Avis : X-Men: Dark Phoenix - Page 4

Je ne comprend pas les critiques et les trouvés très dures. C'est un des meilleurs blockbusters que j'ai vu cette année! Les combats et fx sont spectaculaires et la musique est géniale ! Le scénario est pas mal non plus et les personnages ont une vraie psychologie.
À voir !

Réellement déçu par le film, j'avais des attentes par rapport à ce film, rien n'est vraiment exploiter, l'histoire et personnage pas mis en valeur

Film sublime !
Du début à la fin On s'ennuie pas.
Du spectacle et effet spéciaux remarquable !
Il est incompréhensible de voir des notes basse. Il sont là pour descendre le film !
Ceux qui mettent....sont pathétique.

Après le départ de Bryan Singer, la saga ressurgit avec ce dernier épisode et reprends l'intrigue dans une version alternative de l'histoire précédents les premiers films.
Le film se penche comme son nom l'indique sur le personnage de Jean Grey aka le Phénix.
L'acting est de qualité, et c'est toujours sympathique de revoir les acteurs des précédents volets, souvent mieux dirigés que dans Apocalypse.
Le film essaye de s'équilibrer entre des passages calmes qui reviennent sur le passé de Jean, et les relations des différents X-Men, et de l'autre les quelques grandes séquences d'action teasées dans la bande-annonce.
Un évènement anormal arrive avec une force cosmique dévastatrice qui prends possession de Jean, et aussi quelques extraterrestres dans son sillage.
Si les tenants et les aboutissants sont assez évidents, et que la fin est plus que prévisible, les principales lacunes du film reviennent à l'absence d'ambiguïtés, au fait que personne dans le film ne possède de véritable agenda, de motivation propre, distincte du récit collectif imposé par l'auteur.
Ainsi, après une bataille entre les X-Men et les hommes de Magnéto, les deux clans s'unissent sans crier gare, pour affronter ensemble les aliens de l'espace.
On sent que la saga s'est étiolée au fil du temps, que les scénaristes n'apportent rien de concret dans les différents films, se contente de livrer un blockbuster calibré pour le plus grand nombre, dénué d'aspérités, de thème clivant, d'idées qui ne feraient pas l'unanimité.
Si le rapprochement juridique de la Fox et de Disney est très récent, son alignement artistique est déjà visible depuis longtemps.
La saga X-Men avait mis en lumière l'adaptation de comics au cinéma, créant une mode reprise par tous les autres studios, mais la passion et l'engouement des premiers jours, cette idée qu'il restait encore quelque chose à conquérir, quelque chose de nouveau à montrer, est morte à petit feu devant le rouleau-compresseur des services marketing et financiers des Majors.
La saga se termine de manière cohérente, mais relativement décevante, livrant un divertissement de qualité moyenne, qui ne brille pas par son imagination, sa mise en scène, ou la moindre audace scénaristique.
Une fin de règne pépère, mollassonne, sentant quelque peu le déjà-vu, comme si, à force de s'inspirer et de vouloir coller aux autres volets, le film était incapable d'exister par lui-même, d'apporter sa pierre à l'édifice, de se démarquer.

Le meilleur film de super héro de l'année pour moi. Alors oui c'est peut-être pas au niveau des deux premiers(first class et days of future past), mais Simon Kinberg maîtrise assez bien son histoire. Et contrairement a "Endgame" les enjeux sont traités avec sérieux et du coup le film gagne en noirceur et(chose assez rare de nos jours) le spectaculaire est utilisé à bon escient!

