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    Le Fils de Joseph
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    44 critiques spectateurs

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    chrischambers86
    chrischambers86

    13 662 abonnés 12 398 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 12 avril 2024
    Ce qui le distingue de la majoritè de ses contemporains, c'est que Eugène Green a conservè une façon de pensèe mythique! Dans "Le fils de Joseph" (2015), il signe une histoire dont le simple dèroulement narratif exprime une ou plusieurs vèritès! Une mère refuse de dire à son fils qui ètait son père! Tout aurait pu s'arrêter là! Après c'est 1h50 d'ennui profond! Cette absence devient une obsession avec des rèfèrences culturelles, spirituelles et bibliques (l'Ancien et le Nouveau Testament reprèsentès en tableaux) qui passent toujours par des images dont on peine à s'immerger! Comme souvent Green ne cherche pas à comprendre ce que l'histoire signifie! D'abord il la laisse se dèvelopper puis de fil en aiguille commence à y voir un sens avec des èlèments propres au cinèaste qui accentue son esprit, dèjà là dans le coeur narratif! Bref, on se croirait dans un mauvais film de Bresson où la diction des acteurs (le pompon revient à Victor Ezenfis) vous dètruit à petit feu! Mais qu'est-venu faire Mathieu Amalric dans cette galère ???
    amelie verly
    amelie verly

    9 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 6 décembre 2022
    J ai pas trouvé la note 0 pour Victor qui joue le rôle de Vincent.il.ne joue pas il récite quel désastre le jeu est plat sans saveur heureusement que j ai vu ce film à la télé si c était au cinéma j aurais demandé le remboursement, d autres natacha remanier relève un peu le niveau natacha joue sans conviction à rc platitude
    Shiba Otoko
    Shiba Otoko

    46 abonnés 291 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 juin 2021
    Le film propose une forme de parabole biblique, ou quasiment, tout en étant ancré aussi à sa façon dans la réalité contemporaine. Ce jeu périlleux sur les contrastes convainc ici, et donne une nature unique au Fils de Joseph.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 517 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 22 septembre 2020
    L'affiche du film montre une femme assise sur un âne conduite par un homme et dans ce cas un garçon et avec un titre comme "Le Fils de Joseph" et des personnages appelés Marie et Joseph vous pourriez être pardonné de penser que le film d'Eugene Green est une sorte de prise moderne de l'histoire du Christ (les titres des chapitres font également allusion à la Bible). Cependant le lien est au mieux ténu alors que le jeune Vincent part à la recherche de son père biologique. Avec tous les personnages qui parlent comme au rythme d'un métronome et se comportent un peu comme des robots. Cela ressemble souvent à une comédie sans les blagues. Peut-être est ce une parodie de cinéma d'art français puisque son réalisateur est en fait américain bien que longtemps domicilié en France. Bien sûr vous pouvez le prendre au sérieux comme une sorte d'allégorie religieuse car les indices ne sont pas seulement tous là mais très bien reparti dans l'histoire. Ou simplement en profiter comme une sorte de métaphore. Ou comme moi pour être honnête ne rien trouver. Mais le choix comme on dit vous appartient...
    Dora M.
    Dora M.

    64 abonnés 499 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 avril 2020
    J’ai d’abord cru à une blague en découvrant le premier vrai dialogue entre Vincent et un copain, mais malheureusement cela a duré tout le film : les dialogues sont totalement robotisés, monocordes, pas joués, récités avec toutes les liaisons phonétiques mêmes les plus improbables (quelques exemples : “je te poserai la question (n) autant de fois que nécessaire”, “mon enfant (t) est né”, “monsieur (r) Oscar”, etc.). L’effet est voulu bien sûr, le problème c’est que cela ne permet pas de rentrer dans l’histoire, le spectateur est totalement détourné du sujet, on ne développe aucune empathie pour les personnages, c’est ridicule et donne juste l’impression d’avoir créé un effet de style bobo intello (assez étrangement les bobos sont critiqués d’ailleurs alors que le film est bien dans cette veine). De plus, cette façon ampoulée de s’exprimer ne crée aucune chaleur, aucune ambiance entre les personnages, et c’est assez ennuyeux pour un spectateur.
    Le héros (pas du tout attachant) est Vincent (Victor Ezenfis), il vit avec sa mère (Natacha Régnier) et ne connaît rien de son père jusqu’au jour où il tombe sur une lettre. Il découvre alors que son père est Oscar Pormenor, un éditeur très antipathique qu’il va chercher à connaître. Ce faisant, il fait la rencontre de Joseph, le frère d’Oscar avec qui il se sent tout de suite très bien.
    Les personnages sont assez caricaturaux, leur interprétation robotisée n’arrange rien. Le plus crédible malgré tout, à mon avis, est Mathieu Amalric. Cette façon de parler si particulière sonne assez naturellement dans sa bouche et est plutôt crédible vu son personnage de bourgeois parisien.
    L’intrigue, faisant des références évidentes à ma Bible est cousue de fil blanc ( spoiler: on se doute rapidement que Joseph va prendre la place du père de Vincent et va tomber amoureux de sa mère qui s’appelle justement Marie, le tout entouré de vaches et d’un âne
    ).
    Bref, je n’ai pas du tout accroché.
    dardar341
    dardar341

