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Votre avis sur Midnight Express ?
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Réalisé par Alan Parker, Midnight Express est un excellent film de prison, un des plus durs que j'ai pû voir.
La mise en scène est excellente, que ça soit en prison où bien lors de la scène de course poursuite au début. Brad Davis nous livre une grande prestation, il sait aussi bien susciter la pitié que l'admiration. John Hurt et Mike Kellin sont également très doués et offrent des prestations touchantes. J'adore la bande son du film, j'aurais aimé l'entendre plus.
L'histoire, quand à elle, est bouleversante. On est plongé dans un monde infâme, sale et froid, qui le connait pas la pitié. Certaines scènes sont presque insoutenables. Dès lors, on est pris de pitié pour nos personnages, et ce, malgré leurs actes. Des actes jugés horrible par un système judiciaire intraitable, mais qui n'est rien comparé à ce que l'on inflige à nos protagonistes. Le film explore très bien le traumatisme psychologique que cela entraîne.
Un excellent film !
La mise en scène est excellente, que ça soit en prison où bien lors de la scène de course poursuite au début. Brad Davis nous livre une grande prestation, il sait aussi bien susciter la pitié que l'admiration. John Hurt et Mike Kellin sont également très doués et offrent des prestations touchantes. J'adore la bande son du film, j'aurais aimé l'entendre plus.
L'histoire, quand à elle, est bouleversante. On est plongé dans un monde infâme, sale et froid, qui le connait pas la pitié. Certaines scènes sont presque insoutenables. Dès lors, on est pris de pitié pour nos personnages, et ce, malgré leurs actes. Des actes jugés horrible par un système judiciaire intraitable, mais qui n'est rien comparé à ce que l'on inflige à nos protagonistes. Le film explore très bien le traumatisme psychologique que cela entraîne.
Un excellent film !
Artriste
Inspiré du livre autobiographique portant le même nom, Midnight Express est un drame singulier. L'histoire nous fait suivre le destin de William Hayes, un homme se faisant arrêter et emprisonné en Turquie après avoir essayé de passer de la drogue à l'aéroport. Ce scénario nous offre un long-métrage rempli de tension quasiment de bout en bout pendant les deux heures de durée. On nous fait vivre à travers ce récit l'enfer carcéral et le combat d'un homme tentant de s'échapper de ce lieu qui semble être sa dernière demeure. Si tout cela est intéressant à suivre, on peut tout de même se questionner sur la morale que dégage le film à travers ce lourd sujet traité. En effet, on ne peut pas violer les lois d'un pays en toute impunité et en toute connaissance de cause, sans vouloir en assumer les conséquences. Du coup, malgré un personnage principal sympathique, il est difficile d'avoir de l'empathie pour lui vu qu'il a voulu jouer et qu'il a perdu. Il ne peut s'en prendre qu'à lui. Surtout quand la raison évoquée est l'argent alors que sa famille ne semble pas en manquer. Cependant, les protagonistes sont appréciables à commencer par Brad Davis qui dégage quelque chose à l'écran à travers sa difficile prestation. On retiendra également les visages de Mike Kellin jouant le père, celui de John Hurt incarnant un compagnon de cellule ou encore plus particulièrement le faciès de Paolo Bonacelli, sans oublier sa compagne interprétée par Irene Miracle. Tous les rôles sont convaincants et les relations qui se dégagent de ces échanges fonctionnent bien même si la disparition du paternelle en cours de route interroge. L'ensemble est convenablement réalisé par Alan Parker, dont la caméra évolue dans des environnements poisseux et confinés, bien qu'elle sache également mettre en valeur le pays et ses bâtiments. Cela donne une ambiance particulière surtout via l'excellente b.o. signée Giorgio Moroder dont les compositions confèrent une atmosphère pesante, notamment son thème principal mémorable qui revient souvent et sous différentes formes pour notre plus grand bonheur auditif. C'est même toute l'ambiance sonore générale qui est à la hauteur et qui clairement est l'atout majeur de cette œuvre tant ses notes sont marquantes. Il en va de même pour la jolie fin dont on se souviendra, mettant un terme à cette tragédie, faisant ainsi de Midnight Express un film méritant d'être découvert même si des éléments sont perfectibles dans cette aventure dramatique aux valeurs douteuses.
Ouais bon faut pas en faire tout un plat, c'est vu et revu franchement il n'y a rien d'extraordinaire.
Ce film récupère plein d'idées que d'autres ont réussi à un bien mieux exploiter avant lui (Le Trou de Jacques Becker, l'Aveu de Costa Gavras...). Objectivement ce film est insignifiant. La cruauté que peut représenter l'emprisonnement, on la connaît au cinéma. Même les Évadés, film ô combien commercial comme celui-là fait mieux, montre plus.
Donc non ce n'est pas un grand film, malgré la super musique de Giorgio Moroder.
Ce film récupère plein d'idées que d'autres ont réussi à un bien mieux exploiter avant lui (Le Trou de Jacques Becker, l'Aveu de Costa Gavras...). Objectivement ce film est insignifiant. La cruauté que peut représenter l'emprisonnement, on la connaît au cinéma. Même les Évadés, film ô combien commercial comme celui-là fait mieux, montre plus.
