Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Cette balade superbement filmée a un charme fou, à l'image de son acteur principal.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un film tout en petites touches et en notations sensibles, dans un New York filmé comme un lieu à la fois attirant et hostile, où le personnage se perd dans l’anonymat et se retrouve seul confronté à sa vérité profonde.
Le Parisien
par La Rédaction
Un casting charismatique et New York merveilleusement filmée.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Marian savamment ironie et subtilité, Julia Solomonoff signe une chronique cruelle et touchante sur la condition d’acteur immigré.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Marian savamment ironie et subtilité, Julia Solomonoff signe une chronique cruelle et touchante sur la condition d’acteur immigré.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Ariane Allard
De balade douce-amère sur l'exil choisi, "Nobody's Watching" se mue alors, sans forcer, en un récit d'émancipation personnel. Poignant.
Transfuge
par Sidy Sakho
Une variation réussie sur la grande ville impersonnelle.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Pas vraiment d’intrigue dans "Nobody's Watching", mais une belle histoire. Plutôt un beau portrait d’homme, en quête d’un présent et d’avenir si affinité.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Formellement classique, cet itinéraire d’un comédien paumé est touchant et pertinent sur le fond.
Le Monde
par Murielle Joudet
Modeste, Nobody’s Watching n’en est pas moins un film juste, dont la gestion de la durée s’apparente à une série télévisée qui tiendrait en un unique épisode.
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Si le film réserve un traitement très tendre et assez subtil à son personnage principal (...), il s’achève sur une note maladroitement cynique qui semble nous dire que l’exil est impossible. On aurait espéré un peu plus de réconfort.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Marcos Uzal
Bien que très platement réalisé, "Nobody’s Watching" intrigue par cette obstination à suivre une vie qui n’intéresse personne, à offrir des spectateurs à cet acteur qu’aucun producteur ne veut engager, à consacrer tout un film à celui qui désespère de ne pas faire de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Christophe Narbonne
Passé l’écueil de l’énième variation sur un même thème, on se prend un peu d’affection pour ce personnage anecdotique qui trimballe son spleen (artistique et amoureux) dans un New York populaire et cosmopolite, rarement filmé.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
i ce scénario n'a pas l'originalité comme qualité première, il a le mérite d'être sincère.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Critikat.com
par Thomas Choury
La fraîcheur initiale se flétrit, se renferme trop vite sur son objet, transformant son personnage-témoin de son temps en un personnage fétichisé et s’enfonce dans une impasse.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Huit ans après son précédent film, le singulier Dernier Été de la Boyita, Julia Solomonoff revient avec une nouvelle histoire de différence sexuelle, qui détermine une partie des actions du héros loser. Mais cela reste peu signifiant dans cette œuvre hétérogène sur la vie quotidienne à New York qui frise la banalité absolue.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par François Forestier
Oui, le personnage est sympa, la réalisatrice le cerne bien et New York est une cité spectaculaire. Mais le fil dramatique est mince, et le film n'a aucune nécessité. Joli, et inutile. Le titre dit tout, d'ailleurs.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par La Rédaction
Un film bien joué et réalisé. Dommage que le scénario manque de puissance.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Télérama
par Louis Guichard
La réalisatrice joue habilement avec l’invisibilité de l’étranger dont le travail devrait consister à être regardé. Mais le fait que le jeune homme puisse à tout moment retrouver son confort à Buenos Aires désamorce la charge dramatique de son exil… Au second plan, le film évoque l’amour retors qui a déclenché la fuite du héros. Cette piste aussi promet, puis déçoit, estompée trop vite dans un dénouement un rien naïf.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Femme Actuelle
Cette balade superbement filmée a un charme fou, à l'image de son acteur principal.
Le Dauphiné Libéré
Un film tout en petites touches et en notations sensibles, dans un New York filmé comme un lieu à la fois attirant et hostile, où le personnage se perd dans l’anonymat et se retrouve seul confronté à sa vérité profonde.
Le Parisien
Un casting charismatique et New York merveilleusement filmée.
Les Fiches du Cinéma
Marian savamment ironie et subtilité, Julia Solomonoff signe une chronique cruelle et touchante sur la condition d’acteur immigré.
Les Fiches du Cinéma
Marian savamment ironie et subtilité, Julia Solomonoff signe une chronique cruelle et touchante sur la condition d’acteur immigré.
Positif
De balade douce-amère sur l'exil choisi, "Nobody's Watching" se mue alors, sans forcer, en un récit d'émancipation personnel. Poignant.
Transfuge
Une variation réussie sur la grande ville impersonnelle.
Franceinfo Culture
Pas vraiment d’intrigue dans "Nobody's Watching", mais une belle histoire. Plutôt un beau portrait d’homme, en quête d’un présent et d’avenir si affinité.
Le Journal du Dimanche
Formellement classique, cet itinéraire d’un comédien paumé est touchant et pertinent sur le fond.
Le Monde
Modeste, Nobody’s Watching n’en est pas moins un film juste, dont la gestion de la durée s’apparente à une série télévisée qui tiendrait en un unique épisode.
Les Inrockuptibles
Si le film réserve un traitement très tendre et assez subtil à son personnage principal (...), il s’achève sur une note maladroitement cynique qui semble nous dire que l’exil est impossible. On aurait espéré un peu plus de réconfort.
Libération
Bien que très platement réalisé, "Nobody’s Watching" intrigue par cette obstination à suivre une vie qui n’intéresse personne, à offrir des spectateurs à cet acteur qu’aucun producteur ne veut engager, à consacrer tout un film à celui qui désespère de ne pas faire de cinéma.
Première
Passé l’écueil de l’énième variation sur un même thème, on se prend un peu d’affection pour ce personnage anecdotique qui trimballe son spleen (artistique et amoureux) dans un New York populaire et cosmopolite, rarement filmé.
Rolling Stone
i ce scénario n'a pas l'originalité comme qualité première, il a le mérite d'être sincère.
Critikat.com
La fraîcheur initiale se flétrit, se renferme trop vite sur son objet, transformant son personnage-témoin de son temps en un personnage fétichisé et s’enfonce dans une impasse.
L'Humanité
Huit ans après son précédent film, le singulier Dernier Été de la Boyita, Julia Solomonoff revient avec une nouvelle histoire de différence sexuelle, qui détermine une partie des actions du héros loser. Mais cela reste peu signifiant dans cette œuvre hétérogène sur la vie quotidienne à New York qui frise la banalité absolue.
L'Obs
Oui, le personnage est sympa, la réalisatrice le cerne bien et New York est une cité spectaculaire. Mais le fil dramatique est mince, et le film n'a aucune nécessité. Joli, et inutile. Le titre dit tout, d'ailleurs.
Le Figaro
Un film bien joué et réalisé. Dommage que le scénario manque de puissance.
Télérama
La réalisatrice joue habilement avec l’invisibilité de l’étranger dont le travail devrait consister à être regardé. Mais le fait que le jeune homme puisse à tout moment retrouver son confort à Buenos Aires désamorce la charge dramatique de son exil… Au second plan, le film évoque l’amour retors qui a déclenché la fuite du héros. Cette piste aussi promet, puis déçoit, estompée trop vite dans un dénouement un rien naïf.