AlloCiné
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génial. ce film nous raconte humilité le gouffre qui existe entre "la masse" et l'élite des racailles de riches, toujours riches et toujours plus dégueulasses! nous leur prendrons tout !
Enfin du cinéma qui parle des problème de société actuel, un beau projet qui à finalement bien réussie :)
A la fois tordant et intransigeant, "Merci Patron !" est un régal car il donne à voir la stratégie simple mais résolue d'un polémiste indépendant qui prend fait et cause pour un couple d'ouvriers au chômage. Ce qui ici jubilatoire au possible est que le patron menacé n'est autre que l'un des hommes les plus puissants de France, grand manipulateur devant l'éternel, à son tour manipulé (via un de ses sbires) pour le sauvetage de deux de ses anciens employés. Entre Michael Moore et Depardon, François Ruffin étonne et convainc.
Ce thriller social qui semble s’inscrire, telle une nouvelle variante des pieds Nickelés version Picarde contre une entreprise tentaculaire, dans la longue caravane des combats pour des causes désespérées mais qui, au final, nous conforte dans l’idée que, tel que le proclame Fakir : « À la fin, c’est nous qu’on va gagner ! »
A voir absolument, faites son succès avec le bouche à oreille !!!!!
A voir absolument, faites son succès avec le bouche à oreille !!!!!
Moment de pure jubilation, de l'oxygène face aux médias qui majoritairement se moquent du monde, n'ont aucune indépendance et tentent de nous manipuler (voir interview de François RUFIN sur Europe 1), on ne s'ennuie pas, humour décalé et décapant tellement bon, ça fait du bien !
Super film, on en sort regonflé à bloc et avec l'envie de changer les choses! Beaucoup d'humour et d'émotion.
Le film le plus grave et drôle de l'année.
Merci Patron, c'est le documentaire qu'il vous est impossible de rater si vous vous estimez être un citoyen français.
Merci Patron, c'est le documentaire qu'il vous est impossible de rater si vous vous estimez être un citoyen français.
Un film qui fait du bien dans un contexte qui fait mal.
Jamais nos sociétés n'ont été aussi riches, et jamais il y a eu autant d'inégalités.
Les riches gouvernent depuis 226 ans, peut-être qu'il faudrait que ce soit le tour des pauvres ?
Vu 2 fois, et la troisième ce sera pour la #NuitRouge #NuitDebout du 31 mars 2016.
Jamais nos sociétés n'ont été aussi riches, et jamais il y a eu autant d'inégalités.
Les riches gouvernent depuis 226 ans, peut-être qu'il faudrait que ce soit le tour des pauvres ?
Vu 2 fois, et la troisième ce sera pour la #NuitRouge #NuitDebout du 31 mars 2016.
Un film vrai, frais, qui redonne le moral. Bref, ça change du consensus politico-médiatique. Merci Fakir!
Extra, un film qui a dû faire trembler Bernard Arnault et qui a réglé la vie de la famille Klur (licencié par le groupe LVMH) grâce à François Ruffin (réalisateur et fondateur du journal Fakir) mais d'une façon qui fait hurler de rire la salle, sous un tonnerre d'applaudissements, comme je n'avais pas vu depuis longtemps. Le deuxième, voir troisième degré est utilisé ici avec une subtilité et pertinence accablantes. Un stratagème astucieux, bien goupillé par Ruffin, fait plier le patron, en concédant une somme d'argent pour que cette famille puisse conserver sa maison, qui va être saisie, puis avoir un CDI à Carrefour, une entreprise du groupe. Une réussite bienvenue et opportune.
Dommages
Pour une fois un film sur l'industrie mais dommage que cela soit pour la critiquer bassement. Surtout une industrie qui est fortement exportatrice (2ème place après l'aéronautique). Mais les français aime bien torpillé ce qui fonctionne et un résultat étonnant de voir que 38% des critiques spectateurs dans allociné note ce film 5 (les bobos sont bien sur allociné). Quant à l'histoire uniquement le cas d'une famille pistonné par Fakir qui pense que l'industrie peut créer des emplois avec ce genre de film. J'espère que B. Arnaud a pris ce film comme une caméra caché voulant montrer un gag. Pour terminer je ne pense pas que ce film est un bon moyen pour attirer les éventuels investisseurs. Lorsque j'ai vu ce film dans une petite salle avec 32 spectateurs (moyenne d'age 45 ans) et ensuite un débat qui encensait le film j'ai demandé qui roulait en voiture française: réponse 3 personnes. Si ce n'est pas de l'autoflagellation je n'y comprends plus rien.