    1 abonné 34 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 28 décembre 2018
    Lent et ennuyeux. du déjà vu sur le parallèle avec la bible pour le fond. Pour la forme, plan fixe, lumières hypothétiques (éclairage par le sol dans un restaurant) et diction avec des "liaisons dangereuses" appuyées qui font parfois saigner les oreilles. Les acteurs ont tellement l'air de s'ennuyer qu'ils contaminent le spectateur.
    Le seul intérêt de ne pas s'endormir est de voir une fin hasardeuse et de se dire "j'ai tenu". même si c'est différent cela n'est pas un bon film.
    gagnez 2 heures passez votre chemin.
    elle.aile
    elle.aile

    4 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 5 février 2018
    Ce film est en tête de liste des pires films que j'ai vus (sur Canal et pas au cinéma heureusement). Dès le premier dialogue, j'ai pensé à un jeu entre deux ados... mais non la suite du film reste sur un ton de dictée avec des liaisons bien appuyées, avec une syntaxe que personne n'utilise pour de vrai, avec les acteurs figés. Je ne peux rien dire sur le traitement de l'histoire car cette mise en scène était au-delà du supportable et j'ai vite mis fin au supplice.
    J'ai juste de la peine pour les acteurs, les jeunes surtout, qui ont dû accepter de servir la vision très personnelle du metteur en scène.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 20 novembre 2017
    Nul, je n'ai jamais vu un film aussi mal jouer, on dirait que les acteurs lisent leur texte. L'histoire est plate comme la mer par temps calme .Je me demande ce que certains acteurs sont venus faire dans cette nullité.
    JR Les Iffs
    JR Les Iffs

    73 abonnés 1 151 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 octobre 2017
    Très beau film de Eugène Green. Conformément à ses précédents métrages, le jeu blanc des acteurs peut gêner au début, mais n'altère en rien la qualité du film. Avec un scénario très original, un sujet philosophique et psychanalytique spoiler: (la recherche du père, la mort du père)
    , c'est un film profond, intelligent et à référence biblique (voir le titre des chapitres, et les tableaux peints). Les acteurs sont excellents (Natacha Régnier, sublime, Maria de Medeiros, toujours aussi jolie), la réalisation est assez neutre, mais la photographie est excellente, et les plans sont souvent de toute beauté. On est toujours à fleur d'émotion, et à mille lieues des productions françaises habituelles. Eugène Green est une perle rare (et indispensable) dans le cinéma français.
    DimDim72
    DimDim72

    6 abonnés 274 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 7 mai 2017
    Je n'ai vraiment pas adhéré à l'oeuvre et après 30 minutes je regardais le film d'un oeil et je gérais mes mails de l'autre oeil, tellement il était ennuyeux, artificiel et prétentieux. Les dialogues sont énoncés sur un ton artificiel et théâtral, l'histoire est ennuyeuse, le spectateur est pris pour un idiot. C'était vraiment insupportable et c'est dommage car l'histoire aurait pu donner quelque chose d'intéressant.
    FaRem
    FaRem