Dernier X-men sous la houppette de la Fox et en grande minorité de Marvel, cette belle et grande équipe sera désormais sous l'égide de Disney/Marvel (à 100%). Dans la bande-annonce, on comprenait directement que Jean allait être une victime morale et totalement incontrôlable. Et ceci est chose faite avec une interprétation juste magique de cette jeune femme découverte pour beaucoup dans "Games of Thrones", ne livrant certes pas beaucoup de script, mais une performance physique extra. Chaque plan là montrant est génial et là met en valeur à 100 %. Une jeune femme qui subit à la fois une dépression et une attaque alien en elle-même, ce qui là conduira à cet exil loin de tous. Pour terminer, chacune de ses tenue est géniale. Quant à nos autres compères, de McAvoy à Fassbender, de Lawrence à Hoult, de Sheridan à Smit-McPhee, tous sont super et livre à leur tour des show énorme. Après, il est certes que le script prend un peu de place, mais à force, dans ce genre de film, j'ai finalement appris à l'apprécier et à l'écouter pour mieux comprendre intégralement les personnages. spoiler: Une histoire basé aussi bien sur l'avenir totalement incertains de cette jeune mutante que sur l'avenir même de l'équipe. Une équipe déchirée à cause d'une force venue d'ailleurs qui n'à qu'un seul et unique but, dévastée. Et c'est cette force qui fera naître en Jean cette dépression qui va la pousser à les malmener. Jessica elle joue la parfaite gourou qui va justement menée Jean à sa perte ainsi que les mutants eux-mêmes, un jeu sage et discret, mais qui reste convainquant.
Suite à cela, que ce soit les batailles en intérieur ou en extérieur, tous feront preuve une fois de plus d'un talent de mise en scène percutante, des effets qui, depuis "Le commencement" n'auront cesser de se perfectionner ainsi que la qualité sonore. spoiler: Un Cérébro nous faisant encore voyager dans un univers coloré et poétique pour ce dernier volet, puisque la musique aura rempli un très grand rôle.
Pour conclure, les scènes les plus monstrueuses et les plus belles sur ce plan de la visualisation seront sans conteste, spoiler: le train, dans lequel nous auront eu droit à un mini moment "Avengers", Magneto dans sa plus grande perfection métallique et d'une gestuelle toujours si grande. Avant que n'arrive ce fabuleux décollage ferroviaire. Puis l'affrontement final entre Jean, Smith et ses soldats. Un combat d'une simplicité telle, ou seul un geste de la main et un autre du bras auront permis l'extermination de ces ennemis. Des plans parfaits mettant notre phœnix dans sa juste valeur et dont le visage habité par la rage et ces fameuses veines de feux auront sublimées cette dernière. L'ensemble visuel qui suivra sera d'une perfection numérique à point égal.
Il est presque contagieux de se demander la manière dont ce genre de scènes peuvent être tournées. Imaginant les toiles verte, bras robotiques pour les maintenir en l'air, ou celle ou notre spoiler: professeur est juste magistral en marchant tel une marionnette sachant que de base, il est paralysé des jambes.
C'est aussi là que l'on peut se confirmer qu'une société de production met bien plus de moyens sur un film, et moins sur un autre. Un film dont le générique sera le premier spoiler: à ne pas être sous forme de voyage numérique comme les précédents. Mais tout en restant magnifique et simple.
Film ou l’absence non expliquée de spoiler: Moira MacTaggert est bien visible, ou la mort incomprise de Mystique fait poser la question de sa présence dans la première trilogie. Film ou l'isolement et l’endoctrinement sont la morale, ou Jennifer Lawrence aura comme Sophie Turner, auront officiellement trouver mais pas pour suffisamment de temps, leur rôle titre. Des femmes qui remettent l'homme à leur place et font preuve d'une magnifique présence face caméra. Et comme le générique de fin, hyper long mais faisant rendre compte du travail long et complexe qu'implique ce genre de film, écrira un nouvel hommage à Stan Lee.
Les X-men, créer en 63 par Stan et Jack Kirby, sont officiellement la grande équipe super-héroïque après les Vengers, montrant que même s'il on est différents, on peut être convainquant. Hans Zimmer peut se venter d'être réellement, le 3ème ou 4ème meilleur compositeur au monde avec John Williams, Alan Silestri et Ennio Morricone. Des mélodies sublimes pour des scènes sublimes. Merci la Fox, et merci Marvel. Rendez-vous d'ici quelques années pour les voir s'intégrer au MCU.

Copie conforme et baclée du bien plus mauvais Captain Marvel... CGI absolument immonde, réal abscente, le service minimum quoi.

Meilleur X-men!! Une CGI irréprochable , un opus de conclusion divertissant, malgré quelques défauts et une BO parfaite merci Hans Zimmer et merci tout le casting pour ce film ! Ils vont me manquer.

Honnêtement mitigé. Le film est graphiquement magnifique à regarder et les scène de combat sont assez époustouflante mais dans la trame générale l'histoire fait bâclé.
En gros ( pas de spoiler c'est a peu prêt la bande annonce) on tue elle et puis hop grosse baston et puis hop introduction d'une méchante et puis hop re baston et voilà. En vrai l'histoire de dark phoenix aurait mériter un film bien complet de 2h30 3h comme le dernier avengers sachant que c'est le dernier x men de la franchise fox et qu'il a quand même été tourné en deux fois et sur une très longue période..
Sophie Turner est époustouflante en Phoenix et pour les fan de tornade on voit vraiment l'étendue de ses pouvoir mais encore une fois pas au level oméga comme dans les comics.
Tout se passe très vite et on sors de la séance sur la faim.. Avec plein de question en tête qui resterons sans réponse puisque c'est la fin de la franchise.