Donc non ce n'est pas un grand film, malgré la super musique de Giorgio Moroder.
Racisme et mensonge sous la couverture d’une histoire.
Ce film devrait être interdit tant celui-ci choque par sa haine infondée et dirigée contre tout un peuple.
Une honte sans aucun intérêt intellectuel car la Turquie n’a de loin pas le milieu carcéral le plus difficile et reste bien derrière les États-Unia, en termes d’injustice, soit le pays d’origine de l’acteur où la peine de mort est encore appliquée, et ce, même contre des innocents,. Film non représentatif de la réalité et à vocation principale de nuire sans apporter le moindre intérêt et sans refléter la vérité.
Si vous aimez la justice, ce film est à bannir car il a pour but premier le racisme et l’offense envers les Turcs sous un semblant de vérité, la réelle histoire étant très loin de celle racontée dans ce “film” malveillant.
Ce film devrait être interdit tant celui-ci choque par sa haine infondée et dirigée contre tout un peuple.
Une honte sans aucun intérêt intellectuel car la Turquie n’a de loin pas le milieu carcéral le plus difficile et reste bien derrière les États-Unia, en termes d’injustice, soit le pays d’origine de l’acteur où la peine de mort est encore appliquée, et ce, même contre des innocents,. Film non représentatif de la réalité et à vocation principale de nuire sans apporter le moindre intérêt et sans refléter la vérité.
Si vous aimez la justice, ce film est à bannir car il a pour but premier le racisme et l’offense envers les Turcs sous un semblant de vérité, la réelle histoire étant très loin de celle racontée dans ce “film” malveillant.
Le synopsis.. est un spoilers donc ça à enlever la magie du film ! Alors j'ai été déçu, sinon c'est un bon film. Il manque cruellement de rythme pour moi.
Bon film.... Je crois qu'on en m a tellement parlé que je ne sais pas à quoi je m'attendais '.. Quelque slongueurs dans la 1ere partie ! La 2ème était meilleur. Toutefois film culte
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Midnight Express est un film sur l’univers carcéral mais pas que. Il nous montre également comment un étranger ressent son incarcération dans un pays où tout lui est inconnu. Nous faisant passer par tous les sentiments qu’un Homme peut avoir, espoir, peine, rage. Ici Brad David, qui interprète Billy Hayes, livre une performance remarquable, du début à la fin. Sa métamorphose, d’homme en plutôt bonne santé à quasi-zombie, laisse sans voix. John Hurt est aussi très bon dans son rôle d’anglais défoncer à la drogue. Les différents plans de la prison accompagnés d’une B.O extraordinaire, collant avec brio à l’univers, rend le film accrocheur. Et heureusement qu’il y a cela car par moments certaines scènes se tirent.
Ce film est un pur chef d'œuvre. Il traite à merveille plusieurs thèmes comme la décadence, la violence, l'amour, l'espoir... Un bijoux du 7è art, tout simplement un des plus grands films de l'histoire du cinéma.
Super film, qui a plutôt bien vieilli. La tension est toujours présente.
Le fait que les dialogues en turcs ne soient pas traduits, nous font vraiment ressentir le moment, comme si on était le personnage principal.
Le fait que les dialogues en turcs ne soient pas traduits, nous font vraiment ressentir le moment, comme si on était le personnage principal.
Un bon film pour comprendre ce que peut être la souffrance et le désespoir. On relativise nos problèmes du quotidien après ça.
Les acteurs sont très bon et l'ambiance générale très bien reconstitué. On se sent vraiment dans une prison du tiers monde.
L'acteur qui joue le méchant geôlier Turc fait aussi froid dans le dos.
Les acteurs sont très bon et l'ambiance générale très bien reconstitué. On se sent vraiment dans une prison du tiers monde.
L'acteur qui joue le méchant geôlier Turc fait aussi froid dans le dos.
C'est un bon film, même un très bon film. L'univers des prisons turques est bien photographié même s'il est caricatural, le rythme est pesant comme l'ambiance. Les acteurs sont bons et la descente aux enfers crédible. Alors ? Et bien le problème, c'est que "inspiré de faits réels", oui évidemment mais alors de loin, de très loin car William (Billy) Hayes n'était pas, loin s'en faut, une sainte nitouche ni un meurtrier d'ailleurs. On est dans la publicité mensongère, bien trop loin de l'histoire vraie. Le film est monté à l'américaine avec les gentils et les méchants, les rebondissements et un peu de romance. C'est dommage, il avait de quoi faire mieux.
L’Express aura 40 ans de retard.
