Mon compte
    Nobody's Watching
    Note moyenne
    3,0
    78 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Nobody's Watching ?

    15 critiques spectateurs

    5
    1 critique
    4
    4 critiques
    3
    5 critiques
    2
    5 critiques
    1
    0 critique
    0
    0 critique
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    traversay1
    traversay1

    3 558 abonnés 4 856 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 avril 2018
    Un homme blond change la couche d'un bébé dans un parc new-yorkais sous le regard d'émigrées latinas qui lui trouvent un air de ressemblance avec un acteur de telenovela. Et pour cause. Après notamment Le dernier été de la Boyita, le troisième film de l'argentine Julia Solomonoff est une chronique, cette fois d'un exilé volontaire, et temporaire, l'un de ses compatriotes qui compte faire évoluer sa carrière, tout en essayant d'oublier une aventure sentimentale. Nobody's watching est de plus en plus mélancolique au fil des minutes, trouvant un rythme presque languissant alors que son héros a un emploi du temps très chargé, vie trépidante dans la Grosse Pomme oblige, le plus souvent consacré à de petits boulots, comme celui de nounou pour ses amies. Le héros du film n'est plus vraiment acteur, n'est pas père et est-il encore latino, du fait de la couleur de ses cheveux ? Son identité devient de plus en plus flou malgré sa volonté et un certain optimisme de façade. Nobody's watching, en dépit d'une mise en scène sans trop d'éclat, parvient à faire sentir au spectateur le déracinement de son personnage et sa solitude qui ne fait que s'amplifier. Sans chercher à tout prix l'émotion et plutôt subtilement. Un cheminement triste et douloureux qu'elle n'accentue jamais et traite avec infiniment de pudeur.
    Kinopoivre
    Kinopoivre

    29 abonnés 200 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 avril 2018
    Nicolás est un comédien argentin, et, dans son pays, il a été acteur pour une série à succès, mais il l’a abandonnée afin de tenter sa chance à New York, où, croit-il, il aura de meilleurs rôles. Mais il ne trouve aucun engagement, et gagne un peu d’argent en gardant des bébés. Même le fait d’y rencontrer une productrice influente, naguère rencontrée à Cannes, et qui accepte de lui trouver des auditions, ne donne rien. Finalement, il abandonne et rentre à Buenos Aires, où, probablement, il va renouer avec la série télévisée qu’il avait abandonnée.

    Le but du film était de montrer qu’on ne gagne rien à se couper de sa culture d’origine, et qu’on n’y gagne guère que de la solitude. Mais n’est-ce pas évident ? Cette histoire d’un échec – un peu mérité – était bien mince, et, en dépit du charisme de son interprète, n’a guère intéressé le public.

    Une bourde relevée dans les justifications de la réalisatrice : « En Argentine, sous la dictature militaire de Pinochet, on ignorait ce qui arrivait aux gens enlevés ». Ah bon, Pinochet a été le dictateur de l’Argentine ? On croyait qu’il avait sévi au Chili !
    Ufuk K
    Ufuk K

    516 abonnés 1 473 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 avril 2018
    " nobody's watching " est une comédie dramatique Argentine plutôt plaisante. En effet même si j'ai trouvé le début un peu poussif, je fus touche devant le portrait de cet homme seul, laisse par tous avec une vision du monde du cinéma et de la vie urbaine cruelle porte par un acteur principal au plus juste.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 355 abonnés 4 167 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 avril 2018
    Nobody’s Watching est une petite pépite du cinéma indépendant qui met en scène un jeune acteur argentin venu s’installer à New York. S’il espère trouver un rôle, il est surtout venu ici pour fuir un passé douloureux, notamment une relation amoureuse et secrète avec le producteur de la série dans laquelle il jouait. Personne n’a l’air de se rendre compte de son mal-être. Nico fait alors du baby-sitting et sous-loue un appartement entre deux auditions. Mais ces dernières ne semblent être qu’humiliation ; pas assez typé, pas assez brun, pas assez musclé. Nico cherche alors à oublier avec ses amants d’une soirée. Filmé avec une attention très touchante, le comédien Guillermo Pfening insuffle une dimension poignante à son personnage. Les thèmes de l’immigration ou de l’homosexualité sont au cœur de l’intrigue, mais ne sont jamais les seuls moteurs. Nobody’s Watching est une chronique réaliste qui oscille sans difficulté entre humour et dramaturgie.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 3 mai 2018
    Il vaut mieux être roi c’est soi que rien autre part.
    Un long long métrage pour expliquer moins bien ce qu’un court peut faire très bien.
    Gentilbordelais
    Gentilbordelais

    311 abonnés 2 965 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 septembre 2023
    Une parenthèse new-yorkaise en guise de chronique, bercée de galères, d'illusions et de mensonges. Une forme de désenchantement masqué devient alors le fil rouge de ce drame. Mais il nous laisse sur notre faim, par manque de densité, de contenu, de force et son personnage central n'est pas si attachant.
    Guiciné
    Guiciné

    161 abonnés 1 240 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 mai 2018
    Un film plutôt réussi et intéressant grâce au scénario qui arrive à nous surprendre et à trouver une certaine originalité, sans pour autant crier au génie. À voir.
    Stéphane C
    Stéphane C

    59 abonnés 389 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 avril 2018
    Une petite pépite du cinéma indépendant très agréable à regarder qui traite de la précarité résultant de l’expatriation et du déni de l’échec ...
    Daniel C.
    Daniel C.

