AlloCiné
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Ce soir j'ai assisté à la projection du documentaire "Merci Patron", j'ai trouvé que c'est une véritable pépite d'intelligence, d'humour, d'humanité, on sort de là un peu abasourdi, heureux, joyeux, d'avoir suivi ce projet assez simple au départ qui se transforme très vite en fable contemporaine, ou Ruffin tient le rôle du robin des bois 3.0... On pleure on rit, on se cramponne au siège pendant certaines caméra caché, on se pince tellement on a du mal à y croire par instant. A la fin du générique les spectateurs ont célébré ce moment en applaudissant généreusement. A découvrir, à partager, sans modération.
Voilà un film qu'il fait du bien ! Militant mais pas chiant, du suspense, de l'aventure et bien plus encore, si il ne passe pas encore chez vous allez voir votre cinéma favori pour réclamer d'urgence qu'il soit mis à l'affiche, yeaaahh
Insupportable, toute la vulgate coco concentrée dans 1h30 d'un One Man Show certes bien huilé mais ô combien insidieux et mensonger. Que dire face à tant de mauvaise foi? Pas grand chose si ce n'est que le militantisme l'emporte sur l'investigation journalistique. On est dans l'anathème. Ca plaira sûrement aux sympathisants coco mais ça ne sera pas suffisant pour emporter l'adhésion collective. Le discours est primaire et grossier. Cessons d'accuser les entrepreneurs qui créent de la richesse et de l'emploi. L’unité nationale doit l'emporter face à ces jalousies mesquines. Il est temps de reconstruire les bases de notre économie et non de les saper
Un navet propagandiste où les patrons sont moqués et montrés du doigt. Certes, c'est de bonne guerre, mais il y a tellement d'approximations et de contre-vérités dans ce docu qu'on finit par grincer des dents. En même temps il serait illusoire d'attendre de l'objectivité de la part de Fakir et de son éminent représentant, François Ruffin
On n'y crois pas mais c'est vrai! une histoire qui donne de l'espérance en une société plus juste...merci pour ce travail.
Vraiment très bien. J'ai embarqué famille et amis, manque juste le grand père, et du coup on va y retourner. Ah, ça fait du bien, ça venge de toutes ces paroles creuses hypnotisantes entendues à la télé, à la radio, par des "experts" spécialistes de l'enfumage. On se sent léger, on a le sentiment que la baudruche se dégonfle et qu'un monde d'humanité vraie redevient possible.
Et tout ça avec un fou rire ! merci infiniment à la malicieuse équipe, à l'espiègle réalisateur de ce coup de maître.
Et tout ça avec un fou rire ! merci infiniment à la malicieuse équipe, à l'espiègle réalisateur de ce coup de maître.
J'ai adoré ! Dans la salle, de l'émotion, des rires, des larmes aux yeux face à la détresse de cette famille qui en rappelle tant d'autres... Mais que de plaisir de faire leur connaissance !.. J'espère que François Ruffin continuera à nous régaler de ces productions, celle sur la loi qui casse le code du travail est sur la bonne voie déjà !
J'avais lu de bonnes critiques donc je me suis dit "pourquoi pas?". Quelle déception! La réalisation est plate, le film est long, trop long, le propos pas toujours très clair et la démonstration laborieuse. Je comprends même pas ce que vient faire la Samaritaine dans l'histoire, 10 mn pour donner la parole à d'anciens salariés. Bref, ça part un peu dans tous les sens et on en sort avec plus de confusion qu'autre chose
Une chose est sûre, je ne dirais pas "Merci Ruffin". C'est potache et de mauvais goût du début jusqu'à la fin (la scène de la plage avec le masque est consternante...). François Ruffin se moque gentiment des pauvres (ils sont pauvres mais ils boivent du champagne) et n'hésite pas à se servir de leur condition pour faire parler de lui. A part la tête de Ruffin, présente sur 90 % des plans, on apprend pas grand chose. Il semble découvrir la délocalisation des usines dans le textile et fait limite du François Damien quand il se rend à une AG avec des moules frites. Bref, on dirait une mauvaise caméra cachée qui dure 1h30. C'est long et mauvais
On connaît la rengaine, les patrons sont responsables de tous les maux de la France. L'esprit révolutionnaire n'est pas mort. Même au XXI e siècle on veut encore couper des têtes. Mais dans quel but? Est-ce que clouer au pilori les grands patrons va résoudre nos difficultés économiques, inverser la courbe du chômage? Ce n'est pas avec ce discours éculé de lutte des classes qu'on va pouvoir s'en sortir. Ce documentaire ne fait que creuser davantage les clivages de la société française. Comme si tout se résumait à l'opposition riches/pauvres; Ridicule...
On cherche à tout prix à nous faire rire avec la mise en scène, la musique, les déguisements, etc. Mais je ne crois pas que cela soit la bonne méthode et qu'on prête en compte l'intérêt des ouvriers en les faisant participer à des caméras cachées. J'ai été beaucoup plus sensible au documentaire de France 3 "Nous, ouvriers" diffusé hier soir par exemple
J'y suis allé sur l'insistance de deux de mes amis qui ont vu le film et me l'ont vendu comme la cure de jouvance de l'année. Certes des sourires face à la malice du dispositif, mais dans l'ensemble trop de longueurs. OK pour une journée sans soleil
des docu low cost de cette classe, on en redemande!! A voir sans hésiter (mais en s'y prenant un peu à l'avance...c'est souvent complet!)
Arrêtons d’être malhonnête 2 mn et posons-nous les vraies questions : quel est le soldes des emplois dans les grands groupes ? Sur 100 emplois supprimés combien sont créés ? Aucun regard macro n’est posé dans ce docu qui préfère se focaliser sur une famille. Ruffin se comporte non pas en journaliste mais en idéologue et donneur de leçon. Il est très doué pour soutirer de l’argent, mais beaucoup moins pour analyser une situation complexe. Un film qui plaira uniquement à son fan club
Une leçon de politique appliquée et un gigantesque pied de nez au patronat, a BERNARD ARNAUD. Mais derrière cette histoire se trouve la conclusion effarante que le patronat , en tout cas le grand patronat, n'a pas de reconnaissance pour ses salariés et maintient seulement une façade d'altruisme pour la presse. Ce film fait du bien et éveillé les consciences. J'espère.
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