Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Critikat.com
par Marie Gueden
"Le Fils de Joseph" s’appréhende encore plus qu’un autre film d’Eugène Green comme un appel lancé au Verbe.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Transfuge
par Damien Aubel
(...) ce "Fils de Joseph" aux chromatismes splendides, à la mise en scène à la fois tracée au cordeau et sensuelle, avec ses visages saisis frontalement en gros plan, son travail sur la lumière, palpitante, vivante en un mot, transfigure des données tellement familières qu'on les croyait usées jusqu'à la trame.
Bande à part
par Olivier Bombarda
Cinéaste rare et précieux, Eugène Green nous livre un film plus que jamais inspiré de culture chrétienne, divisé en chapitres explicites. Fidèle à son esthétique, il préconise l’atonalité du jeu des acteurs, néanmoins tous intenses, au bénéfice d’un amour sourcilleux de la langue française et de ses liaisons, de musique baroque, de plans frontaux, quasi pasoliniens dans leur sacralité.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
La Croix
par Emmanuelle Giulian
Un nouveau film d’Eugène Green signifie à chaque fois une expérience cinématographique contemplative et singulière. Le Fils de Joseph ne fait pas exception, parcours inquiet puis radieux d’un adolescent en mal de père.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
L’art réjouissant du contrepoint résume toute la méthode d’un cinéaste, artiste unique à palette d’inspirations aussi éclectique qu’exhaustive.
Libération
par Julien Gester
Outre la satire grotesque des cénacles artistiques et de leurs argentiers, la quête, aux accents mythologiques ouvragés, d’une impossible rencontre.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Eithne O'Neill
Oubliez les poncifs galvaudés d'un tel sujet. Tout est dans l'art, dans la contrepartie de la solennité qui est la légèreté de l'être.
Studio Ciné Live
par Thierry Chèze
(Green) signe l'un de ses meilleurs films.
Sud Ouest
par Sophie Avon
On s’amuse bien tout en ressentant cette exigence d’une proposition qui témoigne d’un rêve de beauté à travers l’art, la culture et l’humour, sans lesquels la planète serait un enfer. Celle d’Eugène Green est un régal à arpenter.
Télérama
par Jacques Morice
Le film est peut-être moins surprenant que ceux tournés par Eugène Green précédemment. Mais il est harmonieux, soigné dans son excentricité, beau à voir autant qu'à entendre, notamment lors d'un magnifique moment chanté de Domenico Mazzocchi.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
"Le Fils de Joseph" est -volontairement schématique, mais du schématisme à la caricature il n’y a qu’un pas.
L'Obs
par Pascal Mérigeau
La satire des milieux littéraires est bienvenue, mais Green, qui apparaît dans son film en concierge d'hôtel, ne se satisfait pas de donner dans la caricature. Il fait en sorte que l'émotion advienne et l'entretient au moyen de pièces musicales du baroque italien données in extenso.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Au fil de variations autour des figures paternelles des Ancien et Nouveau Testaments, Green décline avec élégance son système formel, mais sans beaucoup le renouveler.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Bien que modelés par le système Green, les acteurs s’en sortent admirablement (…) Ils contribuent à faire de ce film un conte initiatique qui allie la beauté d’un Bresson au sourire farceur d’un Luc Moullet ou d’un Tati.
Critikat.com
"Le Fils de Joseph" s’appréhende encore plus qu’un autre film d’Eugène Green comme un appel lancé au Verbe.
Transfuge
(...) ce "Fils de Joseph" aux chromatismes splendides, à la mise en scène à la fois tracée au cordeau et sensuelle, avec ses visages saisis frontalement en gros plan, son travail sur la lumière, palpitante, vivante en un mot, transfigure des données tellement familières qu'on les croyait usées jusqu'à la trame.
Bande à part
Cinéaste rare et précieux, Eugène Green nous livre un film plus que jamais inspiré de culture chrétienne, divisé en chapitres explicites. Fidèle à son esthétique, il préconise l’atonalité du jeu des acteurs, néanmoins tous intenses, au bénéfice d’un amour sourcilleux de la langue française et de ses liaisons, de musique baroque, de plans frontaux, quasi pasoliniens dans leur sacralité.
La Croix
Un nouveau film d’Eugène Green signifie à chaque fois une expérience cinématographique contemplative et singulière. Le Fils de Joseph ne fait pas exception, parcours inquiet puis radieux d’un adolescent en mal de père.
La Septième Obsession
L’art réjouissant du contrepoint résume toute la méthode d’un cinéaste, artiste unique à palette d’inspirations aussi éclectique qu’exhaustive.
Libération
Outre la satire grotesque des cénacles artistiques et de leurs argentiers, la quête, aux accents mythologiques ouvragés, d’une impossible rencontre.
Positif
Oubliez les poncifs galvaudés d'un tel sujet. Tout est dans l'art, dans la contrepartie de la solennité qui est la légèreté de l'être.
Studio Ciné Live
(Green) signe l'un de ses meilleurs films.
Sud Ouest
On s’amuse bien tout en ressentant cette exigence d’une proposition qui témoigne d’un rêve de beauté à travers l’art, la culture et l’humour, sans lesquels la planète serait un enfer. Celle d’Eugène Green est un régal à arpenter.
Télérama
Le film est peut-être moins surprenant que ceux tournés par Eugène Green précédemment. Mais il est harmonieux, soigné dans son excentricité, beau à voir autant qu'à entendre, notamment lors d'un magnifique moment chanté de Domenico Mazzocchi.
Cahiers du Cinéma
"Le Fils de Joseph" est -volontairement schématique, mais du schématisme à la caricature il n’y a qu’un pas.
L'Obs
La satire des milieux littéraires est bienvenue, mais Green, qui apparaît dans son film en concierge d'hôtel, ne se satisfait pas de donner dans la caricature. Il fait en sorte que l'émotion advienne et l'entretient au moyen de pièces musicales du baroque italien données in extenso.
Les Fiches du Cinéma
Au fil de variations autour des figures paternelles des Ancien et Nouveau Testaments, Green décline avec élégance son système formel, mais sans beaucoup le renouveler.
Les Inrockuptibles
Bien que modelés par le système Green, les acteurs s’en sortent admirablement (…) Ils contribuent à faire de ce film un conte initiatique qui allie la beauté d’un Bresson au sourire farceur d’un Luc Moullet ou d’un Tati.