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Votre avis sur Le Musée des merveilles ?
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Avec cette œuvre où s'égrène une multitude de petits trésors, Todd Haynes nous plonge dans une composition subtile, un bouquet d'émotions comme autant de scènes d'un double grand voyage.
L'épaisseur du temps qui avale les sons et fige les mouvements renforce les rêveries et l'imagination, ouvre des voies pour de nouvelles histoires.
Le choix des musiques, qui échappe à ces contraintes, est particulièrement parlant et permet d'autres visions.
L'épaisseur du temps qui avale les sons et fige les mouvements renforce les rêveries et l'imagination, ouvre des voies pour de nouvelles histoires.
Le choix des musiques, qui échappe à ces contraintes, est particulièrement parlant et permet d'autres visions.
Difficile de ne pas aimer un tel film, plein de tendresse et de bons sentiments, tellement qu’il ferait culpabiliser ceux qui le bouderaient… et pourtant, malgré un grand nombre de bonne idées, les défauts du musée des merveilles empêchent la sauce de prendre complètement. La symbiose entre deux époques racontées en parallèle ne fonctionne pas complètement. L’alternance entre les années 20 et les années 70 manque en fluidité et en harmonie, et fatigue à la longue, tout comme le flash-back avec la mère de Ben au début du film qui n’est pas bien apporté.
La partie des années 20 est ma préféré : un bel hommage au cinéma muet, et même si la mise en scène reste un peu « cliché » du cinéma de cette époque, elle est très réussi, avec une actrice particulièrement touchante. La partie des années 70, quant à elle souffre de longueur, dont la bande son réussie, ne réussit pas vraiment à masquer les longueurs et à oublier le manque de dialogue lié à la surdité du personnage. Par ailleurs, les dialogues entre Ben et son ami, est plein d’invraisemblance (et ne ressemble pas vraiment à un dialogue de sourd… !).
Au final, les 2 histoires parallèles ne se fusionnent pas aussi bien qu’espéré (comme sur l’affiche). Dans la dernière partie du film, l’époque des années 20 est malheureusement abandonnée sans véritable épilogue. Le final reste correct, plein de poésie, même s’il manque un peu de spontanéité, pour vraiment nous envahir d’émotion.
La partie des années 20 est ma préféré : un bel hommage au cinéma muet, et même si la mise en scène reste un peu « cliché » du cinéma de cette époque, elle est très réussi, avec une actrice particulièrement touchante. La partie des années 70, quant à elle souffre de longueur, dont la bande son réussie, ne réussit pas vraiment à masquer les longueurs et à oublier le manque de dialogue lié à la surdité du personnage. Par ailleurs, les dialogues entre Ben et son ami, est plein d’invraisemblance (et ne ressemble pas vraiment à un dialogue de sourd… !).
Au final, les 2 histoires parallèles ne se fusionnent pas aussi bien qu’espéré (comme sur l’affiche). Dans la dernière partie du film, l’époque des années 20 est malheureusement abandonnée sans véritable épilogue. Le final reste correct, plein de poésie, même s’il manque un peu de spontanéité, pour vraiment nous envahir d’émotion.
Adapté d'un roman semi-graphique de Brian Selznick(auteur également du scénario),ce film est un concentré d'émotions et une très grande prouesse de mise en scène signé par le digne successeur de Douglas Sirk,Todd Haynes cinéaste des déchirants "Loin du paradis" et "Carol".Une splendeur qui conjugue les époques et les personnages et surtout qui témoigne d'un grand amour pour le cinéma.Le film de l'année?
J'attendais beaucoup de ce film après une belle bande annoncé et de très bonnes critiques. J'ai été, je l'avoue, un peu déçue.... Le récit décousu, la lenteur, les longueurs, quelques invraisemblances, un déroulé de l'histoire parfois trop simpliste... Et pourtant le charme à peu à peu agi, j'ai été embarquée, peut être "ensorcelée" par la narration toute en finesse, l'ambiance sonore, le jeu des acteurs, particulièrement une petite Rose magnifique, les quêtes et les messages.... La dernière partie du film éclaire l'ensemble, avec l'originalité d'une superbe maquette, l'émotion toute simple du lien et du partage. Je suis sortie de la salle sans savoir si j'avais aimé mais avec quelques petits papillons dans le ventre, dans la tête... Ce film est courageux, il nous propose une expérience unique, décalée, rompant avec la furie des stimulations de notre époque, c'est ce genre d'émotions qui nourrit mon amour du cinéma.
Je n’ai trouvé aucun intérêt à ce film. Au vu des différents avis, je suis sûrement passée à côté. Ce film m’a rappelé par certains côtés Thé Artist, mais l’histoire traîne en longueurs.