Est-il meilleur de se laisser pousser vers la sortie ou de se précipiter intentionnellement vers elle ? Le producteur de la saga X-Men, Simon Kinberg, passant par le scénariste et enfin le réalisateur, tranche lui-même à ses dépens. On ressentira les bonnes intentions de ce dernier, mais son premier long-métrage sonne creux, car capte très peu l’essence même de la tragédie attendue. Cet épisode final résonne ainsi comme un hommage, mais ne gagne pas son pari sur tous les points. Il manque de personnalité dans sa structure, faute d’un débutant que l’on pourrait encourager si la saga avait encore de l’avenir dans le studio. Assumé ses erreurs auront beau apaisé la conscience de Kinberg et son équipe, mais ce ne sera pas le cas pour les spectateurs qui espèrent un bouquet final satisfaisant.

Sans compter l’adaptation des comics, ce film avance trop vite et ne prend pas la peine de développer ses protagonistes clé. On se permet même de nous donner accès aux enjeux et aux causes qui doivent booster l’intrigue, or ce ne sera pas le cas. Moins épique, moins métaphorique et moins cohérent, ce volet n’était pas prêt à voir le jour. On n’y trouve pas la maturité nécessaire pour développer la dramaturgie, piétinant sans cesse entre le divertissement standard et les prises de risques. Avec un casting de qualité, le script ou la mise en scène ne servent jamais assez les personnages afin qu’ils prennent leur envol ou leur indépendance. Tout se joue sur la performance de Sophie Turner en une Jean Grey, torturée par son passé et sa peur de ne pas comprendre l’étendue de ses nouveaux pouvoirs. Il y a donc une quête identitaire qui la confronte à une morale moins croustillante que prévu, mais à aucun moment, nous ne pourrions l’identifier à la menace annoncée. Le personnage n’est pas crédible et ne possède pas de background efficace sur ses relations avec les mutants de Xavier.

La présence de Jessica Chastain est donc justifiée pour accompagner ce personnage, incapable de se reconstruire, mais elle ne se montrera pas plus efficace pour autant. Elle apparaît comme un cheveu sur la soupe, un cheveu qu’on se débarrasse rapidement et qu’on oublie. Et ce n’est pas la seule à hériter de ce blâme. Côtés anciens, on pourra avoir un peu d’espoir dans le dilemme de Charles, car il est dorénavant controversé pour sa démarche antifamiliale. Et lorsque ce pseudo Martin Luther King rencontre son collègue Malcolm X, en la personne de Lehnsherr, il y a une bonne affinité, notamment grâce à la nostalgie, car il n’y a pas un réel engouement dans les échanges. Mais cela sera possible qu’après un long premier acte. Sinon, c’est place à la violence, chorégraphié afin de mettre en valeur les pouvoir plutôt que des personnages pour qui l’empathie n’est pas toujours de leur côté. Il s’agit d'une piètre démonstration de force, là où l’on aurait pu créer une chimère entre la psyché du mutant et ses capacités.

Si le rachat de la Twentieth Century Fox a bouleversé la réalisation de ce film, la qualité ne devrait pas en pâtir pour autant. « X-Men : Dark Phoenix » pouvait être vu comme le soin d’une brèche, laissée par l’Affrontement Final, mais c’est finalement le contraire qui se produit. Elle entrave encore plus ses tentatives de voir renaître son identité et sur le coup, la métaphore est bien adaptée. Simon Kinberg a toujours l’âme d’un producteur, même derrière la caméra et sa mise en scène se veut plus frontal que prévu. Il va à l’essentiel et ne tire pas les scènes en longueur, là où elles devraient l’être. Pourtant, on cherche à nuancer la nature humaine, toujours en présence d’un accident. Il faut croire qu’à force de s’en inspirer, cette conclusion finit par adopter ses traits les plus visibles.

Ce n'est pas le meilleur film des X-Men. Le scénario est assez faible mais le film se rattrape sur le grand spectacle qu'il nous offre. En plus, l'histoire n'offre rien de nouveau par rapport à ce qu'on a déjà eu précédemment. Et ce film fait penser à L'affrontement final où on a aussi Jean Grey qui devient un Phoenix Dark et qui spoiler: meurt aussi comme dans ce film
, donc le Dark Phoenix c'est un peu du déjà vu. Sans oublier l'absence de Wolverine qui se fait sentir. Ce film est sensé marqué la fin d'une saga X-Men qui a démarré avec le film X-Men en 2000, suite au rachat de la 20th Century Fox par The Walt Disney Company qui va pouvoir intégrer les X-Men au Marvel Cinematic Universe en redémarrant un nouvelle saga X-Men, mais on ne sent pas vraiment cette "fin" avec ce film.