Rien de moins que deux oscars et 6 golden globes pour ce film qui a marqué la conscience collective occidentale. Perso, je ne l’avais pas vu jusqu’à aujourd’hui. Le film raconte les 5 années d’enfermement d’un jeune Américain dans une prison turque suite à sa condamnation pour trafic de cannabis. C’est adapté d’une histoire vraie mais Oliver Stone a pris de nombreuses libertés par rapport au récit original du personnage principal du film. Pas d’étonnement, c’est ainsi que Stone travaille et c’est ainsi qu’il construit ses satyres et ses coups de sang. On imagine alors (quand on n’a pas lu le livre original) que le quotidien de William Hayes a été copieusement caviardé. C’est probablement une bonne idée. On doit reconnaître qu’il y a dans Midnight Express tous les ingrédients du film de prison, véritable genre en soi. Le gardien sadique est présent. Les trafics de toutes sortes sont là et le rapport charnel entre taulards aussi, de même que la violence des règlements de compte. L’ensemble du code est donc respecté, jusqu’à l’idée de l’évasion. C’est dans l’ambiance hors du temps que le film est une réussite. Ce chaudron est un monde qui vit en vase clos. Une tension sourde règne pendant tout le film. Pas de fausse note donc, y compris dans la célébrissime partition musicale de Giorgio Moroder. Mais pas de surprise non plus. On suit sagement les circonvolutions d’une intrigue forcément routinière et on s’agace devant tant d’injustice. Comme prévu. Est-ce un défaut ? Peut-être pas. Peut-être que je vois ce film 40 ans trop tard. Reste que tout ça est bien mené que le film se regarde sans déplaisir. Pas de révélation donc mais un bon moment.
Rien de moins que deux oscars et 6 golden globes pour ce film qui a marqué la conscience collective occidentale. Perso, je ne l’avais pas vu jusqu’à aujourd’hui. Le film raconte les 5 années d’enfermement d’un jeune Américain dans une prison turque suite à sa condamnation pour trafic de cannabis. C’est adapté d’une histoire vraie mais Oliver Stone a pris de nombreuses libertés par rapport au récit original du personnage principal du film. Pas d’étonnement, c’est ainsi que Stone travaille et c’est ainsi qu’il construit ses satyres et ses coups de sang. On imagine alors (quand on n’a pas lu le livre original) que le quotidien de William Hayes a été copieusement caviardé. C’est probablement une bonne idée. On doit reconnaître qu’il y a dans Midnight Express tous les ingrédients du film de prison, véritable genre en soi. Le gardien sadique est présent. Les trafics de toutes sortes sont là et le rapport charnel entre taulards aussi, de même que la violence des règlements de compte. L’ensemble du code est donc respecté, jusqu’à l’idée de l’évasion. C’est dans l’ambiance hors du temps que le film est une réussite. Ce chaudron est un monde qui vit en vase clos. Une tension sourde règne pendant tout le film. Pas de fausse note donc, y compris dans la célébrissime partition musicale de Giorgio Moroder. Mais pas de surprise non plus. On suit sagement les circonvolutions d’une intrigue forcément routinière et on s’agace devant tant d’injustice. Comme prévu. Est-ce un défaut ? Peut-être pas. Peut-être que je vois ce film 40 ans trop tard. Reste que tout ça est bien mené que le film se regarde sans déplaisir. Pas de révélation donc mais un bon moment.
J'avais beaucoup aimé Mississipi Burning, réalisé par Alan Parker, alors c'est tout naturellement que je le suis penché sur Midnight Express fait par le même réalisateur. Et je ne suis pas déçu, on y trouve les mêmes qualités : une histoire tellement bien racontée et qui démontre tellement l'horreur dont peut faire preuve l'humanité, qu'on ne peut que être saisi par les tripes par le scénario et se sentir impliqué, en souhaitant une bonne résolution pour les personnages. Chose qui arrive malheureusement très peu, provoquant une rage profonde en moi, et c'est là qu'on reconnaît une histoire bien racontée : un niveau de maîtrise tellement élevé que le spectateur ressent exactement les mêmes émotions que le personnage principal. C'est bien aidé aussi par les acteurs qui font un super boulot, et la musique qui est assez discrète mais très bonne. Seul petit regret qui fait que je place Midnight Express en dessous de Mississippi Burning : le rythme est un peu moins bon, il y a quelques temps morts, et je trouve que la mise en scène est toujours aussi quelconque (même si ce n'est pas tellement dérangeant tant les autres aspects du film sont excellents). Bref, une belle réussite, je ne peux que recommander !
Un film dur et cruel bien que cela ferait réfléchir certaines personnes si la justice était si dure...
Un film poignant mais un peu long à mes yeux, dire que cela est une histoire vraie, je trouvais la fin trop facile... 3/5
Un film poignant mais un peu long à mes yeux, dire que cela est une histoire vraie, je trouvais la fin trop facile... 3/5
Inspiré d’une histoire vraie, ce film d’Alan Parker, sorti en 1978, constitue un véritable coup de poing. Un jeune touriste américain (Brad Davis), en vacances en Turquie, est arrêté à la douane pour possession de cannabis. Il se retrouve enfermé à perpétuité dans les geôles du pays. L’histoire retrace la dégradation mentale de cet homme avec plusieurs scènes qui sont moralement insoutenables. Même si le récit s’éloigne de la réelle expérience du vrai protagoniste (l’œuvre sera notamment censurée par les autorités turques pour excès de racisme), cela reste une immersion violente dans le monde carcéral. La bande-originale composée par Giorgio Moroder (Oscar de la meilleure musique de film) constitue également une référence. Bref, du grand cinéma.
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