au service d’un récit qui évoque celui de Rusty James, de Francis Ford Coppola, puise aussi ses influences dans le répertoire des figures du cinéma asiatique (...). Autant de références plus que respectables pour un jeune cinéaste qui cherche sa voix, mais qui rendent Diamond Island moins original, moins puissant que Le Sommeil d’or.
Le Parisien
Davy Chou signe une oeuvre assez lente mais offrant des moments envoûtants, dont de magnifiques scènes nocturnes.
Libération
(...) ce qui aurait pu faire la force du film, premier long métrage de fiction du réalisateur remarqué du Sommeil d’or, documentaire sur l’éradication de l’industrie du cinéma cambodgien sous les Khmers rouges, en vient à le plomber, l’hyper-esthétisation et l’intrigue pleine de non-dits nous laissant peu à peu au dehors.
L'Express
Premier long métrage d'un cinéaste trentenaire qui réussit à humer l'air du temps, mais n'évite pas l'écueil du film d'auteur au fil du temps, avec ses moments d'ennui.