Pour une fois un film sur l'industrie mais dommage que cela soit pour la critiquer bassement. Surtout une industrie qui est fortement exportatrice (2ème place après l'aéronautique). Mais les français aime bien torpillé ce qui fonctionne et un résultat étonnant de voir que 38% des critiques spectateurs dans allociné note ce film 5 (les bobos sont bien sur allociné). Quant à l'histoire uniquement le cas d'une famille pistonné par Fakir qui pense que l'industrie peut créer des emplois avec ce genre de film. J'espère que B. Arnaud a pris ce film comme une caméra caché voulant montrer un gag. Pour terminer je ne pense pas que ce film est un bon moyen pour attirer les éventuels investisseurs. Lorsque j'ai vu ce film dans une petite salle avec 32 spectateurs (moyenne d'age 45 ans) et ensuite un débat qui encensait le film j'ai demandé qui roulait en voiture française: réponse 3 personnes. Si ce n'est pas de l'autoflagellation je n'y comprends plus rien.
Vu en avant-première, "Merci patron ! " est un documentaire qui fait du bien dans cette période de désenchantement et de droitisation de la France. Montrant la réalité de la lutte des classes au XXIe siècle, des actes du capitalisme (ceux de Bernard Arnault, première fortune de France et PDG de LVMH), "Merci Patron !" va bien au-delà d'une fable sur les rapports entre les opprimés et les oppresseurs. Il permet grâce à l'humour et un scénario digne du cinéma de se réinterroger sur comment inverser le rapport de force entre eux (1%) et nous (les 99%). Rien que pour cela, "Merci patron ! " a le mérite d'exister surtout si il parvient a rencontrer un plus large public que les cercles militants.
Tres déçu par ce film qui tourne autour certe d un drame de la désindustrialisation du textile mais finalement se cantonne sur une moralité bien francaise et anti tout ce qui concerne la réussite.
Le film comporte des lenteurs et se cantonne a vouloir dénoncer les mefaits de la désindustrialisation en france.
Globalement je me fie a 100% au notes de allo cine mais la absolument pas en phase.
En esperant qur lrs kurts personnages bien sympa n'aient pas eu à brûler leur maison..
Le film comporte des lenteurs et se cantonne a vouloir dénoncer les mefaits de la désindustrialisation en france.
Globalement je me fie a 100% au notes de allo cine mais la absolument pas en phase.
En esperant qur lrs kurts personnages bien sympa n'aient pas eu à brûler leur maison..
Un grand moment de bonheur, 1h24 à se dire "mais comment c'est possible ?", à voir l'oligarchie dans ce qu'elle a de plus pourri, de plus répugnant, face à la dignité des plus pauvres malgré leur détresse. Comment ? Vous n'avez pas encore pris votre place ? Dépêchez-vous !
Se payer la tête d’un puissant reste un des fantasmes les plus jouissifs ! Alors on dit « bravo Ruffin » qui se sort avec panache d’un inégal combat avec Bernard Arnault. Le magnat du luxe a fait du dégât quand il a lâché Boussac Saint-Frères pour ne garder que Dior. A la casse économique, avec la désindustrialisation textile du Nord, s’est ajouté le drame humain des salariés licenciés. A Amiens ou il anime le journal Fékir, François Ruffin, tel un chevalier blanc de Nord-Picardie, s’est fait une spécialité d’intervenir dans les conflits sociaux.
Dans Merci Patron ! il monte un habile stratagème pour piéger les sbires des Ressources humaines de LVMH. Grâce à quelques complicités : une ancienne déléguée CGT de Boussac qui n’a pas la langue dans sa poche et un couple d’anciens de Boussac prêts au pire puisqu’il est déjà là pour eux… A coups d’appels masqués, de caméra cachée et de double jeu, le subterfuge prendra des allures de petite vengeance. L’ingéniosité et la solidarité finissant par l’emporter sur la loi du fric.
Malgré son montage foutraque, une ou deux scènes qui s’égarent et quelques grosses ficelles, le film de François Ruffin est une vraie comédie satirique sur fond de lutte des classes. Car, bien sûr, on peut parler de choses sérieuses avec humour. Alors son docu-social emprunte autant au Mickael Moore de « Capitalism : a love story », qu’à Yolande Moreau dans le « Louise Michel » des « grolandais » Kerven et Delépine. Merci Patron ! est un bon remède anti-crise. Un remède de salubrité publique. ESfficace, intelligent et joyeux.
Dans Merci Patron ! il monte un habile stratagème pour piéger les sbires des Ressources humaines de LVMH. Grâce à quelques complicités : une ancienne déléguée CGT de Boussac qui n’a pas la langue dans sa poche et un couple d’anciens de Boussac prêts au pire puisqu’il est déjà là pour eux… A coups d’appels masqués, de caméra cachée et de double jeu, le subterfuge prendra des allures de petite vengeance. L’ingéniosité et la solidarité finissant par l’emporter sur la loi du fric.
Malgré son montage foutraque, une ou deux scènes qui s’égarent et quelques grosses ficelles, le film de François Ruffin est une vraie comédie satirique sur fond de lutte des classes. Car, bien sûr, on peut parler de choses sérieuses avec humour. Alors son docu-social emprunte autant au Mickael Moore de « Capitalism : a love story », qu’à Yolande Moreau dans le « Louise Michel » des « grolandais » Kerven et Delépine. Merci Patron ! est un bon remède anti-crise. Un remède de salubrité publique. ESfficace, intelligent et joyeux.
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