    145 abonnés 721 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 avril 2018
    L'exil, c'est souvent partir, quelquefois même fuir. C'est ce qui a motivé Nico, un comédien argentin, à venir tenter sa chance à New York, après avoir été l'un des héros d'une série télévisée dans son Argentine natale. New York est un personnage central du film, c'est d'abord cette ville peuplée de gens divers, de modes de déplacements, d'expression extrêmement diversifiés. A New York, incarnation des Etats-Unis, il est possible de survivre à coups de petits boulots. Nico escompte un rôle et de fait entrer en piste dans son métier à New York. Il défie les caméras de surveillance des magasins, qui le filment, mais ne le remarquent pas. L'anonymat, lorsqu'on est acteur, ce peut être reposant lorsqu'on travaille, mais lorsqu'on ne joue aucun rôle, lorsqu'on n'est plus "reconnu", c'est angoissant. Le rythme du film semble parfois un peu lancinant, mais peu à peu, nous nous laissons entrainer à accompagner le quotidien de ce garçon, qui se déplace à bicyclette dans l'espace new-yorkais.Vivant en colocation, il s'organise comme il peut pour sauver les apparences. Alors qu'il pourrait tout à fait se décourager, on le sent inventif et sincère dans son positionnement existentiel. Il ne semble jamais à court d'idées pour survivre et continuer d'exister. Très prisé comme babysitter masculin (à juste titre d'ailleurs), il aspire néanmoins à exercer son métier. L'instabilité professionnelle actuelle n'est supportable, que parce qu'un espoir d'au-delà existe pour lui. Lorsqu'il met en scène sa réalité, il sauve la face, mais ce n'est pas son narcissisme, qui le gouverne, plutôt l'espoir de s'en sortir, de ne pas "se griller" en tant que comédien. Parfois, lorsque la tristesse le gagne, on sent que son départ d'Argentine a obéi à un réel désarroi, à un désespoir face à une situation insoluble. Nous verrons une nouvelle fois combien le lien d'emprise peut être ravageur et saboter le talent. "Personne ne regarde" énonce le pervers. C'est le drame de Nico, qui lui, est capable de regarder et d'affronter la réalité en face, quelle qu'elle soit. La seule issue, c'est de quitter ce lien d'emprise. Pour ce faire, la distance géographique reste parfois insuffisante, seul le courage de dire non à son prédateur, à son oppresseur, peut permettre d'envisager de recouvrer la liberté d'agir, de créer, d'exister pour soi.
    Min S
    Min S

    57 abonnés 453 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 avril 2018
    Très bon drame argentin, histoire d’amour déchirante et choix de vie. L’acteur principal est excellent. L’ambiance réaliste.
    Je le conseille fortement. ✔�🤩
    Scénario Catastrophe
    Scénario Catastrophe

    30 abonnés 156 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 mai 2018
    J'ai eu la sensation étrange que ce film était infiniment long, sans pour autant m'ennuyer. Il y a beaucoup de plans, on traverse de nombreuses saisons : un an dans le calvaire de Nico, un personnage qui a tout pour plaire. Il y a des idées intéressantes : le groupe de nounous colombiennes, lui qui est blond, lui à travers les caméras aveugles du supermarché, lui qui se cache à travers différents rôles.
    Koalahama
    Koalahama

    7 abonnés 198 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 mai 2018
    Trop de passages lents et ennuyeux, mais cela se laisse regarder. Puis de belles images de New York !
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 28 avril 2018
    Film très touchant mais trop long. Quelle galère pour pour accéder à cette carte verte !!!! Super coproduction et je suivrais de près les acteurs principaux.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 10 mai 2018
    Je pense que le film est très bien et très passionnant, il a dit que la vie de acteurs,il est amour homosexual,il a présenté comme les autres personnes traitement l’acte.
    Sage est celui qui sait prendre, mais aussi laisser le moment venu
    Si la vie est un voyage, le plus important, c'est le cheminement, pas la fin
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 8 mai 2018
    Naturellement, maîtrise, mais semble le manque de faits saillants.

    Le rêve américain de tout le monde ne peut pas se réaliser.
    un parce que les
    Les meilleurs films de tous les temps
    Back to Top