Le Musée des Merveilles - L'imagination, vecteur de création - « Nous sommes tous dans le caniveau, mais certains d’entre nous regardent les étoiles. » Par cette citation d’Oscar Wilde, le film de Todd Haynes nous invite à nous évader avec lui, pour suivre deux enfants cherchant à réaliser leurs rêves. La première, Rose, sourd-muette de naissance, fugue de chez son père pour partir à New York à la recherche d’une actrice célèbre. Le second, Ben, part lui aussi à New York à la recherche de son père, après avoir perdu l’ouï suite à un accident. La première histoire se déroule en 1927, la seconde en 1977. Dans Le Musée des Merveilles, nous suivrons les deux histoires en parallèle, plongeant dans l’inconnu aux côtés de deux personnages que tout semble irrémédiablement rapprocher. […] Retrouvez l'analyse philosophique complète sur lecinemaphilosophique.fr !
C'est un film à part. Dans la lignée d'Hugo Cabret.
Si vous avez aimé Cabret, vous allez adoré. Une très belle histoire avec des acteurs convaincants, voire bluffants;
Les longueurs du film sont largement compensées par la beauté des scènes et des acteurs;
Bon, pour être franc, 20 minutes de moins et c"était le TOP;
Mais je vous assure que vous passerez un très bon moment
Si vous avez aimé Cabret, vous allez adoré. Une très belle histoire avec des acteurs convaincants, voire bluffants;
Les longueurs du film sont largement compensées par la beauté des scènes et des acteurs;
Bon, pour être franc, 20 minutes de moins et c"était le TOP;
Mais je vous assure que vous passerez un très bon moment
je ne suis pas rentré dans le film.
il fait parti des très rares pour lesquels je suis parti avant la fin
il fait parti des très rares pour lesquels je suis parti avant la fin
Une fable poétique et élégante...
le thème est assez loin de notre quotidien et en même temps le réalisateur et les acteurs arrivent à tirer ce qui nous touche tous.
élégant et poetique...
le thème est assez loin de notre quotidien et en même temps le réalisateur et les acteurs arrivent à tirer ce qui nous touche tous.
élégant et poetique...
Très beau film. Charme, poésie, émotion et magie sont au rendez-vous. Une partie est sans parole, mais ce n'est pas gênant car la bande son rempli parfaitement l'espace. Les aventures de ces enfants vous transportent même si on se demande durant une partie du film où ils veulent en venir. Je recommande.
LE MUSÉE DES MERVEILLES – L’imagination, vecteur de création
« Nous sommes tous dans le caniveau, mais certains d’entre nous regardent les étoiles. » Par cette citation d’Oscar Wilde, le film de Todd Haynes nous invite à nous évader avec lui, pour suivre deux enfants cherchant à réaliser leurs rêves. La première, Rose, sourd-muette de naissance, fugue de chez son père pour partir à New York à la recherche d’une actrice célèbre. Le second, Ben, part lui aussi à New York à la recherche de son père, après avoir perdu l’ouï suite à un accident. La première histoire se déroule en 1927, la seconde en 1977. Dans Le Musée des Merveilles, nous suivrons les deux histoires en parallèle, plongeant dans l’inconnu aux côtés de deux personnages que tout semble irrémédiablement rapprocher.
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Retrouvez l'analyse complète (avec spoiler) sur lecinemaphilosophique.fr !
« Nous sommes tous dans le caniveau, mais certains d’entre nous regardent les étoiles. » Par cette citation d’Oscar Wilde, le film de Todd Haynes nous invite à nous évader avec lui, pour suivre deux enfants cherchant à réaliser leurs rêves. La première, Rose, sourd-muette de naissance, fugue de chez son père pour partir à New York à la recherche d’une actrice célèbre. Le second, Ben, part lui aussi à New York à la recherche de son père, après avoir perdu l’ouï suite à un accident. La première histoire se déroule en 1927, la seconde en 1977. Dans Le Musée des Merveilles, nous suivrons les deux histoires en parallèle, plongeant dans l’inconnu aux côtés de deux personnages que tout semble irrémédiablement rapprocher.
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Magnifique film (sélectionné à Cannes d'ailleurs) qui nous raconte l'histoire en parallèle de deux enfants en quête d'une personne à New-York à deux époques différentes : les années 20 et 70. L'image est très belle et le grain de l'image nous rappelle celui des années visitées. Un jeu très intéressant est mené sur les sens, puisque les deux enfants sont sourds et l'histoire est vue de leur point de vue.
Les personnages sont attachants... Bref, c'est un beau film !
Les personnages sont attachants... Bref, c'est un beau film !
Un très bon jeu d'acteurs. L'idée de mettre les personnages principaux dans deux époques bien distinctes est intéressante. Néanmoins, le film aurait mérité un peu plus de dialogues.
Bon film agréable à regarder mais qui met un peu trop de temps à démarrer. Néanmoins l'histoire est originale et inattendue. La photographie impeccable à l'instar du jeux des acteurs.
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