    8 593 abonnés 9 496 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 19 avril 2017
    Décidément, je n'accroche pas du tout au travail d'Eugène Green, car après "La Sapienza" que j'avais détesté, je n'ai pas plus accroché à ce film qui pourtant abordait un sujet plus intéressant du moins sur le papier. Le problème n'est pas le fond, mais la forme avec des choix certes assumés de la part du réalisateur qui va au bout de ses idées seulement ce n'est pas du tout à mon goût. C'est un film qui ne dégage rien, la mise en scène est froide et le débit de parole robotique des acteurs est vraiment insupportable surtout quand on voit la même chose pendant presque deux heures... Ça se veut un peu décalé, mais il n'en est rien, c'est juste un film pénible à regarder, sans intérêt et profondément ennuyeux.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 141 abonnés 5 118 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 novembre 2016
    Avec son rythme lent et son langage élégant et précieux, le film se déroule sous forme de paraboles. Il y a dans l'esprit du fils une double incarnation de la pensée de Dieu. L'idée de la vengeance contre son père qui l'a abandonné et la joie offerte d'autre part de retrouver un meilleur père en la personne de Joseph.
    C'est élégant et malicieux. Dans le style, assez réussi.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 24 octobre 2016
    Alors là, ce film est un mystère: comment réussir à faire un super film en demandant aux acteurs de jouer comme dans un spectacle de fin d'année au collège?...ce cinéaste, parait-il, filme comme ça, mais ça vaut le coup d'oeil...s'y mêle une approche très...chrétienne (ben oui) du scénario, un film découpé en chapitres, une image splendide, et un humour quasi-permanent: avec exactement le même scénario au mot près, on aurait du avoir un film particulièrement tragique, là, pas du tout, c'est même le contraire! Et on rigole même pas mal...Alors bravo l'Artiste, vraiment du cinéma original, surprenant et d'une indubitable (non c'est pas un gros mot) qualité!
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 16 juillet 2016
    Ce film insolite confirme qu'Eugène Green s'est créé une vraie place dans le cinéma français. Lui, l'Américain de naissance, est le digne héritier de Rohmer pour la qualité de ses textes et dialogues. Moins préoccupé que son devancier par le désir de décrire une réalité sociale, il s'attache film après film à créer des personnages et des situations étranges qui marquent longtemps le spectateur qui rentre dans son jeu. Ses acteurs semblent toujours se régaler.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 10 juin 2016
    Le premier dialogue du film étonne: il sonne étonnamment faux. Un second encore plus. Les acteurs, sommés de jouer a minima, de faire absolument toutes les liaisons, de parler sur un ton impersonnel et déclaratif, sonnent faux. Puis, assez vite, on se laisse prendre au jeu : cette froideur absolue des mots donne finalement du relief à ce qui est dit, et permet quelques échanges saisissants, à la force absurde et symbolique. Cela ne dure malheureusement que 20 minutes.
    Car cette direction des acteurs (qui garde, qu'on le veuille ou non, quelque chose d'un élitisme tristement snob) pèse de plus en plus au fur et à mesure que le film avance, jusqu'à le pourrir entièrement. La métaphore biblique est d'une lourdeur éprouvante, les symboles omniprésents dans le film perdent toute force du fait même de la froideur que je viens de décrire. Les symboles n'ont d'utilité que s'ils entretiennent une dynamique forte avec le réel, avec la vie. Ici, il n'y a que des êtres résumés soit à une asocialité étrange (Marie, la mère), soit à une socialité vaine et pervertie (la réception littéraire). En résumé, il n'y a pas ou peu d'humains, alors que la seule chose dont a besoin ce film, c'est d'incarnation, d'une mise en valeur effective (et non pas seulement suggérée par un regard-furtif-qui-veut-tout-dire d'un acteur à un autre) de la pléthore de symboles qui y sont développés. Les quelques esquisses d'humains qu'on y trouve (grosso modo, le duo fils-père spirituel se développant petit à petit) transmettent peu, voire rien dans le cas de Victor Ezenfis, dont la blancheur du visage accentue d'autant plus l'inexpressivité et la vacuité de chacune de ses paroles. Bref, le concept initial (qui semblerait être la marque de fabrique de Green ! dont je n'ai pas vu d'autre long-métrage) gâche le film, qui de plus, dans le fond, n'a pas grand chose à dire d'original ou d'intéressant: une critique de la bourgeoisie et des milieux littéraires facile et on ne peut plus banale, l'importance d'une transmission et d'un "enracinement", une modernisation du message biblique (et encore)...
    A noter que le meilleur moment du film fut pour moi le générique d'introduction et sa sublime musique :)
    Amalric, jouant Oscar Pormenor, peut-être parce que, justement, sa diction garde un certain naturel, parce que sa présence est phénoménale, et aussi parce qu'il a le rôle le plus intéressant, est largement au-dessus du lot. Sa voix grave, ses répliques ( spoiler: Oscar : "J'ai une femme 5 enfants dont je dois m'occuper" Son frère : "Tu as trois enfants Oscar", réponse d'Oscar: "je ne fais pas dans les détails" ; ou plus loin: "Satan qui régnez sur ce monde, protégez-moi des emmerdeurs"
    ), sa violence, ses désirs, le fait que lui soit une synthèse cohérente d'intimité et de sociabilité... Finalement, Pormenor/Amalric est le seul personnage incarné de tout le film, et à ce titre là, toute la symbolique dont les textes débordent aboutit, car elle est portée par un humain, auquel on croit en tant qu'humain. Humain de chair et de voix. Voix grave.
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