Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
6 critiques presse
L'Obs
par La Rédaction
Jérôme Cohen Olivar ("Kandisha", 2008) capte quelque chose d’imperceptible, une vapeur de tristesse, une buée de joie, et de ce mélange naît une ballade poétique poignante. Le cinéma du cœur.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Première
par Bernard Achour
"L’Orchestre de minuit" fait preuve de bout en bout d’une véritable noblesse d’écriture, d’interprétation et de mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Nicolas Didier
Les faiblesses de mise en scène sont compensées par un scénario solide, qui explore un passé douloureux, et par l'implication des comédiens.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Une comédie, hélas, moins farfelue que poussiéreuse.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Si l'existence de ce film, qui évoque la tradition musicale judéo-arabe au Maroc, est digne d'intérêt, sa réalisation l'est moins.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Publicitairement portée par la présence de Gad Elmaleh, cette comédie dans laquelle Avishay Benazra incarne un charismatique héros aux yeux revolver plaira peut-être à la communauté juive marocaine qui s'amusera de ces tribulations estampillées tradition. Pour le reste, il y a dans tout ceci une naïveté bon enfant qui ne débouche sur rien de captivant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
L'Obs
Jérôme Cohen Olivar ("Kandisha", 2008) capte quelque chose d’imperceptible, une vapeur de tristesse, une buée de joie, et de ce mélange naît une ballade poétique poignante. Le cinéma du cœur.
Première
"L’Orchestre de minuit" fait preuve de bout en bout d’une véritable noblesse d’écriture, d’interprétation et de mise en scène.
Télérama
Les faiblesses de mise en scène sont compensées par un scénario solide, qui explore un passé douloureux, et par l'implication des comédiens.
Studio Ciné Live
Une comédie, hélas, moins farfelue que poussiéreuse.
Le Monde
Si l'existence de ce film, qui évoque la tradition musicale judéo-arabe au Maroc, est digne d'intérêt, sa réalisation l'est moins.
Le Parisien
Publicitairement portée par la présence de Gad Elmaleh, cette comédie dans laquelle Avishay Benazra incarne un charismatique héros aux yeux revolver plaira peut-être à la communauté juive marocaine qui s'amusera de ces tribulations estampillées tradition. Pour le reste, il y a dans tout ceci une naïveté bon enfant qui ne débouche sur rien de captivant.