Hormis le fait que marvel est incapable de garder un univers unique et fait sans arrêt des reboot, je ne me suis pas ennuyé du film, qui va directement à l'essentiel et les scènes de combat sont globalement très bonnes.

C'est loin d'être le pire X-Men comme j'ai pu l'entendre : il y a non seulement eu le 3 mais juste avant "Apocalypse"...qui serait même en partie la cause de l'échec de celui-ci au box office (en tous cas c'est la médiocrité d'Apocalypse qui m'a fait zapper celui-ci au cinéma).
On a un casting globalement extraordinaire...sauf que l'actrice qui incarne Jean Grey n'a aucun charisme et comme cet opus repose sur son personnage c'est assez ennuyeux...

La vérité est au centre de la morale du film, avec le mensonge, forcément. Il s’avère en effet, et de nouveau, qu’on se trompe lourdement quand on ment, même pour la bonne cause quand on croit bien faire. Cette question sous-tend tout le film (il est donc intéressant pour tout le monde). Se greffe là-dessus une rocambolesque histoire d’extra-terrestres –mais ça aurait très bien pu se passer avec de vilains intra-terrestres (en même temps, on découvre l’impératrice de l'Empire Sh'iar de l’univers Marvel). Voilà pour le scénario, dont il est inutile de dévoiler plus –il faudrait d’ailleurs y réfléchir à deux fois –encore un réalisateur qui croit pouvoir être le scénariste, ou inversement ! Le film nous emporte quand même (l’introduction nous lance bien). Divertissant. Mais par la suite, il y a une telle démesure dans les pouvoirs des personnages (donc dans les effets spéciaux), que ça finit par lasser –de toute façon, c’est toujours la même chose quand il n’y a plus de mystère, quand l’histoire s’essouffle, quand le spectateur n’a plus rien à imaginer… Le sujet du film c’est Jean Grey, le super X-Men, ou plutôt la super X-Women (prononcer djin). Ça doit faire le septième film X-Men où elle apparaît depuis 2000, dont plusieurs fois pour y mourir. Donc on ne sait plus trop de quoi ce film est la suite ou le remake, ou la suite d’un reboot. Officiellement c’est la suite de X-Men: Apocalypse (2016), dont l'histoire se situe durant les années 1980, avec la version adolescente du personnage. En tout cas, elle porte bien son nom de Phénix puisqu’elle renaît. Côté acteurs, Phénix est incarnée par Sophie Turner (de Game of Thrones), qui n’est pas si shakespearienne. L’impératrice de l'Empire Sh'iar est incarnée par Jessica Chastain, autre gabarit, mais trop Marlène Dietrich pour une extra-terrestre. Diablo est incarné par Kodi Smit-McPhee, jeune acteur australien, dont c’est le deuxième film X-Men. Sans lui, le film n’aurait pas eu lieu, puisqu’il est question maintes fois de téléportation. Il est le plus amusant de tous les X-Men avec son teint bleu roi, ses dents blanches, ses yeux exorbités, sa longue queue et la petite fumée qu’il laisse quand il se téléporte. Dans ce film, il n’y a pas Hugh Jackman (Volverine), ça doit être normal, mais il manque. Finalement, on craint avec ce film, dont le fond et la forme déçoivent, que ça annonce le ras-le-bol du genre. A.G.

"X-men : Dark Phoenix" est le genre de film que je pourrais peut être apprécier davantage plus tard comme un simple divertissement maintenant que je sais à quoi m'attendre. En attendant, je reste quand même cruellement sur ma faim. La saga perd pas mal en consistance et en enjeu à travers ce volet dépossédé de toute dimension épique. Même les habituels sous texte du scénario (force habituelle de la saga X-men) sonne creux. Il ne suffit pas de mettre le mot "Dark" dans son titre pour en faire un film sombre et puissant, il faut que le reste suive également. Scénario bavard qui tourne en rond, casting en bout de course peu convaincant pour la plupart à quelques exceptions, mise en scène aseptisé et effets visuels très limite font que je suis sorti de ma séance déçu. Tout n'est pas catastrophique, c'est un simple divertissement aussi oubliable que "L'affrontement final" mais j'en attendais clairement davantage...